Lettre Pour Son Fils

Introduction       Les Lettres persanes ont été publiées en 1721 anonymement. L’éditeur présente son livre comme un recueil de lettres fictives de Persans qui l’aurait recueilli chez lui. Cela permet d’éviter la censure. Les deux personnages principaux, Rica et Usbek, sont deux riches Persans qui ont quitté Ispahan pour rejoindre Paris. Leur séjour s’étend sur une dizaine d’années de 1711 à 1720. Ils écrivent beaucoup pour raconter ce qu’ils observent à leurs proches restés en Perse et aussi à leur

Montesquieu, Lettres Persannes Nom de naissance : Charles-Louis de Secondat, baron de La Brède et de Montesquieu Activité(s) : écrivain et philosophe Naissance : 18 janvier 1689 la Brède Décès : 10 février 1755 Paris Mouvement : Lumières, Libéralisme (le libéralisme est un courant de pensée philosophie politique, né d'une opposition de l'absolutisme et au droit divin dans l'Europe des Lumières ) Genre : Roman épistolaire Bibliographie : les deux ouvrages qui valent la gloire

Les Lettres choisies de Mme De Sévignié: Lettre 1: Le 15 mars 1648, envoyée à Bussy-Rabutin, depuis les rochers. Cette lettre a pour but d'annoncer la naissance d'un garçon et du plaisir de Mme De Sévignié d'être avec son cousin. Lettre 2: En juin et juillet 1652, envoyée à Gilles Ménage depuis Paris. Cette lettre demande un entretien avec son cousin dans le but de s'expliquer. Lettre 3: Le 1 décembre 1664, envoyée à Pomponne depuis Paris. Dans cette lettre, Mme De Sévigné se moque d'un courtisan

tous les hommes de lettres de son temps, Molière a écrit un certain nombre de poèmes de circonstances, dont la quasi totalité a disparu, de sorte qu’on a tenté à la fin du XIXe siècle de lui attribuer quantité de pièces simplement signées d’un M., mais nous sommes beaucoup plus circonspects aujourd’hui. Outre La Gloire du Val-de-Grâce, long poème dédié à son ami Mignard, nous connaissons cinq très courtes pièces, dont une consolation À M. La Mothe Le Vayer sur la mort de son fils, et un éloge adressé

protestante, découvrit son fils aîné Marc Antoine, âgé de vingt-neuf ans, pendu dans la maison familiale. Pour éviter de subir l'opprobre qui frappait les proches en cas de suicide, la famille décida de maquiller l'affaire en accident. Dénoncé, Jean Calas fut accusé d'avoir tué son fils pour empêcher celui-ci de se convertir au catholicisme, comme il en aurait manifesté l'intention. Aucune enquête ne fut entreprise pour connaître la réalité des faits. Jean Calas, sa femme et son fils Pierre furent soumis

Jeanne. Sa mère s’appelait Adélaïde, son père l’appelait « Madame Adélaïde » pour se moquer ou « petite mère ». Adélaide souffre d’une hypertrophie du cœur, elle est obèse et passe sont temps à lire des livres d’amour et à relire les anciennes lettres de sa boite à reliques. Le père de Jeanne était le Baron Simon Jacques le Perthuis des Vauds, issu du siècle des lumières il a des idées de bonté sur la nature, l’amour et la vie, il est contre l’église. Jeanne est ravie de retourner aux peuples

universités. Il reçoit à Paris une lettre de son père Gargantua : lettre avec programme d’éducation. Extrait à la fin de la lettre. Le texte exprime les sentiments de Gargantua envers Pantagruel mais aussi un traité d’éducation inspiré par l’idéal humaniste. Le texte subversif où Rabelais prête à son héro sa propre liberté de penser. Problématique :  Dans quelle mesure cette lettre reflète-t-elle les ambitions conquérantes de l’humanisme ? Plan : I.] Une lettre II.] Un programme d’étude ambitieux

Commentaire composé Franz Kafka, Lettre au père Depuis : " Tu renforçais les injures par des menaces, qui elles, me concernaient bel et bien." jusqu'à: "Tu avais une confiance spéciale dans l'éducation par l'ironie, elle s'accordait d'ailleurs au mieux avec ta supériorité sur moi." (p.30 à 31) Franz Kafka considérait l'écriture comme une nécessité profondément intime, comme s'il s'agissait pour lui « d'une activité atroce », qui impliquait « une ouverture totale du corps et de l'âme ». Autrichien

Le jeune homme âgé d’une trentaine d’années rentra chez lui tard le soir, comme à son habitude. Il s’assit sur le fauteuil près de la cheminée pour effectuer ce petit rituel quotidien consistant à ouvrir et lire son courrier. Une lettre attira son attention, plus volumineuse que les autres, écrite à la main d’une écriture qui lui sembla familière sans qu’il puisse pour autant se rappeler de sa provenance. Il ‘s’enfonça un peu plus dans son siège et commença la lecture de ce papier

réputation, il avait une maîtresse, une vieille maîtresse. Jacques aimait séduire il aimait toutes les femmes. Mais il voulait se ranger et se marié avec Berthe. Jacques recevait des lettres de sa maîtresse mais ne voulu pas y répondre n’y même les ouvrir, dés qu’il en recevait une, il était en colère et déchirait ses lettres sans même les lires. Berthe et Jacques allaient se mariés en Mai, ils ne voulaient pas faire de voyage de noce classique, donc pour leur voyage de noce ils allaient aller à la mer