Lettre De Rastignac

découvrir que sous le doux visage de la délicieuse et incorrigiblement frivole Manon, se cache une véritable « femme fatale ». -XIXe siècle Le Père Goriot Auteur : Honoré de Balzac Date : 1835 Genre : Roman réaliste Thème : Eugène de Rastignac, un jeune homme venant de faible noblesse va à Paris en espèrent rentrer dans le grand monde, il va vivre dans une pension dans un quartier pauvre avec des personnages très variés. -XXe siècle Des souris et des hommes Auteur : John Steinbeck

dévouée, tout en restant très discrète. Raphaël rencontra ensuite Eugène de Rastignac, qui le fit entrer dans la haute société et lui présenta Fœdora, la femme la plus en vue de Paris. Il s’ensuivit entre eux un long jeu de séduction dans lequel elle se refusa et où, ayant dépensé la totalité de sa fortune, il finit par renoncer. Il gagna alors un petit pactole au jeu, et, dans un élan suicidaire, décida avec Rastignac de le dilapider en menant une vie de débauche. Il quitta pour cela sa mansarde

Monsieur de Rênal, royaliste, avait découvert, caché dans la paillasse qu’il inspectait, le portrait de Napoléon. Le père Goriot présente un jeune noble provincial pauvre, Eugène de Rastignac. Celui-ci, avide de parvenir, reçoit une leçon d’arrivisme de sa cousine, la vicomtesse de Beauséant. Eh bien, monsieur de Rastignac, traitez ce monde comme il mérite de l’être. Vous voulez parvenir, je vous aiderai. Vous sonderez combien est profonde la corruption féminine, vous toiserez la largeur de la misérable

pour celui qui s’y engage. Dans la pension sordide de Mme. Vauquer, au Quartier Latin, logent toutes sortes d’individus : un étudiant provincial, Rastignac, un ancien fabricant de pâtes, le Père Goriot, et Vautrin, un mystérieux personnage qui semble vouloir dominer tous les autres, nous intéressent de manière particulière. L’évolution morale de Rastignac, qui ouvre peu à peu les yeux sur la véritable nature d’une société sans scrupules, croise le destin des autres pensionnaires, du Père Goriot en

pour viser exclusivement le profit, si bien que, sans contenter personne, il se ruinait ». Mme Arnoux lui faire comprendre que rien n’est possible entre eux, car les femmes savent être « sourdes quand il le faut ». Retour à Paris, reçoit une mongue lettre de Rosanette qui l’invite chez elle. Chap 4: Frédéric se rend avec Rosanette à une course de chevaux aux Champs-Élysées. Ils croisent les Dambreuse dans leur Daumont. Ils vont au restaurant, où ils sont rejoint par M. de Cisy et Hussonnet. Finalement

du moins jusqu'au XIXe siècle, est en effet conçu autour d'un ou plusieurs personnages dont le lecteur va suivre l'évolution. Le roman réaliste prend ainsi souvent la forme d'une biographie. Ces figures restent attachées au roman, comme Eugène de Rastignac pour Le Père Goriot, Raphaël de Valentin pour La Peau de Chagrin, Julien Sorel pour Le Rouge et Le Noir, ou encore Madame Bovary dans le roman éponyme. Les romanciers inscrivent naturellement leur héros dans la société. Le roman d'apprentissage est

les vicissitudes de l’existence d’un individu ou d’une classe sociale »4. C’est dans ce sens qu’il convient de comprendre le commentaire du narrateur décrivant la première visite du château de la 23 Français comtesse de Beauseant effectuée par Rastignac : il « n’avait donc pas encore pénétré dans les appartements de madame Beauséant ; il allait donc voir pour la première fois les merveilles de cette élégance personnelle qui trahit l’âme et les mœurs d’une femme de distinction »5. Soulignant au passage

description réaliste. En effet, par opposition aux romantiques, ils exposent les misères humaines comme la pauvreté, le malheur, et les maladies des personnages. De plus, ils dépeignent leurs ascensions sociales qui sont soit une réussite, Eugène de Rastignac, soit un échec, Julien Sorel dans le Rouge et le Noir de Stendhal. Et afin de décrire au maximum la réalité, les réalistes effectuent un travail de documentation en amont sur les métiers, les cartes géographiques et établissent une fiche pour chaque

fortune familiale qui pourrait le pousser à la prodigalité. Mais l’écrivain est resté aussi sérieux et frugal qu’il l’était à l’époque de sa grande misère, il continue de travailler à ses écrits, et il est l’objet d’amicales railleries de la part de Rastignac et Maxime de Trailles car il vit avec une femme vulgaire qu’il ne respecte pas. D'Arthez ne connais pas le romantisme envers la femme mais il y a en lui une timidité qui l’arrête. La princesse de Cadignan va donc essayer de le séduire en lui faisant

autres parties : les Études philosophiques et analytiques. C'est à peu près à cette époque qu'il a l'idée de munir l'ensemble d'une unité organique en faisant réapparaître systématiquement des personnages ; ainsi, ceux du Le père Goriot (1835) : Rastignac, M. de Trailles, Bianchon, les Nucingen, Gobseck, Lousteau, peupleront une multitude de romans et nouvelles. 1. Etude de mœurs : Cette première partie regroupe 105 œuvres dont 43 sont seulement projetées et s'organise de la manière suivante :