Les Yeux de sa mère

maudits » → Vie très mouvementée en marge de la société. Finit sa vie dans la misère. La célébrité ne lui aura pas fait connaitre la richesse. « Mon rêve familier » → Femme inexistante →Femme idéalisée →​ RÊVE ​ inaccessible qui aboutie à un échec → Mère, amante, soeur donc inconnue et éloignée du monde réel. → Il s'agit d'une ode où Ronsard loue intentionnellement Cassandre et essaie de la convaincre de l’aimer en retour → Dans cette suite de 3 sizains d’octosyllabes, dans chaque sizains 4 rimes

www.3vaisseaux.fr * Hervé Loth – Peur du Loup ? Personnages (par ordre d’apparition) : – – – – – – – – – – – – – – LE JUGE Gilles Garnier, « LE LOUP » LE NARRATEUR Belle, le petit CHAPERON rouge LA MÈRE du petit chaperon rouge LA MÈRE-GRAND du petit chaperon rouge LE CHAT de la mère-grand du petit chaperon rouge MONSIEUR SEGUIN BLANQUETTE LE DOCTEUR TRIMALCHION NICEROS MÉLISSA GENEVIÈVE JAMBETTE et trois sont les vaisseaux… – www.3vaisseaux.fr 3 Hervé Loth – Peur du Loup ? 1

 Tout avait commencé le jour où ma mère nous avait quittée, je me rappelle encore de la date. C'était le 8 janvier 2003. Dans la petite et vieille maison de mon père Hubert Labranche. Mon père était l'homme d'affaire le plus prospère de cette ville. Depuis que ma mère nous avaient quittés, mon père se verse chaque soir un verre de Whisky et le sirote jusqu'au petite heure du matin en écoutant ce vieux disque des années 60. Ma mère était une femme très ordonner. Notre maison était toujours très

amoureux et tu as souri parce que tu as compris. » Arrigo Boito. Temporaire. Ce mot décrit à merveille les dernières années de ma vie. J’ai un job temporaire jusqu’à ce qu’enfin je parvienne à m’en libérer. Je suis temporairement la mère de mon petit frère depuis que ma mère a décidé de nous abandonner. Et je suis la fille temporaire que tous les mecs désirent parce que j’ai la réputation d’être facile. Mais, à présent, je suis la petite amie temporaire de Drew Callahan, le héros de l’équipe de football

venait de mourir. Le château patrimonial était situé dans la contrée la plus riante, et les revenus des terres adjacentes pouvaient amplement fournir aux embellissements les plus dispendieux. Or, le comte résolut de réaliser et de faire revivre à ses yeux tout ce qui avait, en ce genre, frappé le plus vivement son attention dans ses voyages, principalement en Angleterre, c’est-à-dire tout ce qui pouvait se faire de plus somptueux, de plus attrayant et de meilleur goût. Il convoqua donc autour de lui

La Courbe de tes yeux La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur, Un rond de danse et de douceur, Auréole du temps, berceau nocturne et sûr, Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu C'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu. Feuilles de jour et mousse de rosée, Roseaux du vent, sourires parfumés, Ailes couvrant le monde de lumière, Bateaux chargés du ciel et de la mer, Chasseurs des bruits et sources des couleurs, Parfums éclos d'une couvée d'aurores Qui gît toujours sur la

L'auteur nous fait partager cette atmosphère dans le chapitre « Les bocals »: Verlaine est partagé entre la voix apaisante de sa mère à sa naissance et la voix des morts qui l’ont précédé, trois fœtus nés sans vie avant lui et qui le suivront toute son enfance puisque sa mère les avait conservés dans des bocaux posés sur une étagère ou rangés dans un placard…Sa mère était hantée par la mort de ses trois autres enfants. De cette façon Verlaine en ai lui même imprégné, baignant dedans depuis son enfance

et « Écrire ». Dans la première partie (« Lire »), il évoque ses moments de solitude lors de ses sorties au parc d'enfants. N'arrivant pas à s'intégrer dans le monde réel, il voit en ses livres le refuge idéal, et ce, à l'encontre des envies de sa mère. Dans la seconde partie « écrire », il cherche à démystifier la littérature. Le texte étudié est un extrait du chapitre 1 intitulé « Lire », qui correspond donc à l'enfance de Sartre. Le texte décrit la découverte de la lecture de ce dernier. Et ce

Paralysé par la peur, je fermai les yeux ; car l’idée de regarder cette chose mystérieuse me terrifiait. Je sentis alors un souffle d’air glacé sur mon visage. Horrifié, j’ouvris les yeux dans le but de trouver un endroit ou me cacher. Mal m’en prit : devant, derrière, à côté de moi… Il n’y avait rien. Rien qu’un vide effroyable. J’aurai préféré que la « chose » soit palpable, au moins, j’aurai su comment lutter… Pendant quelques minutes interminables, j’écoutais sans rien entendre, je scrutais

supporter, car il était déjà presque minuit. Je restais assis entre mon père et sa mère, se tenant la tête pour ne pas s’endormir. Quelques minutes après la fin du concert, on entendit la cloche sonner minuit. On sortait tous et on s’embrassait avant de se quitter. Le ciel, lamé d’argent, m’offrait un spectacle merveilleux. " On dirait un grand défilé de lucioles !"  Je dû m’exclamer en observant les étoiles. Ma mère me prit dans ses bras. « Il faut dormir maintenant », je m’agrippai à ses épaules