Lieutenant-général

Il lutta pour l’indépendance de la Corse. Napoléon fut donc élevé dans le ressentiment vis-à-vis de la France ; en 1785, après l’école royale militaire de Paris, il devient lieutenant en second dans l’artillerie ; la nuit du 4 août 1789, l’abolition des privilèges ouvre une grande carrière militaire à napoléon. Lieutenant –colonel de la garde nationale d’Ajaccio il s’oppose aux « paolistes »qui cherchent à établir l’indépendance de l’île avec l’appui des anglais .En juin 1793, lors de la déclaration

présence de la garnison assemblée, une montre d'or aux armes de la ville, avec cette inscription : Au brave Desfourneaux, et le ministre de la guerre le nomma sous-lieutenant le 26 décembre 1790. Les volontaires du Pas-de-Calais l'appelèrent dans leurs rangs, et au mois de juin 1792, il s'embarquait pour Saint-Domingue, comme lieutenant-colonel du 48e régiment d'infanterie. Appelé en janvier 1793, au commandement de la place de Saint-Marc, il emporta d'assaut le camp de Thilerier et montra la

Napoléon et son frère Joseph entrent au collège d’Autum. • Le 15 mai 1779, Napoléon est admis au collège militaire de Brienne. Il le quittera en 1784 pour l’école royale militaire de Paris. • En 1785, alors qu’il n’a que seize ans, il devient lieutenant en second dans l’artillerie et est affecté en garnison à Valence. Mais son père meurt la même année et il est contraint de soutenir les intérêts familiaux et d’entretenir ses frères et sœurs. • La nuit du 4 août 1789, l’abolition des privilèges

peur pour la guerre en général — qui apparaîtra dans Les Liaisons dangereuses. Il est admis en 1760 à l’École royale d'artillerie de La Fère — ancêtre de l’École polytechnique. Il est nommé successivement sous-lieutenant en 1761 puis lieutenant en second en 1762. Rêvant de conquêtes et de gloire, il se fait affecter à la Brigade des colonies, en garnison à La Rochelle. Mais le traité de Paris en 1763, met fin à la guerre de Sept Ans. Faute de guerre, le jeune lieutenant de Laclos est obligé d’étouffer

1759. Il choisit l’artillerie pour les armes techniques qui conviennent à son esprit mathématique. En 1760, il est admis à L’école royale d’artillerie de la Fère qui se trouve être l’ancêtre de l’Ecole polytechnique. Il est nommé sous-lieutenant en 1761 et lieutenant en second en 1762. Puis il se fait affecter à la Brigade des colonies, en garnison à la Rochelle. Le traité de Paris signé en 1763 met fin à la guerre de Sept Ans. Cela l’oblige à rester en garnison au 7ème régiment d’artillerie de Toul

devant le pont composé de cent feu. Lesquels pour obéir aux ordres de Sa Majesté, portés par les lettres données à versailles le 24 janvier 1789 pour la convocation et tenue des états généraux de le Royaume et satisfaire aux dispositions du réglement y annexe ainsy qu'a l'ordonnance de Monsieur le lieutenant général dont ils nous ont déclaré avoir une parfaite connoissance, tant par la lecture qui vient de leur en etre faitte, que par la lecture et publication cidevant faites auprône de la messe de

ensuite donnés à la famille Jeanson. Voici la liste exaustive, je peux envoyer ces documents sous scan. Lot de souvenir de famille relié : 1. 1 page : Etats de services de Louis Jeanson né le 25/02/ 1806 à Jonchéry, atteint le grade de lieutenant en 1840 2. cours de géométrie, 1 page 3. cours de fortification 10 recto dont dessin de Tenaille, tete bastionnée, Crémaillère, redan à flancs, bastion, Queue d'ironde, castramatetion. 4. lot de 9 dessin portraits et portrait en pied

admis en 1760 à l’École royale d'artillerie de la Fère— ancêtre de l’École polytechnique. Il est nommé successivement sous-lieutenant en 1761 puis lieutenant en second en 1762. Rêvant de conquêtes et de gloire, il se fait affecter à la Brigade des colonies, en garnison à La Rochelle. Mais le traité de Paris en 1763, met fin à la guerre de Sept Ans. Faute de guerre, le jeune lieutenant de Laclos est obligé d’étouffer ses ambitions dans une morne vie de garnison : au 7eme régiment d'artillerie de Toul en

son père et choisit de se spécialiser dans l'artillerie. Il entre en 1760 à l'école royale d'artillerie de La Fère. Il gravit les échelons de l'armée et est nommé successivement sous- lieutenant, lieutenant, sous aide major, capitaine par commission, aide major, capitaine bombardier, général de brigade, général d'artillerie, et commandant de l'artillerie. Parallèlement, il s'occupe en se lançant dans la littérature et publie ses premières pièces dans L’almanach des muses en 1767. Il écrit par

en 1760 à l’École royale d'artillerie de La Fère — ancêtre de l’École polytechnique. Il est nommé successivement sous-lieutenant en 1761 puis lieutenant en second en 1762. Rêvant de conquêtes et de gloire, il se fait affecter à la Brigade des colonies, en garnison à La Rochelle. Mais le traité de Paris en 1763, met fin à la guerre de Sept Ans. Faute de guerre, le jeune lieutenant de Laclos est obligé d’étouffer ses ambitions dans une morne vie de garnison : au 7e régiment d’artillerie de Toul en