Life

peu flatteur de la ménagère Américaine moyenne de la fin des années 1960. Pourtant, cette œuvre n’est pas une caricature : un personnage de ce genre fait partie du quotidien de l’époque. Dans cette scène, c’est la médiocrité de l’« American way of life » (le mode de vie Américain) et plus généralement de la société de consommation occidentale qui est mise en avant, dressant face à chacun de nous un miroir. Le consommateur apparaît comme un drogué ou un zombie errant dans les rayons d’un supermarché

message à travers une « américanisation » du monde. Cette civil religion  ne repose pas sur des bases religieuses à proprement parlé (comme les mouvements islamiques ou chrétiens) mais sur une culture et un mode de vie commun;l'«  american way of life ». Il y a en quelque sorte un culte de la culture américaine. Fath parle d'une « religiosité nouvelle » qui «  érige les États-Unis et son modèle de société en nouvelle divinité tutélaire »13. À travers ces ouvrages, on voit qu'il y a une

    Edward Hopper est considéré comme l’un des représentants du naturalisme ou de la scène américaine, parce qu’il peint la vie quotidienne des classes moyennes, en plein essor dans la première moitié du XXe siècle. Il dépeint l' "American Way of Life" à travers des détails réalistes : enseignes publicitaires, stations-service, mobilier urbain, motels, voies ferrées, rues désertes qui recréent une ambiance typiquement américaine. Chaque toile de Hopper évoque la solitude et les "limites" ; les limites

marché intérieur, dynamisme régional et allier économique et stratégique à l’échelle du monde * Arbitre mondial. Contrôle des institutions internationales. Présence militaire sur tous les continents. * Un espace culturel global « American way of life ». Hard power => capacités militaires et économique. Soft power => culture, rayonnement image américaine. Analyse et diffuse l’information avant les autres. * Maitrise du milieu naturel et de l’immensité (système de transport) * attractivité

  et   nucléaire.   Durant   la   guerre   froide   ils   sont  la  grande  superpuissance  qui  peut  faire  face  à  l’URSS.   Domination   culturelle  :  “American  Way  of  Life”  diffusée  dans  le  monde  (coca,  musique,  jeans,  société  de   conso…).     b) Les  facteurs  de  la  domination  américaine  sur  le  monde     Une   puissance  

B ) Les flux culturels: Ces flux permettent de faire connaître toutes sortes de produits culturels concernant aussi bien l’art que les systèmes de pensée du monde mais en favorisant la diffusion du modèle américain et de son American way of life à travers le cinéma hollywoodien . Les géants de l’Internet ,Google et Amazone,misent sur l ’e-book contenant 500 livres . 3 Les aspects migratoires : A) Les flux migratoires subis : La domination de la Triade à l’échelle mondiale a pour

caddie qui déborde de produits. Son regard est vide, fatigué. Elle a une cigarette dans la bouche et des bigoudis dans les cheveux. Cette femme sculptée et habillée de réelles vêtements traduisent le miroir de la société américaine « American way of life ». Pour effectuer ses sculptures il fait appel à de réel modèle vivant pour faire des moulages de leur corps afin d’offrir aux spectateurs une réelle vision de la vie quotidienne américaine. Il se veut hyperréaliste. Les vêtements, les bigoudis

l’Allemagne, de GB ou France et Japon après 45... Avec reconstruction Japon Allemagne + CEE = concurrence augmente ! Doc.4 p.69 = civilisation de l’auto pour aller au travail, mais aussi faire ses courses, loisirs (resto, ciné, sports !). American way of life sur 4 roues ! Lire : http://fr.wikipedia.org/wiki/American_way_of_life Rêve américain = « self made man » ; si on travaille dur, on gagne plus d’argent et parti de rien, on peut devenir milliardaire ! Limites : doc.6 p.69 = la grande pauvreté des

omniprésente au lendemain de la guerre de 1939. Les divers produits manufacturés américains se généralisent en Europe occidentale et le mode de vie Etatsuniens devient une nouvelle façon de concevoir sa vie et sa famille ; on parle alors d’ « American way of life ». L’urbanisation démesurée, la société de consommation, les pubs, l’invention des crédits, le niveau de vie élevé et cætera séduisent beaucoup les européens ; ce modèle est de plus valorisé par les médias. Cette nouvelle expansion des Etats-Unis provoque

doit pouvoir acheter son « Coke » à cinq cents, où qu'il se trouve. Coca-Cola suit donc les « GI » partout où ils sont envoyés. La firme s'implante d'abord en Afrique du Nord reconquise et de là, inonde l'Europe bientôt libéré.L' « american way of life » débarque sur le vieux continent : le jazz, le chewing-gum, et le Coca-Cola participent au rêve d'une nouvelle société. A la fin du conflit, on compte 64 nouvelles filiales Coca-Cola. Les nouveaux produits Depuis le début des années 50, le globe