Les Voyages Au Grade De Compagnon

12 sons, j'ai rapidement compris que j'allais revivre mes 5 voyages, et qu'il faudrait dans la conclusion, je cite le rituel : "les mains libres, en avoir tiré des conclusions propres à m'éclairer" Si j’ajoute que l’enseignement Pythagoricien était majoritairement oral et donc que le trivium en était la base, on ne peut qu’être d’accord avec Cicéron qui le qualifiait de 1er homme universel Vous imaginez donc quel plaisir le jeune compagnon que je suis a eu à travailler sur cette planche, et si nouvel

trois classes. Ceux de la première, sous le nom d'apprentis, étaient employés à abattre les bois sur le Mont Liban et à les équarrir; à arracher des carrières les pierres et les marbres et à les dégrossir. Ceux de la seconde classe, sous le nom de compagnons, étaient occupés à terminer les pièces ébauchées par les apprentis et à les mettre ensuite en place sous la direction des ouvriers de la troisième classe, que l'on nommait les maîtres. Ceux-ci prenaient immédiatement les ordres d'HIRAM dans un lieu

allégorique qui permet de dispenser un enseignement moral ou religieux . La tradition maçonnique associe souvent la demande de mot sacré à un épisode de la construction du temple de Salomon, la légende d’Hiram, relatée notamment par Gérard de Nerval (Voyage en Orient -1850-). Quelle est cette légende, sans doute bien connue des maçons accomplis, mais que j’ai eu beaucoup d’intérêt à tout juste découvrir ? En résumé : Le roi David avait eu le projet de construire un grand temple à la gloire de

Salomon, construit par l’architecte Hiram. C’est l’image de celui dans lequel je vais entrer dans quelques instants, parce que j’ai entendu qu’il est midi. Mais pour cela, je dois faire la paix intérieure. Je quitte peu à peu le monde profane, et, à mon grade d’apprenti, je sais que je ne peux que voir, entendre et ressentir, dans le silence, ce qui va se passer. Le passage entre le monde des profanes et celui des initiés Avant cela, je vais franchir la porte du Temple. Cette même porte que j’ai

 Le retour des compagnons Vous avez reçu la lumière. Qu’en avez-vous fait ? MdL, Mes B.A.F, Dès l’initiation maçonnique tout est en place pour que la Lumière des initiés constitue la voie de connaissance par excellence, le chemin lumineux sur lequel l’adepte à force de travail pourra à terme trouver la splendeur du vrai, opposée aux ténèbres et aux préjugés. Cette Lumière est la manifestation sensible du Verbe dans ce qu’il peut avoir d’actif, de transcendant, elle est aussi la marque de l’amour

difficile. Après le premier voyage, il nous dit que nul ne peut devenir parfait Maçon s’il ne pratique la vertu et s’il n’aspire à la perfection. Après le 3ème voyage, il dit encore : « soutenu par un guide précieux, vous avez entrevu quelques-unes des vertus maçonniques que vous devrez désormais pratiquer ». L’instruction au premier degré précise qu’en Loge, on élève des temples à la vertu et l’on y creuse des cachots pour les vices. Lors de l’élévation au grade de Compagnon, au moment de contempler

compte vous transmettre ce soir. Le philosophe Gurdjieff disait : “Pour être compris d’un autre homme, il ne suffit pas que celui qui parle sache comment parler, il faut que celui qui écoute sache comment écouter”. Le silence est devenu mon compagnon. En loge, il me permet d’observer, d’écouter, de réfléchir dans le secret de ce que j’entends. Au fil du temps, je suis devenue de plus en plus attentive au rituel, il me semble avoir progressé. Je me suis questionnée et mon silence est devenu proposition

de mesure « la coudée » unité de mesure très ancienne connu des Egyptiens, était de 5 exécuté sur chaque chapiteaux, ainsi leurs proportions étaient égales harmonieuses et bien proportionnées. Ce chiffre est celui de l'homme est également celui du grade de Comp. La Colonne J se situe du coté du 1er Surveillant sur laquelle les Comptravaillent au dernier rang, exprime la solidité, la stabilité elle symbolise le Soufre, l’énergie expansive ; elle est masculine, rouge elle correspond au Soleil

et d’autre deux grandes colonnes, sur ma droite au pied de la colonne, J, le siège du frère couvreur, et, derrière sur deux rangées les maitres et compagnons. Sur ma gauche derrière la colonne, B, le plateau du premier surveillant. Trois pas plus Loin se trouve le centre de la loge. Au sol sur le pavé mosaïque est déroulé le tableau de loge au grade de ceux qui travaille, pour moi celui d’apprenti. Le pavé mosaïque est en noir et blanc. Il rappelle les oppositions que l’on rencontre dans la vie

notre société moderne, les gants sont également portés pour protéger les mains des blessures, du froid, d’un risque de contamination ou de transfert de maladie depuis ou envers un tiers (je pense notamment au corps médical). Enfin pour clore ce voyage dans l’histoire, les gants sont un outil d’apparat, coupés dans de nombreuses matières, de la peau au tissu en passant par la dentelle, ils se parent également d’ornements et sont un accessoire à part entière d’une tenue vestimentaire, il la termine