Les Yeux de sa mère

-« Masque nègre » 1945, Léopold Sédar Senghor, Chants d'ombre - « Rama kam » 1952, David Diop - « A ma mère » 1953, Camara Laye, L’enfant noir - « Femme noire » 2003, Jacques François Dussottier Le recueil est organisé suivant un ordre chronologique de façon à suivre l’évolution du thème de la femme

de Big Sur (en Californie). Le narrateur a 44 ans, il est couché seul sur la plage et se souvient de la tendresse de sa mère qui lui manque. Il contemple avec nostalgie les animaux marins. Ces souvenirs le ramènent au jour où sa mère était venue à bord d’un vieux taxi (Renault) pour lui faire ses adieux puisqu’il est mobilisé dans l’armée lors de la seconde guerre mondiale. Sa mère Mina est venue avec Rinaldi, très serviable, avec lequel elle s’était associé. A ce moment du récit Rinaldi devient un

l’accouchement, l’enfant puisse se remettre du stress de l’accouchement sur le ventre de sa mère pour qu’il continue à sentir la chaleur et le battement cardiaque. - Le cordon ombilical soit «  clampé  ( serré avec une pince ) et coupé tardivement (après qu’il ait cessé de battre ) de façon à faciliter et à rendre moins traumatique le passage à la respiration pulmonaire. - Qu’il soit laissé du temps à la mère et à l’enfant pour «  se connaître » et que le bain et les procédures médicales du post-partum

effroi1. Ici un Agnonide De la belle Chrysis en tout lieu suit les pas, Adorateur constant de ses divins appas. Le féroce Arminius, ce défenseur de la Germanie, proteste « qu’il vient lire son sort dans les yeux d’Isménie2 ; » et vient dans le camp de Varus pour voir si les beaux yeux de cette Isménie « daignent lui montrer leur tendresse ordinaire3. » Dans Amasis, qui n’est autre chose que la Mérope chargée d’épisodes romanesques, une jeune héroïne, qui, depuis trois jours, a vu un moment

Qu’il s’agisse des foudres de sa mère ou des coups de cet imposteur qui se faisait passer pour son père. Mon rêve se réalisera. Il est là, debout devant moi. Je ne le connais pas et pourtant… Une impression de le connaitre, une impression qu’il me protège, qu’il est là pour moi. Je ne vois pas son visage dans la nuit. Je suis là face au vide, la peur au ventre. Sur le parapet du pont, je tente de mettre fin à ma vie. Pourquoi ? Je ne sais pas. Je ferme les yeux et me lance quand soudain il me

la purgation des passions par le moyen de la représentation dramatique : en assistant à un spectacle théâtral, l'être humain se libère de ses pulsions, angoisses ou fantasmes en les vivant à travers le héros ou les situations représentées sous ses yeux. Pour Aristote, le terme est surtout médical, mais il sera interprété ensuite comme une purification morale. En s'identifiant à des personnages dont les passions sont punies par le destin, le spectateur de la tragédie se voit délivré, purgé des sentiments

ont tombé sur le cadre mais, elle recommence à pleurer. La mère de Sara, JULIE, rentre lentement dans sa chambre avec un sourire amicale. Elle s'assit à côté de Sara et prends sa main. JULIE Chérie, je suis sûre que SISSI va se retrouver dans le paradis des chats. Sara ne répond pas. Elle est silencieuse. Sa mère lui donne un câlin et Sara recommence à pleurer, avec plus d'intensité que plutôt. Elle pleure dans les bras de sa mère en lui serrant fort. Les larmes commencent à mouiller le

Mais là je vois Lucas emmené de force dans une camionnette par deux hommes en uniforme bleu et blanc, des soldats… Carine se jette sur eux, sa bouche s’ouvre mais aucun son n’en sort, pourtant ses yeux criards parlent pour elle et je lis sur ces lèvres. Elle les supplie de lâcher son fils. Les yeux gris de Lucas son plein de larmes, je peine à garder la tête hors de l’eau et je me retiens au bord de la piscine, je tremble de tout mon corps. Tout ce qui se passe autour de moi me parait irréel. Comment

parents n'y venaient jamais, ils se contentaient de cogner à ma porte en m'informant qu'ils quittaient ou que le repas était servi. J'avais repeint ma chambre moi-même d'un bleu-gris assez clair. Trois meubles de bois anciens appartenant à ma grand-mère étaient disposés dans la pièce et malgré leur âge, ils avaient l'air flambant neuf et dégageaient un luxe indémodable. Ma chambre ne compte qu'une seule fenêtre qui commence au ras du sol et s'élève jusqu'en-haut du plafond. Le large rebord de la fenêtre

ELUARD : « La courbe de tes yeux... » Paul Eluard (1895-1952) a été un des piliers du surréalisme qui s'intéresse à l'imaginaire, au rêve et à l'inconscient dans les années 1920. Après une crise personnelle existentielle en 1924, Eluard publie son premier recueil en 1926 : Capitale de la douleur. Ce recueil est dédié à sa muse : Gala. Le poème "La courbe de tes yeux" est l'avant dernier du recueil. La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur, Un rond de danse et