L'habit ne fait pas le moine

GARGANTUALa vie et l’œuvre de Rabelais Né en 1483 ou 1494, et mort en 1553 , Rabelais de son vivant mena plusieurs vies en une , après des études de droit , il se fait moine en rejoignant le couvent des Cordeliers d'Anger , pendant ce temps , il apprit le grec , il devient secrétaire de l' évêque du Mallezais . Après son apostasie , Rabelais entreprend des études de médecine et devient bachelier en médecine à Montpellier , en parallèle de ses occupations de médecins , à l'Hôtel-Dieu de

critique a pu affirmer que « dans cette pièce l’auteur cherche à nous faire rire, mais pas uniquement ». Le livre s’appelle Tartuffe, comédie représentée pour la première fois au château de Versailles le douze mai 1664. Cet œuvre écrite par Molière fait partie de la littérature française dans la deuxième moitié du XVIIe siècle. Jean-Baptiste Poquelin sous son pseudonyme Molière naît en 1622, destiné à une carrière bourgeoise il préfère fonder l’Illustre-Théâtre accompagné de sa maîtresse. Plus tard

changer d'identité. 1 : Un jeu de rôle... On comprend mieux dès lors la manière dont le roman insiste sur le thème du déguisement ou du costume. C'est une autre façon de suggérer le caractère factice des identités d'où l'expression l'habit fait le moine. Dès sa première apparition, Pedro semble déguisé : « Il était affublé de grosses bacchantes noires, d’un melon, d’un pébroque et de larges tatanes » page 44. Le roman reviendra ensuite constamment sur la question de ses costumes : « Et tes

l’exigence d’autrui, mais simplement à son apparence. On se préoccupe des choses parfaitement futiles. La mode conduit à juger autrui, non pour ce qu’il est, mais pour ce qu’il parait. Le vêtement dégage un peu ce que l’on est, même si l’habit ne fait pas le moine, le choix de notre tenue pour affronter le monde et les autres est notre parure pour exprimer un peu ce que l’on est. Ne pas suivre la mode, c’est se distinguer des autres, signaler son originalité personnelle, marquer ses refus, ses rejets

personnalités et uniformisent les gens. Mais notre façon de nous habiller parle : de nous, de notre histoire, de nos désirs conscients ou inconscients. Nos vêtements portent aussi la trace de nos sentiments. Ce qui nous lie vraiment à nos vêtements est le fait qu'ils portent la marque d’enjeux psychologiques profonds : sous leur apparente futilité, ils parlent d’image de soi, de rapport à l’autre, de désirs plus ou moins conscients, d’histoire personnelle, mais aussi d’émotions. Le vêtement est porteur d'une

l’hyperbole « si tendre », « si bien chaussée », « si galante »… Il quitte le rapport économique. Rapport à la chair, couleur des mains et des regards. La femme est définie par sa chair et aussi par son parfum. Femme sujet et objet, qui séduit et qui fait tout pour être séduite. Jacob rappelle à nouveau le regard du lecteur, « voyer quelle école de mollesse »… cherche l’indulgence du lecteur et à légitimer cette ivresse. Cette école permet de « débrouiller mon esprit et mon cœur » -> moyen ou fin ?

il convient d’identifier le plus rigo ureusement possible les domaines du savoir auxquels peut s’appliquer la notion. Exemple : le concept de « Dieu » évoque la religion, la cr oyance mais plus largement la métaphysique. Celui de « liberté » fait référence à la sociologie, à la politique, à la morale... • Problématiser à partir de l’analyse d’une notion Une notion n’est pas seulement liée à une définitio n unique comme le sont les mots techniques, qui ont un usage essentiellement instru

pour arriver à ses fins. Il suffit de se rappeler que le fondateur de la Scientologie, Ron Hubbard, déclarait ouvertement - lorsqu'il était simplement un auteur de science-fiction : "Si vous voulez devenir vraiment riche, fondez une religion". En fait, sa religion à lui, c'était l'argent. Dieu selon la Scientologie Il est évident que la notion même de Dieu est secondaire pour la Scientologie. L'adepte de la secte peut croire ou ne pas croire en Dieu, être pratiquant ou non, peu importe.

en effet, assez souvent à celle d’ordre, de règle, de loi, elle suppose une hiérarchie entre celui qui demande ou ordonne l’obéissance, et celui qui obéis. Elle peut être définit de manière générale, comme le fait de faire ce qu’on nous a demandé ou ordonné. Mais qui est ce « on » qui fait appel à notre obéissance ? Car devons-nous obéir à n’importe qui qui nous l’ordonne, ou devons-nous prendre le temps de nous poser la question à qui ou quoi devons-nous obéir ? Car si l’obéissance s’impose souvent

laquelle « L'habit ne fait pas le moine » est communément admise, et est une phrase du langage commun qui aurait tendance à nous faire penser que les apparences sont nécessairement trompeuses. Pourtant qu’est-ce qu’une apparence si ce n’est une perception qu’un individu obtient du réel qui l’entoure ? Ainsi, on peut assimiler les apparences aux résultats de l’activité sensorielle d’un sujet. Cependant, ces derniers constituent l’ensemble des représentations basées sur la sensation qu’un Homme se fait de