Libido

la domination des pulsions par la pensée, la maîtrise de soi des sages antiques.  recourir aux drogues la SUBLIMATION : exploitation des capacités de notre appareil psychique pour déplacer la libido vers des objets non sexuels et souvent valorisés par la société. La sublimation semble à première vue le destin que la culture réserve aux pulsions, mais la sublimation n’est pas l’explication fondamentale de la manière culturelle de traiter les pulsions

sexuel est de satisfaire l’excitation de la zone. Les enfants sont des « pervers polymorphes »qui peuvent se permettre tous les débordements. Les résistances (pudeur, dégoût, morale) ne sont pas encore clairement établies. Le cheminement de la libido de l’enfant –la pulsion étant d’abord étayée sur une fonction vitale (se nourrir, déféquer)– utilise toujours la stimulabilité érogène de la zone anale (laquelle continuera à jouer un rôle sexuel durant la vie de l’adulte), tandis que la zone génitale

peut se sauver tout seul et considère que la péché originel comme un poison qui a contaminé toutes les générations : l’homme a perdu toute sa liberté et est attiré par le mal cad la concupiscence (= le désir) : il s’agit de la libido dominandi, la libido sentiendi, la libido sciendi. Il y a une prédestination au salut dont on n’en a pas la connaissance. Dans ses maximes La Rochefoucauld examine des vices et des vertus. L’amour propre est le thème central c’est « l’amour de soi-même et de toutes choses

mécanisme de notre nature corporelle dont l’exercice ne requiert aucune conscience (exemple: les réflexe). En effet il s’agit d’une réalité psychologique irréductible qui est constitué d’un ensemble de pulsion. C’est ce que Freud appelle la libido. Cette libido peut aussi s’investir dans différentes activité (travail, religion…), Freud parle alors de sublimation La fatalité peut donc être entraîner par la notion d’une certaines « inconscience », même si toutefois l’idée de liberté n’existe pas vraiment

seule vraie phobie névrotique. Dans l’hystérie d’angoisse : par l’action du refoulement, la libido se détache du matériel pathogène (càd elle se détache des représentations de désirs inconscients qu’elle avait investies). Ainsi elle est libérée sous forme d’angoisse. Un travail psychique se fait pour fixer à nouveau l’angoisse devenue libre. Mais cette angoisse ne peut pas être retransformée en libido ni se rattacher à d’autres complexes différents. Le sujet ne peut plus qu’éviter le développement

l'essence de l'homme implique qu'il lui est propre : il différencie l'homme des animaux. De plus, cela suppose que c'est le désir, et non la raison, qui constitue la nature profonde de l'homme. Cette idée est notamment défendue par Freud : le désir (la libido) définit et meut l'homme. En effet, les neuf dixièmes de l'appareil psychique sont constitués de désirs inconscients (les pulsions) auxquels l'homme est soumis. Spinoza affirme également que le désir est l'essence ou le « conatus » de l'homme car

qualifie d’aberrations sexuelles, c’est à dire des comportements sexuels différents (dits " déviants ") de la normalité dominante. Avant toute choses il est important pour comprendre la suite de bien rappeler quelques notions : On définit le terme libido comme le besoin sexuel, qui s’exprimerais à travers une pulsion dite sexuelle, de manière analogue à la pulsion de nutrition qui serait une réponse au besoin appelé la faim. La notion d’objet sexuel, correspond à « La personne qui exerce un attrait

qu‘entre parenthèse!) par ce qui la caractérise en opposition aux névroses de transfert. Dans les névroses de transfert 1) la libido investit un objet fantasmé 2) intervient le processus de refoulement 3) l’Investissement d’objet subsiste dans l’inconscient ce qui va permettre le processus thérapeutique. Au contraire dans ce que Freud appelle enfin, la schizophrénie la libido ne cherche pas un nouvel objet mais se replie dans le moi. D’ou l’appellation de névroses narcissiques. Freud parle encore

initial : toute l'énergie disponible de l'Éros, que nous appellerons désormais libido, se trouve dans le moi-ça encore indifférencié et sert à neutraliser les tendances destructrices qui y sont également présentes (pour désigner l'énergie des instincts de destruction nous ne disposons encore d'aucun terme analogue à celui de « libido »). Ensuite, il devient relativement facile d'observer les vicissitudes ultérieures de la libido. En ce qui concerne l'instinct de destruction, cette observation est plus

nausées, vomissements, diarrhées· Prise de poids· Perte d’appétit avec la Fluoxétine· Baisse de la libido, impuissance· Sueurs· Éruption cutanée Anxiolytique : Alprazolam( XANAX) 0.25 mg 1/1/1/1 Surveillance :· Etat confusionnel· Désorientation · Diminution de la libido· Anxiété· Insomnie· Nervosité · Augmentation de la libido Antipsychotique : Quetiapine LP 50 mg 0/0/0/1