Lettres Persanes Lettres Viii

Les Lettres Persanes de Montesquieu. Lettre 151 (page 331), De Solim à Usbek. Situation initiale : * L’émetteur de la lettre est Solim, c’est un esclave sous l’ordre du seigneur persan Usbek, il est en poste au Sérail d’Ispahan. * Le récepteur de la lettre est Usbek, grand seigneur de Perse et propriétaire du Sérail d’Ispahan. * Elle est rédigée le 6 de la lune de Rebiab de l’année 1719, directement envoyée du Sérail d’Ispahan en direction de Paris. Résumé : Avant cette lettre : on

ne pas se comporter de façon hypocrite et fausse. C'est cette sincérité qui séduit le Vicomte de Valmont. En effet, elle ne porte aucun masque, elle sait qui elle est, et selon le Vicomte, "toute parure lui nuit ; tout ce qui la cache la dépare" (lettre VI). La Marquise de Merteuil, au contraire, se sert de son intelligence afin "d'en profiter pour observer et réfléchir" (LXXXI) et de contrôler ses passions et celles des autres, tout en préservant sa réputation. Aristocrate libertine, elle ne peut

| |C'est au cours des années qui suivirent qu'il commença à écrire (Dissertation sur la politique des Romains dans la religion, 1716 ; Lettres Persanes, 1721 ; Dialogue | |de Sylla et d’Eucrate, 1722.). Cependant, en 1726, Montesquieu dut vendre sa charge afin de payer ses dettes. | |Après avoir été élu à l'académie française en 1728

Montesquieu – Lettres Persanes XXX Le texte est une lettre écrit par Montesquieu à Paris en 1712. L'auteur est issu d'une grande famille de parlementaires bordelais. Il consacre beaucoup de son temps au voyages. Montesquieu est le précurseur des philosophes du 18ème siècle. Il a défendu la conquête de la raison, de l'esprit de la tolérance ainsi que la séparation des pouvoirs en politique. Il a écrit les lettres persanes, il s'agit d'un roman épistolaire qui présente la déclaration de deux persans et de

De la lumière divine aux lumières de la raison : telle est en substance l'idée générale du 18ème siècle. L'homme des Lumières se veut libre de se consacrer aux sciences, à la philosophie, aux lettres et de se libérer de la tutelle de Dieu. Voltaire fait partie de ces grands hommes, qui ont marqué cette époque. Ses écrits lui attirent la sympathie du peuple, et forment le ciment de l'esprit révolutionnaire. Parmi ces contes philosophiques, Micromégas (paru en 1752), perpétue la mode des récits de

croyance au surnaturel; et Montesquieu et Buffon qui se sont intéressés à l'étude de la société et l'histoire naturelle. Montesquieu:- Homme de lettre et philosophe français, Montesquieu a inspiré les débuts de la Révolution française. Montesquieu est l'auteur de l'Esprit des Lois, qui a fait l'objet d'attaque de la part des religieux et des Lettres Persanes, qui est considéré comme une satire audacieuse des mœurs des Français à la fin du règne de Louis XIV. Montesquieu a entrepris un tour d'Europe

choix de ce procédé a été repris par lʼauteur: en effet, il était déjà employé depuis le XVIème siècle («Des Cannibales», Les Essais de Montaigne) mais surtout au XVIIIème siècle de par les différents contes philosophiques de Voltaire, ou les Lettres Persanes de Montesquieu.

au parlement de Guyenne, épousa en 1686 Marie-Françoise de Pesnel qui lui apporta la terre et le château de La Brède situés près de Bordeaux. Dans la famille depuis le XIème siècle les terres de la Brède furent érigées en Baronnie par Henri IV par lettres patentes en Février 1606. 1689- 1692: Comme la plupart des enfants de la noblesse, il est confié, dès sa naissance, à une nourrice habitant le moulin du Bourg. Jusqu’à l’âge de 3 ans, il vit comme un petit paysan et parle le gascon. 1693: Il retourne

Lettres Portugaises (1669) Guilleragues Quand paraissent en 1669 les Lettres portugaises, personne ne doute de leur authenticité, tant leur sincérité est convaincante. Ces cinq lettres sont adressées par une religieuse portugaise à un officier français qui l’a séduite et abandonnée. On sait aujourd’hui qu’elles étaient l’œuvre d’un écrivain par ailleurs peu connu, Guilleragues, inspiré sans doute par de véritables correspondances. L’œuvre se présente comme un roman épistolaire à une seule voix,

l'écrivain de connaître le monde, d'accéder à des vérités non connues. Tout en servant l'argumentation, les histoires permettent aussi aux écrivains de masquer leur critique, et d'éviter ainsi la censure. Par exemple, Les Lettres Persanes de Montesquieu où les histoires des persans et les apologues permettent à l'auteur à la fois de faire une rude critique de la société et des pouvoirs français, tout en masquant cette critique. Enfin, grâce à certains ouvrages qui le démontre, ont peut affirmer