Liberté Marx Et Descartes

Référence : Laurence Hansen-Love. La philosophie de A à Z, Paris, Hatier, 2011, p.446. RELATIVITÉ : Extrait : «Comment la pensée moderne est née face à la découverte de la relativité des choses(…)» Source : Cahier 2, page 3 : De Descartes à Paul Ricoeur VERGELY,Bertrand(2006),«De Descartes à Paul Ricoeur», dans le Boulevard des philosphes, Milan, p.8. Définition : «Caractère de ce qui n’est pas absolu. Exemple : la relativité des goûts et des couleurs, la relativité de la perception, la relativité des idées

le travail ET la technique s’en trouveront réhabilités. 3. Le retournement : le travail humain, un travail spécifique. L’époque moderne (depuis la Renaissance) glorifie le travail. Animal laborans = animal travaillant valorisé. Pq ? Karl Marx : le travail humain implique un plan et un projet spirituel ≠ opération animale. Animal : il construit certes, mais n’a aucun but conscient ; aucune volonté réfléchie ; il ne se représente pas ses fins. L’homme a une activité vitale consciente

il existe une rationalité profonde qui gouverne le monde et qui en constitue la trame cachée. Pour Hegel, en particulier, les passions des hommes ne sont que les « matériaux » que la raison utilise pour parvenir à son but. Pour les matérialistes (Marx et Engels) l’histoire repose sur une base matérielle (l’infra-structure économique) qui la détermine en premier lieu. Les approches hégelienne et marxiste sont « dialectiques », ce qui signifie qu’elles reposent sur l’idée que le « négatif » (les luttes

du pouvoir. Il n’y a guère au sens moral du terme que le sujet est considéré comme l’auteur responsable de ses actes. Juger quelqu’un comme étant responsable de ses actes est encore la meilleure façon de le poser comme sujet et de lui accorder la liberté. On retrouve cette idée dans le sens juridique du mot sujet : Le sujet, en droit, c’est l’individu engagé uniquement par rapport aux droits et aux obligations qui lui sont attribués. Le sujet, c’est celui à qui on impute l’acte et la décision. Au

permet de classer ces idées. -Par exemple, une balle de neige contient l'idée de blanc, froid et rond. De l'idée de dieu a l'existence de dieu (56) -la preuve de l'essence des choses matérielles n'a pas encore été faite. -mais a ce point, Descartes doit démontrer l'existence de Dieu. -seule cette preuve permettra de garantir la cérite des savoirs humains. -j'ai en moi l'idée d'une substance infinie, éternelle, immuable, indépendante, toute connaissante, toute-puissante, et par laquelle

(Rowell Vincent, p 231). Jean-Paul Sartre a élaboré une philosophie de l'être humain où la notion de liberté et de responsabilité jouent un rôle central. La montée nazisme et l'occupation de la France par les Allemands causent, à Sartre, une grande désillusion. Mais cette déception n'est pas une démission. Il cherche à revoir les pensées de Marx et de Freud en accordant une place centrale à liberté humaine.  * Les racines de la réflexion de Sartre sont d'influences complexes et souvent contradictoires

à Freud en ruinant l'idée de liberté de dégager l'homme de la responsabilité de ses actes. Il est vrai, du reste, que Freud introduisit l'idée de déterminisme psychique et que liberté et déterminisme sont des termes qui s'opposent. Cependant, il faut faire attention à deux choses : L'inconscient n'est pas nécessairement celui de la psychanalyse. On peut penser l'inconscient autrement que Freud Est-il sûr que la théorie freudienne exclut réellement toute idée de liberté ? Tout dépend de la façon dont

par le travail de Descartes. Il fonde le sujet. Au 17° on lui dispose des droits Au 18° on soupçonne ce sujet Au 19° on tue ce sujet. Le domaine anthropologique est le domaine ne plus emblématique de la post-modernité. Descartes affirme le je-suis parce que je pense. Au 19° siècle, on lui rétorquera « Je suis parce que le langage résonne en moi» Nietzsche « Je suis parce que Ça pense en moi » Freud « Je suis parce que les conditions socio-économiques m'ont produit » Marx L'homme est

pense donc je suis ». Il est le sujet de sa propre réflexion. Le sujet est une pensée capable de se penser plus tout ce qui permet d'avoir cette pensée. René Descartes est un sujet pensant. Freud parle de sujet, il entend le corps en même temps que l'esprit. On a le problème de l'unité du sujet. ♦ Métaphysique de l'esprit : D'après Descartes, il est double le corps d'un côté et l'esprit de l'autre. Mais pour les philosophes d'aujourd'hui, le sujet n'est qu'un. Le sujet s'aperçoit comme deux, quand

facilité avec laquelle il circule parmi les sentiments et les idées. La politesse sous toutes ses formes, politesse de l'esprit, politesse des manières et politesse du coeur, nous introduit dans une république idéale, véritable cité des esprits, où la liberté serait l'affranchissement des intelligences et l'égalité un partage équitable de la considération. Kant et la culture: Immanuel Kant (Réponse à la question: Qu'est-ce que les Lumières?): La sortie de l'homme de sa minorité (penser par soi-même)