Les Yeux de sa mère

Nourrice jusqu’au jour où j’appris qu’elle est décédé. Ma mère je ne l’ai presque pas connue, elle a toujours été dure avec moi. Si j’écris c’est pour vous faire part de ma vie de princesse mais aussi vous montrez à quel point être princesse c’est imparfait. Suite au décès de ma nourrice j’ai beaucoup souffert j’ai du rangé mes rêves de petite fille, je me suis dis qu’elle est mieux au ciel. C’était elle ma source d’espoir, au fond c’était comme ma mère. Vous savez quand on est une fille d’Emyr on a pas

l’héroïne et traits de caractère ▪ Extrait 1 : Page 16. ( No et Lou se rencontrent pour la première fois à la gare d’Austerlitz) « Elle portait un pantalon kaki sale, un vieux blouson troué aux coudes, une écharpe Benetton comme celle que ma mère garde au fond de son placard, en souvenir de quand elle était jeune. » ▪ Extrait 2 : Page 26. ( No et Lou se rencontrent pour la deuxième fois. Elles vont dans un bar et Lou offre à No une vodka.) « Le serveur revient, il pose les verres

l'existence et faillit même me coûter la vie. Elle avait huit ans et elle s'appelait Valentine. Je pourrais la décrire 5 longuement et à perte de souffle, et si j'avais une voix, je ne cesserais de chanter sa beauté et sa douceur. C'était une brune aux yeux clairs, admirablement faite, vêtue d'une robe blanche et elle tenait une balle à la main. Je l'ai vue apparaître devant moi dans le dépôt de bois, à l'endroit où commençaient les orties1, qui couvraient le sol jusqu'au mur du verger voisin. 10 Je ne

Zoé, 2006 Le Monstre et autres pièces théâtre Seuil, 2007 L'arrivée chez Grand-Mère Nous arrivons de la Grande Ville. Nous avons voyagé toute la nuit. Notre Mère a les yeux rouges. Elle porte un grand carton et nous deux chacun une petite valise avec ses vêtements, plus le grand dictionnaire de notre Père que nous nous passons quand nous avons les bras fatigués. Nous marchons longtemps. La maison de Grand-Mère est loin de la gare, à l'autre bout de la Petite Ville. Ici, il n'y a pas de tramway

fixe. Situer le passage est donc délicat, de plus le texte ne fournit pas de repères temporelle précis. Néanmoins on peut dire que ce passage se déroule chez le père de Natasha, quand cette dernière habitait chez lui avec Vera, sa belle mère, suite au départ de sa mère pour la Russie. Et qu' il rend compte du déroulement de certain repas qui se déroule chez ces derniers, où sont conviés leurs amis. Tous ensemble, il évoque des souvenirs de la révolution russe et d' autres individus absents. Cependant

qu`il avait des nouvelles de sa mère et qu`elle l`avais cru. Alors Laurence la console jusqu` à ce qu’elles commencent à parler de Véronique. Laurence dit qu`elle est très malade et Alexandra éprouve un sentiment de malaise, alors elle veut aller la voir, Laurence est d`accord et Alexandra enfile sa robe la plus belle parce que c`est la robe préférée de sa mère et elles y vont. Quand elles arrivent à l`hôpital, Alexandra entre dans la chambre de sa mère ; sa mère a plein des tuyaux et murmure des

salon de leur maison familiale, Andreï regarda sa mère. Depuis toujours il était pour le moins admiratif de cette femme à qui il devait tout. Elle lui avait tout transmis. Son éducation, son ambition, sa fierté, sa confiance, son assurance, et surtout, sa culture et son goût pour la littérature qui l’avait amené à être ce qu’il était actuellement, un écrivain. Le simple geste qu’elle avait de porter une cigarette à ses lèvres constituait pour ses yeux de fils émerveillé un spectacle devant lequel son

superficielle : blonde, les yeux bleus, la moue boudeuse et des manières si peu exagérées. Mon père est un elfe guerrier dont la beauté n’a pas d’égal, s’il se mettait au mannequinat aujourd’hui je pense que les trois quarts du monde de la mode passeraient du statue de star des magazines à chômeur. Ma mère, mon modèle, souveraine du monde de l’Ombre et Grande Impératrice des Vampires, c’est (après moi) la plus belle femme de cette planète, le teint d’un blanc laiteux, ses yeux sont d’un bleu d’océan si

avec notamment sa mère mais aussi le monde qui l’entoure. Se "nourrir par les yeux". En effet, un tout petit sait se nourrir par les yeux et c’est même très important. Téter le sein ou boire le biberon n’est pas seulement une question de dosage, de calories, il doit aussi se nourrir psychologiquement. Cet enfant vient d’une vie ou tout était paisible, liquide, feutré, ou tout est prévu pour son bien être 24h/24 et la naissance lui enlève cet état. En se connectant avec sa mère notamment pendant

qu'un nouvel enfant était arrivé il y avait quelques jours après la mort de sa mère. La nuit venue, elle rentra chez elle. Mélanie était originaire de Dunkerque, elle avait épousé un anglais, Lucas, le père de son seul fils et s'était installée avec lui dans une villa de taille moyenne d'un quartier résidentiel de Londres. Lucas était un homme grand et maigre, il avait les cheveux châtains, une fine barbe et des yeux d'un noir éclatant, il était responsable et réfléchi, parfois même un peu trop