Ligue des droits et libertés

pangermanistes. En 1891 fut crée à Berlin La Ligue générale allemande, réorganisée par E. Hass sous le nom de la Ligue pangermaniste. Elle s’exprimait dans une revue, qui se doubla de filières militaires, navales, favorable à la politique expansionniste de Tirpitz, et coloniales. Il est important de noter les Ligues pangermanismes ne rassemblèrent jamais plus de 30 000 adhérents, ce qui de bien faible comparé aux ligues nationalistes françaises telles que la Ligue des patriotes ou l’Action française

correspondance.    En 1943, il entame une licence en droit, à la prestigieuse université du Witwatersrand, où il côtoie pour la première fois des étudiants blancs.    Un de ses amis, Walter Sisulu (1912-2003), lui fait connaître l'African National Congress (ANC), organisation alors élitiste et strictement légaliste. Il y adhère en 1944 et participe avec W. Sisulu et O. Tambo à la réflexion politique au sein de l'exécutif, qui aboutit à la création de la Ligue de la jeunesse, destinée à réformer et revivifier

L'intervention militaire au Kossovo 2- L'intervention militaire en Libye B- Pourquoi le Conseil de sécurité n'intervient-il pas? 1- Le conflit Israëlo-Palestinien 2- Le massacre en Syrie C- Les pistes de réforme: 1- réforme de la composition 2- réforme du droit de veto CONCLUSION    2            Introduction   « Si tu veux concevoir la paix, pose d’abords tes armes »1. La paix est le rêve de tous les humains dans le monde entier, un objectif difficile à réaliser

former les « États unis d'Amérique ». Ce texte est marqué par l'influence de la philosophie des Lumières et tire également les conséquences de la Glorieuse Révolution de 1688 : d'après les abus constatés, les délégués des colons estiment qu'ils ont le droit et le devoir de se révolter contre la monarchie britannique (en fait, le parlement britannique a voté de lourds impôts et taxes frappant les colonies). Depuis, le 4 juillet est devenu la fête nationale des États-Unis : l'Independence Day (jour de l'Indépendance

partis : Maurice Duberger fait en 1951 différence entre partis de cadre et partis de masse. Les partis de cadre regroupent des personnalités qui forment des groupes indépendants qui ne cherchent pas particulièrement à recruter des adhérents. (Partis de droite) A l’inverse les partis de masse ont besoins des adhérents ; leur forces sont les militants qui cotisent et constituent une forme de pouvoir. Ils proposent donc à ces militants des services (partis de gauche ; ex : SFIO 1905) Les électeurs vont

dans la formation de l’opinion publique (1890-1940) 1870 : 3ème république 1875 : le régime encadre des analphabètes et décide en 1880-82 de l’enseignement (lois Jules Ferry) obligatoire. Possibilité de lecture individuelle. 1881 : lois sur la liberté de la presse, la censure disparait Innovations dans l’imprimerie : baisse des prix et journaux accessibles. La presse triomphe, est médiatrice entre les citoyens et les partis. Les français sont les 1ers lecteurs de journaux au monde. Il y avait

INSTITUT  DE  RECHERCHE  ET  D'ETUDES  EN  DROIT  DE  L'INFORMATION  ET  DE  LA  COMMUNICATION           L’INFLUENCE DE LA TELEVISION SUR LE SPORT ET L’ORGANISATION D’EVENEMENTS SPORTIFS               Mémoire  réalisé  par  M.  Romain  GAMBARELLI     Sous  la  direction  de  M.  le  Professeur  Frédéric  LAURIE              

parti communiste tunisien d’Ahmed Brahim et le Forum démocratique pour le travail et les libertés. Ces partis constitués d’intellectuels, d’universitaires, d’avocats relèvent plus de la dissidence que de partis d’opposition. Ils ont très peu de militants, n’ont aucun ancrage social ou populaire . Le peu de société civile tunisienne est aussi convié à participer au gouvernement, notamment la Ligue tunisienne des droits de l’homme, le Conseil de l’ordre des avocats et l’Association des femmes démocrates

Quelles sont les évolutions ? - des débats permanents : égalité ou mérite, liberté ou discipline, participation de tous ou respect des compétences, élection ou tirage au sort. La démocratie grecque était le pouvoir pour chacun des citoyens de débattre, de décider, de juger. C’était une liberté politique, une liberté d’intervenir au niveau de la cité. Mais aucun État ancien n’a eu l’idée que les individus eussent des droits. Introduction:

partir de 443, il sera réélu pendant quinze années de suite comme stratège. Sa popularité résulte d'une loi, en 450, limitant le droit de citoyenneté aux individus dont les deux parents ont la nationalité grecque. Il instaure également une indemnité journalière pour les membres des tribunaux populaires. Sa conception de la démocratie est fondée sur l'égalité, la liberté et la participation du peuple au pouvoir. Ses idées rejoignent les théories de Protagoras sur l'exercice de la justice, attribuée