Lesbianisme

she adds immediately: “The issue of sexuality arises here: if the new ‘ladette’ takes on too many masculine traits, or takes her masculine behaviors a step too far, she is likely to be labeled a lesbian. Though men’s magazines often focus upon lesbianism as a heterosexual male fantasy, the women featured in these articles are overly feminine rather than ‘butch’ or in any way masculine. Similarly, if the male target audience were to take on feminine traits they are likely to be derided as homosexual

», « Le Léthé », A celle qui est trop gaie », « Les Bijoux », « Les Métamorphoses du Vampire ». GUY DE MAUPASSANT La Femme de Paul est une nouvelle de Guy de Maupassant parue en 1881. Cette nouvelle traite de la découverte par un homme du lesbianisme de la femme aimée. RESUME Paul Baron, que tout le monde surnomme Monsieur Paul, emmène Madeleine, sa maîtresse, faire de la yole sur la Seine. Ils vont vers La Grenouillère, un établissement de bains qui fait guinguette. Il y a là les habituels

des mouvements du bas du corps, par des promiscuités suantes et cloacales. L'existence tout entière est fondée sur le dégoût et le meurtre. Note : il y a chez Proust plusieurs "scènes primitives", dont aucune n'est hétérosexuelle. La scène de lesbianisme sadique à Montjouvain ; la rencontre de Charlus et Jupien au début de Sodome et Gomorrhe. Or, lorsque le narrateur, après avoir décrit les approches vues parle de l'acte sodomite plus ou moins entendu, il a cette formule qui relie cette scène à

l’Antiquité païenne, et en particulier les écoles philosophiques (stoïciennes et épicuriennes). Mais il commence par nous faire déchanter : impossible d’opposer une Antiquité « libertaire » à un christianisme « puritain ». La pédérastie banalisée, le lesbianisme chanté par Sapho, l’érotisme omniprésent, les bacchanales, etc. : tout cela est un mythe. Les Grecs et les Romains étaient tout sauf « libertaires ». L’homosexualité n'était tolérée que dans le cas de la relation pédagogique (et encore, elle n’avait

homosexuels qui étaient livrés à l’hostilité des autres déportés en plus de celle des nazis qui leur faisait subir des traitements cruels. Les femmes homosexuelles furent déportées en tant qu’ « asociales » et non en tant qu’homosexuelles car le délit de lesbianisme n’entrait pas dans le cadre du paragraphe 175 –paragraphe du code pénal allemand où il était dit que les actes homosexuels entre hommes serait puni-. Les nazis trouvèrent donc le moyen de les déportés autrement. Elles étaient donc marquées d’un

pages de et sur ces écrits assiégés n'est passée sous silence. Aussi lit-on au cours d'un chapitre fort intéressant, «Drogue et décadence», qu'à la fin du XIXe siècle «la connexion entre morphinomanie et sexualité féminine, y compris sous forme de lesbianisme, paraît acquise». Et d'ajouter un peu plus loin, en s'appuyant sur Méphistophéla de Catulle Mendès, que «la morphine a en effet, dans [l'imaginaire des écrivains], ceci de commun avec l'homosexualité féminine qu'elle crée entre les femmes qui s'y

philosophe Platon comme pour la haute société grecque, le fin du fin est atteint lorsque deux jeunes hommes s’aiment d’un amour sincère, car la virilité est associée non pas à la débauche mais au contraire à la vertu, au courage, et à l’esprit. Quant au lesbianisme, si cette dernière possibilité est bien évoquée, on remarquera qu’elle n’est en rien valorisée. A rapprocher du fait que les femmes n’assistent pas au fameux Banquet, comme si elles n’avaient rien à dire sur l’Amour, rien à faire valoir en tant

familière. Si l’on peut penser que cette « sœur » reste pour le poète d’une importance considérable, il ne nous faut pas oublier que Les Fleurs du mal, embrassent une réalité chère à Baudelaire, mais durement assumée par son titre, celle du lesbianisme, dont les représentantes semblent avoir gagné toute la considération et même la fascination du poète. Si nous avons déjà évoqué nombre de femmes qui paraissent avoir eu une grande influence pour le poète, il nous reste à en voir une dernière

polyarthrite, elle cesse complètement d'écrire au début des années cinquante. Elle décède le 3 août 1954 dans son appartement parisien du Palais-Royal. L'Église catholique lui refuse un enterrement religieux en raison de sa vie sulfureuse (divorces, lesbianisme …). Mais la France l'honore et elle devient la première femme à recevoir des obsèques nationales. À travers des anecdotes marquantes et des descriptions sensuelles, Colette célèbre le monde dans ces deux ouvrages. Sa prose poétique propose un regard

en bon lecteur de Freud, situe le mal-être de Nina dans ses pulsions sexuelles refoulées et le film peut être vu comme l'impossible émancipation d'une jeune fille condamnée à la virginité par sa mère possessive -- avec pour exutoire une scène de lesbianisme... réelle ou imaginaire. Le réalisateur de "Pi", "Requiem for a dream" et "The Wrestler" (qui a relancé la carrière de Mickey Rourke) n'hésite pas à mélanger drame psychologique, thriller et épouvante, comme pour illustrer le chaos intérieur de