Liberté de pensée

Liberté d'expression et internet Sigve Soldal Bjorstad Institut d'Etudes Politiques de Paris Internet ? Enjeux de théorie politique Conférence de Paul Mathias 31/03/2000 I. Historique de la liberté d'expression II. La spécificité de l'internet et les possibilités qui s'ouvrent III. Quelles limites quant à la liberté d'expression ? IV. Les tentatives de régulation par les autorités V. La lutte sur le réseau même VI. Où en est la liberté d'expression sur internet ?

dans beaucoup de pays libres, la liberté d'expression est un principe intangible, c'est sur cette base que toute personne peut librement émettre une opinion, positive ou négative, sur un sujet mais aussi sur une personne physique ou morale, une institution… Il s'agit donc d'un droit, mais comme tout droit, son abus peut être sanctionné, au terme de la théorie de l'abus de droit. Nous nous penchons ici successivement sur les grands fondements juridiques de la liberté d'expression dans le monde, en

droit ... • • • • • • • • • • • de vivre ; à la non-différence ; à une identité, une nationalité ; de connaître leurs parents, d'être élevés par eux ; d'être nourris, logés, soignés ; d'être éduqués, informés, d'avoir accès à la culture ; à la liberté de pensée, de conscience, de religion ; d'être protégés contre la négligence, la maltraitance, toute violence physique ou mentale, y compris la violence sexuelle ; de s'exprimer librement : oralement, par écrit, par l'expression artistique, ... ; aux loisirs

l= L’analyse d’un droit fondamental: La liberté d’opinion et d’expression En France comme dans beaucoup de pays libres, la liberté d'expression est un principe intangible, c'est sur cette base que toute personne peut librement émettre une opinion, positive ou négative, sur un sujet mais aussi sur une personne physique ou morale, une institution… Il s'agit donc d'un droit, mais comme tout droit, son abus peut être sanctionné, au terme de la théorie de l'abus de droit. Nous nous penchons ici

frais de scolarité et qui en est venu à nous poser des questions sur notre propre gouvernement et démocratie. Du côté du gouvernement, plusieurs disent que oui nous vivons en démocratie, car nous avons le droit à plein de liberté individuelle comme la liberté d’expression, de pensée, de voter ou encore de travailler ce que plusieurs pays encore dans le monde n’ont pas. Du côté des associations étudiantes, plusieurs affirmes que non nous ne vivons pas en démocratie, car nous n’avons pratiquement aucun

QUESTION 1 La liberté de religion désigne le droit subjectif fondamental des personnes de choisir et de pratiquer une religion donnée et l'évaluation du respect de ce droit. Par extension, elle fait référence aux textes de droit, déclarations, pactes, conventions, lois, textes constitutionnels divers qui permettent d'affirmer, défendre, étendre ou limiter ce droit. La liberté de religion est un aspect de la liberté de conscience. Selon Jean Baubérot , la liberté de pensée donne à l'individu

libertins, qui revendique la liberté et s'oppose à la domination de la religion. Dés lors il désigne celui qui "ne s'assujettit ni aux croyances religieuses, ni aux pratiques de la religion.", puis il désigne ceux qui revendiquent une liberté d'opinion et de pensée. Le sens évolue et signifie : " désireux d'indépendance" " qui dépasse la mesure" "qui va à l'aventure" ( = qui laisse aller ses pensées ; qui se laisse emporter

champs lexical de la détention, de l’enfermement « fers », « cachot », « prison » qui définissent l’horreur de son présent. Opposition entre la liberté passée « j’étais libre » et sa détention actuelle « je suis captif » qui marque sa condition de condamné qui le prive de sa liberté de pensée « mon esprit est en prison ». o Le tourment du narrateur La pensée de la condamnation à mort devient obsédante, l’esprit du narrateur est alors tourmenté. Ce contraste qu’il y a entre un présent terrible

Lumières s'incarne, lui, dans le philosophe. Au XVIIe siècle, en effet le terme désignait le professeur qui enseigne la logique, la morale, la physique et la métaphysique. Ce penseur était chrétien et ne remettait en cause ni les données de la pensée religieuse, ni la tradition, ni le principe d'autorité. Au XVIIIe siècle, le terme «philosophe» désigne une nouvelle sorte de penseur. Ceux qui se regroupent sous le titre « philosophes du XVIIIe siècle » illustrent un esprit nouveau. La confiance

qu’elle avait perdus. Il nomme Turgot comme ministres des finances qui fait des réformes:  libre commerce du grain  égalité devant les impôts  suppressions des corporations Les privilégiés se rebellent et le ministre est remplacé par Necker. Il pense qu’il faut diminuer les dépenses de l’Etat, il faut trouver de l’argent parce que la France est en crise. La société au XVIIIème siècle A’ partir de 1720 la France connâit un demi-siècle de prospérité, c’est le pays le plus peuplé d’Europe et