Les Yeux de sa mère

statique. Seules la bouche ouverte et la langue pointue lui donnent une expression, et ses yeux sont humains. Il semble fixer le spectateur. Sa tête est massive. Il possède des cornes et des oreilles pointues. La mère et l'enfant : Cette femme tient son enfant mort dans ses bras, évoquant une pietà, figure de la Vierge pleurant la mort du Christ. La douleur et les hurlements de la mère sont visibles, les yeux et les narines ont des formes de larmes, la langue pointue sort de la bouche hurlante. Le

quelques figures. - A gauche, la mère et l’enfant. Accroupie, par terre, le buste dénudé, cette femme tient son enfant mort dans ses bras. Cette représentation n’a rien d’une photographie ; pourtant tout dans l’attitude de l’enfant évoque sa mort, tout dans l’attitude de la mère évoque la détresse. Le visage vu de profil, est renversé, tourné vers le haut. La mère hurle sa douleur. Ses narines et ses yeux ressemblent à des larmes. - Derrière la mère à l’enfant se dresse un taureau. Il

Réponses « La mère sauvage » 1. Situation de la nouvelle En 1884, « Je n’étais point revenu à Virelogne depuis 15 ans » «  Je me la rappelai telle que je l’avais vue pour la dernière fois en 1869 » La première personne du singulier, Je. 1869, la vielle de la guerre franco-prussienne 1870, l’année où la guerre fut déclarée Un coin de paradis, avec beaucoup de verdures et des ruisseaux luisants. Un endroit délicieux qui reste en notre cœur et où on vit paisiblement. « Nous gardons

refuser. Celle-ci lui fit présent d’un petit chaperon de velours rouge, et, comme il lui allait très-bien, et qu’elle ne s’habillait plus autrement, on l’appela le petit Chaperon rouge. Un jour sa mère lui dit : — Viens, petit Chaperon, voici un morceau de gâteau et une bouteille de vin, porte-les à ta mère-grand ; elle est faible et malade, cela lui fera du bien. Mets-toi en route avant qu’il fasse trop chaud ; et, quand tu y seras, va bien gentiment ton chemin sans courir à droite et à gauche ; autrement

Pédiatrie Générale du Centre Hospitalier X, je me dirige vers le bureau des infirmiers quand Madame P m’interpelle au sujet de sa fille, qui dans un devoir de confidentialité, je nommerai Anna. Elle semble préoccupée, je m’approche d’elle, elle a les yeux rouges et gonflés, je comprends tout de suite qu’elle vient de pleurer. Je lui demande si tout va bien, elle soupire, baisse un peu la tête et passe son doigt sous sa paupière, comme pour essuyer une larme. Je lui propose de venir s’asseoir un peu

dépité, 4 Que vous fuyez devant. Vos yeux qui ne devaient refléter que douceur, Pauvre cher bleu miroir Ont pris un ton de fiel, ô lamentable sœur, 8 Qui nous font mal à voir. Et vous gesticulez avec vos petits bras Comme un héros méchant, En poussant d’aigres cris poitrinaires, hélas ! 12 Vous qui n’étiez que chant ! Car vous avez eu peur de l’orage et du cœur Qui grondait et sifflait, Et vous bêlâtes vers votre mère - ô douleur ! - 16 Comme un triste agnelet

Voyage du jeune Anacharsis en 1789. Il parle aussi de son oncle, qui travaille à la construction des machines à vapeur, même que le grand-père de Marcel, sans les Ateliers des Forges et Chantiers. Marcel n’a jamais connu son grand-père, mais sa grand-mère lui a raconté des anecdotes et comment il avait été envoyé à Rio de Janeiro pour travailler. Il s’appelait Guillaume Lansot. Il est mort à cause de la fièvre jaune. Marcel rappel aussi la partie de boules sous les platanes à Aubagne. Il déclare que

que l’histoire commence… Vendredi 2 Juillet 2011 Et voilà, nous sommes enfin en vacances, fini le collège et les devoirs, place aux soirées et aux fêtes avec les amis. Mais, il faut dire que je n’ai pas la tête à cela en ce moment. Mon père et ma mère viennent de se séparer, et mon père a décidé d’aller vivre à Londres. Cette nouvelle, à l’époque, m’aurait fait plaisir d’une certaine façon puisque mon meilleur ami y vit. Mais ne parlons pas de lui, il ne compte plus, il ne fait désormais plus partit

donner. Mais toi dis moi ce qui t’arrive, c’est quoi ce truc ? » Les yeux pétillants de son amie, et son sourire qu’elle ne parvenait pas à dissimulée l’amusait. Elle ne trouvait pas ça etonnant de sa part. Britanny avait toujours été une fille pleine de joie de vivre, c’est d’ailleurs ça qui lui faisait tout son charme. De plus, elle était d’une beauté naturelle surprenante avec ses longs cheveux noirs ondulés, et ses grands yeux bleus turquoise. Ses lèvres pulpeuses et souriantes, sa peau blanche

d'assassiner sa mère. Elle reste seule devant le corps d'Egisthe. (d’après Aristote : terreur et pitié) Dans quelle mesure cette tirade d'electre fait elle apparaître la théorie existentialiste de Sartre ? Le monologue appartient expression discursive accompagnée de geste de ce que l'on eprouve.psychologiquement et moralement, état perturbation, instabilité. Phase de quiétude et de culpabilité et de remords. Situation Electre devant le corps Egisthe et dans l’attente du meurtre de sa mère : état de