Lexique De La Souffrance

du roman Julie ou la nouvelle Héloïse de Rousseau, la protagoniste Julie est déconcertée par sa rupture avec son amant. Le philosophe des Lumières peint le portrait moral de l’héroïne afin de mettre en relief sa détresse. Il utilise pour cela un lexique des sentiments liés à l’échec du personnage  : « révolution […] en moi » (l.1) ;  « regret » (l.4) ; « le sentiment de ma faute » (l.6) ; « stupidité » (l.14). Julie est aussi dans l’incapacité d’agir à cause de ses sentiments. A la ligne 22, l’écrivain

un rétrécissement de l’espace qui va marquer toute la suite du poème. Dans ces conditions, le poète est en proie à la souffrance : la métonymie “esprit gémissant” réduit le poète et l’homme de façon général (“nous”) à cet être souffrant. La rime “nuits”/”ennuis” lient les conditions météorologiques et l’état d’esprit du poète, habité par le noir

dévalorisation des opinions de l’autre (par un lexique péjoratif, le recours aux pronoms personnels « on » ou « ils »), les exclamations, les exagérations, les apostrophes (qui permettent une agressivité verbale), l’ironie, les concessions à la thèse adverse pour mieux relancer sa propre thèse, les moqueries et les satires. Le registre pathétique : émouvoir fortement, provoquer la pitié. Les procédés privilégiés sont : le champ lexical de la douleur et de la souffrance, le choix d’un point de vue subjectif

L’Harmattan 2001. -Sur les représentations sociales : (Lexique de sociologie Dalloz 2007) « Elles sont constituées de croyances, de jugements, de visions du monde, d’opinions, ou encore d’attitudes. Ces idées, croyances ou opinions aboutissent à la constitution d’une véritable connaissance, généralement qualifiée de sens commun, de pensée naturelle. Elles sont le plus souvent distinctes de la pensée scientifique. » -Sur le sens commun : (Lexique de sociologie Dalloz 2007) Dans le langage courant, le

point ses sens sont bouleversés puisque son corps réagit de façon contradictoire (le rouge/le blanc ; le chaud/le froid) Phèdre est tellement attirée physiquement par Hippolyte qu’elle est troublée quand elle le voit. C’est pourquoi elle utilise le lexique des sens et essentiellement celui de la vue (« vis » v. 7 ; « « mes yeux » v. 9 ; « sentis » v. 10 ; « voyant » v.20 ; « mes yeux » v. 24 ; « revu » v. 37) Elle est touchée par lui au point qu'elle en devient aveugle et muette (« Mes yeux ne voyaient

véritablement provoquer de la pitié · S2 description péjorative donc atmosphère différente · Il présente l’araignée et l’ortie comme des victimes et rappel la vision que tout le monde porte sur ces deux êtres · Emploi un lexique péjoratif « chétive » « noir » · En somme tout ce lexique laisse à penser que ces êtres sont diabolique satanique mais aussi au service de cette idée il y a des allitérations en R V6 et en I qui apportent un côté strident aux vers 5-7 · La personnification est aussi au service

tragique car elle suscite terreur et pitié chez le spectateur. L’utilisation du registre tragique présente des personnages qui ne peuvent lutter contre leur destin, le lexique utilisé évoque la mort, la fatalité et l’impuissance. Le registre pathétique présent aussi, cherche à susciter la pitié par l’utilisation du lexique de la souffrance et du désespoir, ce sont des personnages de haut rang issu de l’aristocratie qui met en scène un mythe et traite sur le thème de la fatalité, Médée est représentée

sentiments grâce à la musicalité de son poème, c'est une expression de soi Quelles sont les caractéristiques de la poésie lyrique ? Dans un poème lyrique, l'implication du poète est entière : elle est repérable à l'usage de la première personne, au lexique affectif qui nourrit les images, aux sonorités et aux rythme qui traduisent les émotions qui par lesquelles le poète célèbre la nature, les hommes ou la personne aimée. Le poème lyrique devient un champ auquel le lecteur est appelé à joindre sa propre

dépréciatives, antiphrases ironiques), procédés d’insistance (anaphores accumulation), apostrophes, lexique de l’émotion (indignation, surprise)). - Satirique : Se moquer, dénoncer les défauts des autres par le rire (antiphrases, caricature : figures de l’exagération (hyperboles…), naïveté feinte ou éloge paradoxale, allusions et sous-entendus). - Didactique : instruire, transmettre un savoir (lexique de la pédagogie, tournures de l’ordre et du conseil (impératifs et futur à valeur injonctive), progression

l’émotion, la frayeur de Phèdre devant les conséquences de ses paroles.  L’interjection : « Hélas ! » (v.28) : le regret de Phèdre  Le superlatif : « trop véritable » (v.28) : Phèdre redoute d’être confrontée à ses propres paroles.  Le lexique de la faute : « reproche », « coupable », « poids », « opprimés » : Phèdre reconnaît sa responsabilité et craint d’en faire payer le prix à ses enfants.  La diérèse (v.30 et 31) : « odieux », « yeux » : souligne l’infamie des paroles