Les Yeux de sa mère

exprime La douleur et les hurlements de la mère sont perceptibles, L'enfant mort dans les bras de sa mère se rapprochent d'une autre image celle d'une piéta Ses yeux en forme de larme, sa langue en forme de couteau, son visage tourné vers le ciel (d'où est venu le drame) criant la détresse, L'enfant dans ses bras a les yeux vides, la tête et les bras ballants. Elle incarne le peuple qui souffre, La poitrine dénudée symbole de la maternité de la vie de la mère et la patrie nourricier, l'enfant mort

mari la regardait elle s’efforçait de sourire en affectant une –4– contenance calme. La petite fille restait debout, malgré la fatigue dont les marques frappaient son jeune visage hâlé par le soleil. Elle avait une tournure italienne, de grands yeux noirs sous des sourcils bien arqués, une noblesse native, une grâce vraie. Plus d’un passant se sentait ému au seul aspect de ce groupe dont les personnages ne faisaient aucun effort pour cacher un désespoir aussi profond que l’expression en était

Enfance de ma mère. – La polyglotte de quatre ans. – Un talent musical à sept ans. – Éducation Spartiate. – Les cures mystérieuses. – Une apparition. – Les souris victimes. – Jeunesse de ma mère. – Le quartier d’orange glacée. – Arrivée en France. – Les glaces. – Un pari de mon grand-père Rostoptchine. – Comment ont été écrits les Mémoires en dix minutes. – Les singes du Jardin des Plantes. Je n’ai pas la prétention de faire ici la biographie non plus que la généalogie de ma bonne mère. Sophie

de trois textes tout trois tirés de roman du 20e siècle portant sur les rapports d’une mère et de son enfant : Du coté de chez Swann, A la recherche du temps perdu écrit par Marcel Proust parut en 1913, Le Sagouin écrit par François Mauriac parut en 1951 et Le Planétarium écrit par Nathalie Sarraute parut en 1959. Il s’agira ici de montrer l’image donnée par les textes de ce corpus des rapports entre la mère et son enfant. Les textes de Mauriac et Sarraute en donne une image d’un rapport

Arthur Rimbaud (1854 – 1891) est le cadet d’une famille de quatre enfants. Son père abandonne sa famille quand Rimbaud était âgé de 6 ans. Il reçoit alors une éducation catholique sévère de sa mère, femme qui n’a jamais été épargné par les cruautés de la vie. Elève brillant, il débute très tôt de rédiger des poèmes : il commencera de les faire publier à l’âge de 16 ans. Très vite, on se rend compte que Rimbaud a un gout immense pour la révolte et l’aventure. A partir de ses 16 ans, il multiplie les

française âgée de 17 ans. C'est une jeune fille d'origine américaine par sa mère, c'est pourquoi elle parle aussi bien français qu'anglais. Elle habite dans le 16ème arrondissement de Paris, dans une maison qu'elle partage avec ses parents et son petit frère Sean de 14 ans. C'est une ville qu'elle adore, malgré tout ses inconvénients. Wendy a un physique plutôt « banal », à savoir des cheveux châtains foncés et des yeux marrons, le teint plutôt pâle. Elle est timide, discrète et susceptible, mais

histoire d’amour désastreuse, moi et ma mère n’étions pas très proche l’une de l’autre et ce n’est pas pour autant que je ne l’aimais pas. Je ne me confiais pas beaucoup à elle . Pourquoi ? je ne sais pas trop, et pourtant maintenant je me dis que j’aurai dû. Je me rends compte que j’ai perdu beaucoup trop de temps. Mais c’est après cette épisode de ma vie, que j’ai compris l’importance de sa présence à mes cotés. Elle qui à toujours su m’aider, ma mère. Un déclique c’est fait et depuis

courant dans un des immeubles résidentiels, la concierge qui était passer demander aux habitants si tout était revenu dans l'ordre à découvert les corps inanimés de deux de ses résidents et une petite fille, endormie dans une mare de sang à coté de sa mère, les inspecteurs... » *** Ce soir encore on lui avait demander de quitter la table avant la fin du repas, et ce soir encore dans le salon le bruit des assiettes brisées, le bruit des cris et des coups avait retentis. Papa est souvent dans cet

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Les poètes de sept ans’’ (26 mai 1871) Poème de RIMBAUD Et la Mère, fermant le livre du devoir, S’en allait satisfaite et très fière, sans voir, Dans les yeux bleus et sous le front plein d'éminences, L'âme de son enfant livrée aux répugnances. Tout le jour il suait d'obéissance ; très Intelligent ; pourtant des tics noirs, quelques traits, Semblaient prouver en lui d'âcres hypocrisies. Dans

Ma nouvelle : La dernière enquête ou Les yeux rouges Je fouille dans les affaires de mon arrière-grand-mère en quête de bijoux ou de photos. En fouillant dans les affaires je trouve un lot de cahiers nommés «  Cahiers de journaliste » avec les mois et les années. Je les parcours et ne trouve rien d’intéressant jusqu’au dernier. Sur la couverture est inscrit « février 1880 dans la banlieue de Toulouse ». J’y lis : Mon supérieur me demande d’aller enquêter dans une région où il