Les écrans Rendent Ils Violent

rues, d’incurrere in pleores), le Mars que le paysan de Caton invoque dans la lustratio agri (De agricult., 141), est, uniquement dans un cas, avant tout dans l’autre, le dieu violent, vigilant, éventuellement combat­tant, que nous connaissons par ailleurs : on s’adresse à lui soit pour qu’il cesse juste­ment d’être violent, soit pour qu’il empêche les calamités de se déchaîner, montant comme une bonne sentinelle la garde autour du champ, « tenant à distance, repous­sant ou rejetant » (prohibere,

demeurent toujours "dans le sein du Père", et ce sont leurs rayons de vie qui s'élancent, eux, dans l'océan de la matière, où ils s'approprieront les matériaux qui leur sont nécessaires pour agir dans l'univers ; ils s'emparent de la matière, la rendent plastique et la façonnent en véhicules appropriés. H. P. Blavatsky a décrit cette émanation en termes graphiques allégoriques, employant un symbolisme beaucoup plus expressif que les mots ordinaires : "… Le Triangle primordial, qui, dès qu'il

nouvelle assemblée et cela est une très grave erreur politique car leur expérience aurait été très utile. Les élections vont donc voir l’arrivée de tous nouveaux députés. Le suffrage indirect, qui découle du principe de souveraineté nationale, crée un écran entre le peuple et l’assemblée qui voit son indépendance assurée à l’égard des électeurs. La souveraineté nationale prend alors la forme d’une souveraineté parlementaire. Celle- ci conduit naturellement à une domination de l’assemblée. Le second

ce livre, la génération qui vient nous plaigne, nous pardonne et nous aime. Je suis triste de mourir avant de l’avoir écrit, et un roman comme celui-là peut être un événement.37 Vallès écrira en partie le grand livre projeté, et la tonalité des violentes dédicaces placées en épigraphe au seuil des trois romans ne laissent planer aucun doute sur le caractère militant des récits. Evidemment, Vallès écrit aussi pour se justifier, pour expliquer la légitimité de ses refus, de sa révolte : comme Les Confessions

détruit, que les jouissances qu'elle vous procure ne sont que fallacieuses. La drogue est un poison. Peu à peu, elle vous coupe des autres et du monde. Et à la fin, elle vous laisse sur le carreau, vidé comme un simple sac de toile. La drogue est un écran que vous placez entre le monde et vous pour ne pas vous confronter à la réalité... Prenons à présent le même texte, en remplaçant simplement le mot "drogue" par "vie". La vie ne résoudra pas vos problèmes. Si vous voulez vraiment décrocher, vous devez

avec une impression de résonance dans le massif facial lors de la course ou de la marche. Fait capital, elle augmente à l’effort et en position couchée. C’est seulement lorsque la pression du pus est importante dans le sinus que la douleur est violente, pulsatile. n l’écoulement nasal, spontané ou provoqué par le mouchage, est jaune ; c’est du pus. Il y a souvent un peu de fièvre qui, en principe, est plus élevée le matin, traduisant la rétention du pus dans les sinus pendant la nuit, faute

épisodes constituent des variations du récit linéaire, comme des renversements en musique. Le scénariste prend un motif, et le reprend des manières différentes. Ces variations ne changent pas de la direction dans laquelle amène l’histoire, mais la rendent plus compliquée. Le cinéaste a comparé la structure du film à la composition musicale. J’ai l’impression qu’on retrouve dans son théâtre (d’Henry Bernstein) la notion d’exposition des motifs, qu’il traite les motifs en augmentation et en diminution

devenir tout naturellement un régime de droit, à se donner une base stable et une situation juridiquement reconnue car si solide qu’il soit politiquement, un gouvernement de fait est très rapidement soucieux de faire oublier ses origines parfois violentes. C’est ainsi qu’il cherche à se donner une organisation et à proclamer certaines règles de fonctionnement auquel il entend se conformer tout en cherchant à ordonner son action, à assurer sa transmission en fondant des institutions gouvernementales

ceux qui animent le manager lui-même. Ils n’accordent pas le même poids aux mots, la même signification aux faits ou aux événements auxquels les uns et les autres se trouvent confrontés. Le manager sera tenté de les juger impulsifs, irrationnels, violents, voire belliqueux. Ceci peut n’être pas sans fondement. Il convient toutefois de ne pas être victime de ses propres préjugés. Ce n’est pas parce que certains interlocuteurs pensent autrement, qu’ils ne s’inspirent pas des mêmes référentiels d’appréciation

vie, non comme un synonyme de la souffrance, mais comme une opportunité unique –, il respecte ceux qui y sont restés fidèles, et reconnaît de la valeur à certaines des expériences qu’il a eu la chance de vivre. Son désenchantement n’est jamais ni violent, ni amer. Que reste-t-il quand on a perdu ses plus belles illusions ? Sur quoi peut-on fonder son existence quand on a vu s’effondrer l’édifice majestueux d’une religion ? Cette question n’est pas réservée aux moines bouddhistes défroqués ; elle concerne