Liberté Marx Et Descartes

La liberté Introduction...............................................................................................................................1 I. La liberté extérieure ..............................................................................................................2 A. La liberté comme absence d’entraves (Hobbes)........................................................................2 B. La liberté et la loi...............................................................

La liberté Introduction 1 I. La liberté extérieure 2 A. La liberté comme absence d’entraves (Hobbes) 2 B. La liberté et la loi 3 C. Travail et liberté 6 II. La liberté intérieure 8 A. L’origine du concept de liberté intérieure 8 B. La liberté de vouloir 9 C. La liberté de penser 11 D. L’aliénation 12 III. Liberté et déterminisme 15 A. L’affirmation du libre arbitre 16 B. Le libre arbitre est une illusion 17 C. Liberté et déterminisme ne s’opposent pas 19 IV. Liberté et morale

peut prendre du recul sur "moi" avant que moi-même j'en prenne dû à des sentiments que je ressens à chaud ... Qu'en résulte donc pour notre intimité si l'autre nous "connaît" et que nous nous connaissons en même temps ? Autrui comme une liberté qui réduit ma liberté, comme transparence trompeuse ? "pour ou contre moi". 2ème partie : Autrui comme condition de mon existence, autrui qui fait que mon existence est rendue possible mais autrui, aussi, comme indispensable à la connaissance de

d’abord expliquer ce qu’est le moi. Il existe deux sortes de moi : celui ontologique, c’est-à-dire, un être immuable et non passager auquel chaque sujet rapporterait ses états, ses actes mais qui existerait indépendamment de ces-derniers, c’est ce que Descartes appelle la « chose pensante » ; et celui psychologique, soit, une conscience complexe, mouvante que j’ai de moi dans mes pensées ou dans mes actes. Le moi désigne l’objet auquel pense le sujet qui se pense lui-même, l’objet du « je » qui se pense

sociale chez les précurseurs et les fondateurs de la société L’émergence de la classe ouvrière va caractériser Balbutiement du progrès technique, le machinisme va donner lieu à des mouvements de contestation sociale, et cela va nourrir la théorie de K. Marx. Car cela enrichit les capitalistes et non la classe ouvrière. On prend alors conscience du malheur de la classe ouvrière. Les premiers sociologues vont s’interroger au comment : réussissent-ils à vivre ensemble ? Tissent-ils un lien social ? Aux

mouvement de retour à la morale et à la religion, mouvement qui est néanmoins vécu comme impossible, irréalisable. Telle est l’attitude de la tragédie attique (Sophocle au premier chef), en réaction aux sophistes. Celle de Pascal et Kant, en réaction à Descartes et Hobbes. Pour la conscience tragique, il est certain qu’il existe des valeurs supra-individuelles (comme il est certain que Dieu existe), mais ces valeurs sont inaccessibles et incompréhensibles (comme Dieu est inaccessible et incompréhensible)

identique que Sartre proclame le devoir d’engagement : nous sommes condamnés à être libres, sans cesse appelés à choisir entre différents possibles. Dans ce cas, personne ne peut prétendre à la neutralité. L’homme, cet être-au-monde, détient une liberté prise dans les choses et insérées en elles. Autrement dit, le sujet ne saurait se retirer au sein d’une pure subjectivité. Donc, refuser de choisir implique néanmoins un choix car c’est choisir de ne pas choisir. Ainsi, quoique nous fassions, nous

Simone de Beauvoir, sa compagne, et Maurice Merleau-Ponty, la revue Les Temps modernes, politiquement très engagée. Ses pièces de théâtre (Huis-clos, 1945 ; Morts sans sépulture, 1946 ; Les mains sales, 1948), mais aussi ses romans (Les chemins de la liberté, 1945), ainsi que ses essai (Baudelaire, 1947 ; Qu’est-ce que la littérature ?, 1947 ; Réflexions sur la question juive, 1947) lui valent une immense réputation et provoquent parfois le scandale. A partir de 1950, Sartre se rapproche du Parti communiste

Dilthey l’a fait remarquer, qu’une nouvelle théologie. Contrairement à ce que l’on dit souvent, il y a chez Marx une critique sévère de cette philosophie de l’histoire qui « personnifie » l’histoire en faisant l’agent véritablement actif qui pousserait les hommes de l’avant, sans même qu’ils s’en rendent compte en vertu d’une sorte de décret divin. Dès La Sainte Famille (1844), Marx le dit et le répète : l’histoire ne fait rien, elle n’accomplit aucun grand projet, elle n’est rien d’autre que

Dans un troisième temps nous nous efforcerons de dépasser la contradiction apparente entre liberté́ et déterminisme pour penser une liberté́ qui ne soit pas illusoire. I- LA LIBERTE NE SEMBLE PAS ETRE UNE ILLUSION A- L’être humain est libre parce qu’il est doué́ de raison Le libre arbitre est une notion fondamentale de la liberté. En effet celui-ci est une volonté libre, non contrainte. Ce libre arbitre s’emploie dans diverses situations, comme l’expression « libre comme l’air » veut donc montrer l’absence