Lieux dans À la croisée des mondes

'Exil et le Royaume d'Albert Camus Taille du texte  A   A   A   A Imprimer  Partager             Intérêt 17 5 La dernière œuvre de Camus publiée de son vivant, L'Exil et le Royaume (1957), est un recueil de nouvelles intéressant à analyser dans la mesure où l'auteur y aborde des thèmes plutôt inédits tout en témoignant d'un réel souci du récit. Table des matières [cacher] 1. INTRODUCTION 2. PRESENTATION DU RECUEIL (structure et résumé des nouvelles)

Noëlle Benhamou RESUMÉ: armi les récits fantastiques de Maupassant, ceux qui font interve- nir des célibataires en proie à des phénomènes paranormaux mettent en scène la femme surnaturelle et mêlent ainsi désirs et obsessions érotiques et inquié- tante étrangeté. A travers un corpus de dix contes qui évoquent des amours étranges, nous verrons que le motif de la femme – essentiel à l’œuvre de Mau- passant – associé au fantastique permet de souligner la proximité permanente du fantastique et du réalisme

surnaturelle Noëlle Benhamou armi les récits fantastiques de Maupassant, ceux qui font intervenir des célibataires en proie à des phénomènes paranormaux mettent en scène la femme surnaturelle et mêlent ainsi désirs et obsessions érotiques et inquiétante étrangeté. A travers un corpus de dix contes qui évoquent des amours étranges, nous verrons que le motif de la femme – essentiel à l’œuvre de Maupassant – associé au fantastique permet de souligner la proximité permanente du fantastique et du réalisme

Musiques du Monde ». Les deux évènements ne sont évidemment pas comparables, mais leur mise en perspective donne à penser : que de bouleversements au cours de ces quarante années ! Le monde a changé. Sans doute est-il trop fasciné et régi par l’argent, le profit, loin des rêves des jeunes de la fin des années soixante… et du bien être de tous ceux d’aujourd’hui. Dans ce monde, notre capital à nous est un héritage, celui de l’éducation populaire, de l’expérience vécue. Ce sont les compétences acquises

PESCHEUX présentée et soutenue publiquement par Ana-Maria COZMA le 22 octobre 2009, à Nantes devant le jury ci-dessous Danièle DUBOIS, Directeur de recherche au CNRS Oswald DUCROT, Directeur de recherche à l’EHESS Ligia-Stela FLOREA, Professeur à l’Université « Babeş-Bolyai » de Cluj-Napoca Olga GALATANU, Professeur à l’Université de Nantes Marion PESCHEUX, Professeur à l’Université de Lille Paul SIBLOT, Professeur à l’Université de Montpellier 3 – CNRS Laboratoire : Centre de recherches sur les

COLLECTION TE R RES LITT ÉR A I R E S SOUS LA DIRECTION DE XAVIER DAMAS Français LIVRE DU PROFESSEUR Marion Baudet lycée Jean Monnet (Yzeure, 03) 2 de Aurélia Courtial lycée Pierre de Coubertin (Meaux, 77) Xavier Damas lycée Gaston Bachelard (Chelles, 77) Nathalie Havot lycée Jules Verne (Château-Thierry, 02) Loïc Larboulette lycée François Rabelais (Saint-Brieuc, 22) Liliane Martinet-Bigot lycée Camille Claudel (Troyes, 10) Murielle Taïeb lycée Victor Hugo

programme Ce chapitre s’inscrit en début d’année à travers l’étude du premier thème « Comprendre les territoires de proximité ». Cette approche est nouvelle en classe de 1re dans la mesure où les programmes n’allaient guère en deçà de l’échelle régionale. Il s’agit donc de permettre aux élèves de comprendre le fonctionnement de leur territoire. Son inscription en début d’année permet de fixer quelques notions essentielles (aménagement, acteurs, territoire) à la compréhension des chapitres suivants, dont

html Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul -Émile Boulet de l’Université du Québec à Chicoutimi Site web : http ://bibliotheque.uqac.uquebec.ca/index.htm Marcel GRANET — La pensée chinoise 2 ————————————————————————————————————— Cette édition électronique a été réalisée par Pierre Palpant, collaborateur bénévole. Courriel : pierre.palpant@laposte.net à partir de : La pensée chinoise, par Marcel GRANET (1884-1940) Paris : Editions Albin Michel, 1968, 568 pages

vint pas m'appeler à l'aube, comme il me l'avait promis, et je dormis profondément jusqu'à huit heures. Ce fut le tendre crissement d'un rabot qui me réveilla. Je descendis en hâte aux informations. Je trouvai mon père sur la terrasse : il redressait l'équerre d'une porte gonflée par l'hiver, et des copeaux en crosse d'évêque montaient s'enrouler jusque sous son menton. Tout à son ouvrage, il me montra du doigt une feuille de papier suspendue par un brin de raphia à la basse branche du

Mais, grâce à Dieu, ce jour a comblé notre espoir, Et le voici là-bas, rassemblé pour nous voir, Qui prépare à nos voeux un triomphe facile, Et garnit tous les bancs de sa masse immobile. Tant d'avides regards fixés sur le rideau Ont, pour notre début, compté sur du nouveau ; Leur en trouver est donc ma grande inquiétude : Je sais que du sublime ils n'ont point l'habitude ; Mais ils ont lu beaucoup : il leur faut à présent Quelque chose à la fois de fort et d'amusant. Ah ! mon spectacle, à moi, c'est