Libéralisme Intêrets Et Limites

des domaines. Ces deux notions sont intimement liées car on ne peut parler de la politique sans faire référence aux hommes politique, autrement dit, à ceux qui exercent le pouvoir politique. Dans ce cas la distinction terminologique perd tout son intérêt VII) Les rapports entre la politique et le pouvoir La question qui se pose est surtout celle de savoir si la politique entretient des rapports étroits avec le pouvoir. De nombreux auteurs contemporains ramènent la notion de politique à la notion

Chaque Etat crée à l'intérieur de celui-ci une représentation politique, un espace économique mais aujourd'hui cela est menacé par l'union du fait par exemple des disparitions des frontières non pas territoriales mais économiques. L'Europe dorénavant limite le pouvoir économique des Etats ainsi que leur pouvoir de souveraineté et le traîté de Maastricht n'a fait que renforcer une perte de contrôle de l'Etat nation. L'intégration européenne sur les Etats nations ont un impact aujourd'hui énorme économiquement

scientifiques par les despotes, et le fait qu’ils représentent la religion et la censure. C. Rêve d’un nouvel Atlantide. - Volonté de création d’une unité européenne par Condorcet. En améliorant les échanges entre les pays. Rivalité entre les pays limite l’innovation scientifique. Il veut favoriser la collaboration plutôt que la concurrence (mais elle peut parfois être bénéfique). D. Une Mode Scientiste. - XIX° : siècle scientiste càd qu’il considère la science comme unique explication du monde

diversité des pouvoirs autoritaires : Notion de pluralisme limité (Linz) Un régime autoritaire s’accommode de la société telle qu’elle est , volonté de conserver le mode de domination, tolérance de désaccords limités D’une façon générale, dans ce type de régime, on ne change pas les titulaires du pouvoir par des élections disputées librement (coup de force, décès, succession héréditaire) Gde hétérogénéité de cette catégorie => intérêt des analyses est de rentrer dans les diverses situations

exemple de la Standard Oil fondée par John Davison Rockefeller dans les années 1870, et qui assurera un temps une mainmise sur le marché mondial du pétrole. Contrairement à l'État allemand, l'État américain, au nom de la libre-concurrence, cherchera à limiter l'émergence de ces grands groupes monopolistiques, avec des mesures antitrust comme le Clayton Act (1914) ou la Loi Sherman (1890), mais sans réel succès. * le zaibatsu est une forme de concentration pyramidale japonaise où de nombreuses entreprises

régulation avec la mondialisation, la libéralisation des marchés, l'Etat providence, etc... Dans ce contextes, les outils de politique économique traditionnels sont de plus en plus innefficaces à l'interieur des frontières des Etats. Parallelement, le libéralisme s'impose au niveau international avec des organisations internationales telles que l'Organisation Mondiale du Commerce, le Fond Monétaire International ou la Banque mondiale. Une nouvelle gouvernance de régulation s'impose avec la doctrine libérale

CHAPITRE 1 : Les fondements du libéralisme 2 principes : respecter « l'ordre naturel » : l'état ne doit pas intervenir dans l'économie. Concept se retrousse chez tous : les Physiocrates, classiques ou néoclassiques. Les comportements individuels s'agrègent harmonieusement : chaque individu, en recherchant son intérêt personnel, œuvre (sans le vouloir) pour l’intérêt général. Les libéraux sont des utilitaristes : maximisation de l'utilité individuelle = satisfaction. I- Les premiers

satisfaire ses besoin et satisfaction. Il produit des Biens et Services en utilisant ses talents, sous les contraintes de la nature et de la collectivité, pour se nourrir, se déplacer … et s’améliorer. Il arrête son action lorsqu’il atteint ses limites, quand il est dépassé par quelqu’un de plus performant, quand il manque de matériaux. Son action est économique car la science économique utilise toutes les activités des individus, de l’entreprise et de l’Etat, relative la distribution, la production

courant libéral (1789) : libéralisme politique : démocratie, libéralisme économique : libre circulation des marchandises. * Le courant réactionnaire  (conservateur / traditionalisme) : considère la révolution de 1789 comme une catastrophe. * Courant socialiste : va tenter d’inventer un modèle politique qui ne soit ni libéral ni trop conservateur. Partie 1 : L’héritage des Révolutions (1789-fin 19°s) : libéralisme, traditionalisme, socialisme. * Libéralisme : veut confirmer et amplifier

doit être un Etat minimal, un Etat gendarme comme le nomme Antonio Gramsci. Il doit limiter son intervention à trois fonctions : * Protéger la nation contre les autres nations (armée) * Protéger les individus contre l’injustice et l’oppression (police et justice) * Se charger des travaux d’infrastructures qui ne peuvent être rentables pour l’initiative privée (routes, canaux…) 2. Le libéralisme des autres classiques Malthus montre que les aides sociales de l’Etat sont néfastes