Lettre De Soutien Aux Poilus

amour et ma grande folie a nuit descend n y pressent n long destin de sang Analyse du texte: 1. Une lettre-poème On peut voir que c'est une lettre car le poète s'adresse directement à Lou (vers 11-12, vers 16), le lieu et la date où il l'a écrite sont mentionnés à la fin . Il évoque aussi «le front de l'armée», comme n'importe quel poilu. Cette lettre est tranformée en poème avec des vers alexandrins (12) , il y a 5 strophes, des rimes. Le dernier terat est un acrostiche

particulièrement durs : il fait froid et les tranchées se remplissent de boue. Les soldats, surnommés « poilus », ne sont en contact avec leurs familles que par l'intermédiaire d'un courrier censuré par les autorités pour maintenir le moral à l'arrière. Des milliards de lettres seront cependant échangées. Les permissions sont rares (après 1915, une semaine tous les quatre mois pour les poilus français). • Il est difficile de tenir dans ces conditions. Les hommes doivent s'endurcir. Pourtant les

des femmes françaises. Leurs conditions de vie sont dures et leurs rôles dans la société évoluent selon le poids des circonstances et la mobilisation de toutes les énergies nationales. Dans tous les pays, les femmes deviennent un indispensable soutien à l’effort de guerre. En France, le 7 août 1914, elles sont appelées à travailler par le chef du gouvernement Viviani. (diapo)[ Il s’agit tout d’abord pour les femmes de se procurer de la nourriture au moment où les productions alimentaires se

particulièrement durs : il fait froid et les tranchées se remplissent de boue. Les soldats, surnommés « poilus », ne sont en contact avec leurs familles que par l'intermédiaire d'un courrier censuré par les autorités pour maintenir le moral à l'arrière. Des milliards de lettres seront cependant échangées. Les permissions sont rares (après 1915, une semaine tous les quatre mois pour les poilus français). • Il est difficile de tenir dans ces conditions. Les hommes doivent s'endurcir. Pourtant les

travaillait au service de la correspondance d'une compagnie d'assurance dans laquelle il fera une carrière médiocre .Le couple,enlisé dans d'incessants problèmes financiers ne s'entend guère, et l'enfant étouffe dans cette vie familiale étriquée.Il trouve soutien et réconfort qu'auprès d'un oncle et de sa grand-mère maternelle (dont le prénom Céline deviendra son pseudonyme en 1932).Après de brèves et ternes études qui le conduisent jusqu'au certificat d'études , il quitte l'ecole,effectue des séjours en Allemagne

d'État. Les nouvelles générations s’interrogent, les anciennes commencent à parler…   Photo de Guy Mocquet accompagné du BOEN du 2 Août 2007 (doc 10 p 61) Image d’un jeune adolescent (17 ans au moment de son exécution) qui adresse une dernière lettre à ses parents, à sa famille. Personnage emblématique de la résistance communiste, et ce dès 1942, il est « récupéré » par le pouvoir politique en place. Cette utilisation interroge et suscite des polémiques politiques (indignation de Marie-Georges

guerre. Les combattants étaient jeunes (20-40 ans). Beaucoup étaient volontaires ou accomplir leur devoir sans contester et très peu furent réfractaires. b) L’expérience combattante à travers les lettres de soldats. Correction du travail fait à partir des lettres de soldats. Les lettres des poilus témoignent de plusieurs éléments centraux de la vie des soldats lors de la 1ère GM. L’univers commun est celui des tranchées (doc1 p 70). Le front est un espace en rupture totale avec le monde

considérable des effectifs des services de santé. Les femmes jouent un rôle déterminant en s’engageant massivement comme infirmières. Peu sont alors médecin. Par ailleurs, les marraines de guerre et les écoliers apportent un soutien moral et affectif aux combattants en leur envoyant des lettres ou des colis.B) La mobilisation financière et économiqueFinancer la guerre. La guerre entraîne une hausse importante des dépenses publiques. En Allemagne, elle passe de moins de 10 % à 60 % du PIB entre 1914 et 1917

consentement ? culture de guerre ? cœrcition : 6000 gendarmes ne peuvent tenir plusieurs millions de soldats. La propagande à l’arrière bat son plein, mais réalité sur le champ de bataille efface tout publicité : question du consentement posée. Poilus français, teddies, tommies, doughboys anglais, pommies américains. France : 1.8 millions de conscrits : service militaire = guerre. 1914-1922 : 2.8 millions de conscrits : majorité d’une classe d’âge masculine : poids énorme dans la guerre

de mobilisés; 1,4 milions de morts. -“gueulees cassées”: soldats qui ont survécus avec des blessures “attroce” (ex: livre “chambres des officiers”: réparer les visages détruits) -conditions de vie qui usent les corps, déchicté Paroles de poilus: lettres et carnets du front 1914-1918: racontent les conditions de vies dans lesquels ils vivaient: rats, poux, vermines, froid, nourriture, boue → L’hiver est froid et rude dans le nord de la France. Ils ne peuvent pas se laver → Boue → Nourriture: