Lettre Intime

et analyser 1. a. Le récit est mené à la première personne du singulier. b. La date mentionnée au début du texte est le 8 mai, date de la mort de Gustave Flaubert, grand ami du jeune Maupassant. La nouvelle se présente sous la forme d’un journal intime, destiné au seul narrateur. Jamais il n’évoque la possibilité de le montrer à quiconque. En fait, le véritable destinataire est le lecteur. c. Dans la mesure où le diariste relate, pour lui-même, des faits dont il a été témoin, son témoignage apparaît

le mémorialiste n'est que témoin de l'histoire. - Le poème autobiographique : la forme n'est pas la prose. - L'essai ou l'autoportrait : le récit n'est pas rétrospectif, il illustre des réflexions, son organisation est thématique. - Le journal intime : le récit de celui qui tient le journal, le diariste, n'est pas rétrospectif (même s'il n'est pas toujours quotidien et procède à des bilans sur une période de plusieurs jours ou quelques mois). - L'autofiction : l'invention et la fiction se mêlent

L’ Herbe Bleue Journal intime d’une jeune droguée Auteur : Anonyme Ce livre est une chronique personnelle fondée sur des faits vécus et une expérience plutôt qu’une histoire commune ou ordinaire. Une fille de 15 ans a connu drogue et galère. Une jeune fille de 15 ans, nous raconte ses peines, ses joies ses coups durs, mais surtout cette relation qu’elle entretient avec «  la drogue » , cette attachement qui la rattrape où qu’elle aille, qui la suit dans ses relations avec ses proches. La

23/12/2010 relater tous les faits courants et importants.- noter les évênements et les rencontres décssisives.- exprimer un désir, une envie, un espoire,...intime:- biographie personnelle.- ses choix, espoires, besoins, envies... J'ai décidé de reprendre un journal intime, la première fois que j'en ai écrit un, c'était il y a assez longtemps, j'étais encore en primaire, sa me change d'aujourd'hui avec la seconde. Quand je dis la première fois, c'est parce que je l'ai déchiqueté, et mis

d'Annelies Marie Franck (Anne Frank, 12 juin 1929 - mars 1945) est le témoignage unique d'une adolescente juive cachée avec sa famille pendant deux ans, afin d'échapper à l'occupation allemande aux Pays-Bas, durant la Seconde Guerre Mondiale. Son journal intime est mondialement connu et étudié, et a été adapté sous de nombreuses formes artistiques. Il apparaît souvent comme un symbole de la lutte contre la haine et l'antisémitisme, des fléaux ayant conduit à la mort de la jeune femme, parmi des millions

lieu l’action appartient bien à la réalité : Le Horla 1 : précision du personnage supposé fou sur le lieu où sa maison est située : « sur les bords de la Seine, à Biessard, auprès de Rouen » Le Horla 2 : dates précises grâce à la forme du journal intime + précisions même sur l’heure : « vers onze heures » (8 mai), « vers dix heures » (25 mai), etc. Précisions sur l’endroit où a lieu l’action : « de mes fenêtres, je vois la Seine qui coule », « à gauche, là-bas, Rouen » Le Tour d’écrou :

L’analyse littéraire Le Horla est un récit fantastique mettant en scène Guy de Maupassant, l’auteur de ce livre. Le personnage principal de ce livre souffre de problèmes mentaux qui le rendent fou et effrayé. Étant écrit sous une forme de journal intime, le texte est à la première personne du singulier. Ses troubles lui font croire qu’un être surnaturel existe : C’est le Horla dont il sent sa présence en tout temps. Guy de Maupassant est ne à Fécamp en 1850. Il fut élevé par sa mère, qui elle

de billets chronologiques et dont la lecture est ouverte à tous les lecteurs du Net. La journaliste met l’accent sur l’aspect interactif du blog puisqu’il suscite l’envoi de commentaires. Espace d’expression libre, il s’agit d’une sorte de journal intime publié sur Internet. Cette caractéristique de journal est reprise par Michel Edouard Leclerc lors d’un entretien publié par Loïc le Meur dans son ouvrage « Blogs et Podcasts » en 2006. Il définit le blog comme un journal quotidien permettant de

rapproche l’art de la vie, Sophie Calle choisit d’aborder le motif de la douleur amoureuse dans une perspective intimiste à la limite de l’exhibition. Elle oscille habilement entre les différentes formes utilisées, le récit autobiographique, le journal intime, la correspondance. L’écriture autobiographique est sensée opérer un bilan rétrospectif alors que l’écriture diariste, discontinue vise à enregistrer un moment de la vie. Dans «L’Avant-douleur», les pages sont encadrées de couleur rouge, elles

une jeune fille de 17 ans est anorexique, elle maigrit et s'isole de plus en plus depuis la mort de sa grand mère Mamouchka. Elle s 'interroge sur certaines zones d 'ombres de son passé familial. A la mort de sa grand mère, elle découvre le journal intime tenu par son grand père pendant la seconde guerre mondial, elle finit par comprendre que ses grands parents étaient des nazis et qu'ils ont participé au génocide des juifs à Sobibor L'époque : Le récit mêle deux epoques indentifiables : -Une