Limite Des Trentes Glorieuses Et Du Modèle Keynésien

Les « Trente Glorieuses » dans l’histoire économique et sociale de la France contemporaine En février 1964, dans un article intitulé « Retour à la grandeur », le magazine américain Newsweek constatait que « la France actuelle est à des années lumières de ce qu’elle était à la fin des années 1940». Au lendemain de la Seconde guerre mondiale, la France entre en effet dans une ère inédite de son histoire économique et sociale : à l’instar des autres pays occidentaux, le pays connaît une croissance

DE LA SOCIETE INDUSTRIELLE A LA SOCIETE DE COMMUNICATION I- L’ère du fordisme triomphant 1945-1975 (« les trente glorieuses » ) 1- Une croissance sans précédent a- une croissance longue (1945-1973) et soutenue : Contexte de la reconstruction :  industries de base (rebâtir, recréer des réseaux de transport), = croissance soutenue de la production (biens de conso courante, d’équipement) et augmentation de la productivité. tx de croissance élevé du secteur industriel sur 20 années (env. 5% / an, moindre

de base ( déficits budgétaire Situation où les dépenses du budget de l’état sont supérieures au recettes de l’état. ( 2000 : loi de Finance : D = 1692 MMF R = 1473,7 MMF Solde = déficit de l’etat = -215,3 MMF Pour les Keynésiens = moyens de relance de l’économie ( déficit public Notion plus large car au solde des dépenses et recettes de l’état, on va rajouter le solde des dépenses et recettes des collectivités locales et des organismes de sécurité sociales. Les

de base  déficits budgétaire Situation où les dépenses du budget de l’état sont supérieures au recettes de l’état.  2000 : loi de Finance : D = 1692 MMF R = 1473,7 MMF Solde = déficit de l’etat = -215,3 MMF Pour les Keynésiens = moyens de relance de l’économie  déficit public Notion plus large car au solde des dépenses et recettes de l’état, on va rajouter le solde des dépenses et recettes des collectivités locales et des organismes de sécurité sociales. Les

thèses au cours de l'histoire des pays développés La période de la révolution industrielle La période des trente Glorieuses (Insistez sur la répartition des gains de productivité)/ Schéma de la croissance fordiste) NTIC et reprise économique fin des années 90 (Possibilité pour cette première Partie) A. L’innovation (Le PT) source de productivité - Le schéma de la croissance fordiste (30 Glorieuses) - Analyses de Schumpeter (« Destruction créatrice » B. Effets sur la demande et l’offre - Sur la demande

Les normes de l'économie nationale des 30 Glorieuses INTRO • Trente glorieuses = terme français de Jean Fourastié. Désigne période de 1945 à 1973. • Une croissance exceptionnelle : apogée Taylorofodisme, plein emploi, illusion croissance éternelle. → 1946 PIB Fr +50% (102→155 milliards de $constants)… 704 milliards en 1974 ! → Hausse annuelle moyenne PIB 6% → Explosion démographique : 1945 – 39,7 millions d’habitants 1974 – 52,4 millions d’habitants Hausse de la population plus importante qu’entre

n’empêchent pas le calcul. Limite : les banques ne prêtent pas à tout le monde, multiplicité de profil en fonction du patrimoine 2) L’homo économicus néoclassique et ses limites Les néoclassiques savent que leur modèle est une simplification de la réalité. Mais dans le modèle néoclassique, l’agent économique est rationnelle dans le domaine du travail, maximise son utilité tant que l’utilité marginale du travail ne dépasse pas sa désutilité. Les Keynésiens ont montré que nous sommes

Chapitre 5: De 1945 à 1973 Les trentes glorieuses Contexte Le monde sort profondément perturbé de la seconde guerre mondiale et les évènements qui en accompagnent la fin provoquent un grand choc moral : L’opinion mondiale apprend l’existence des camps de concentration et l’horreur d’un système d’extermination organisée. En août 1945, le dernier épisode du conflit prend la forme des explosions des bombes atomiques de Hiroshima et Nagasaki. L’alliance entre les Etats-Unis et l’URSS repose sur

Mais la croissance devient beaucoup plus intensive en capital au cours de ce siècle. Les études de CARRE-DUBOIS-MALINVAUD sur la croissance française ont montré que la contribution du facteur travail à la croissance était négative au cours des Trente Glorieuses à cause d'une stagnation de la population active alors que le temps de travail diminuait. En effet dans une économie avancée à forte productivité, la croissance s’appuie beaucoup moins sur le volume de main-d’œuvre. Seulement le développement

Déjà à cette époque, le crédit à la consommation constitue un facteur aggravant. La crise touche tous les secteurs, y compris l’agriculture qui joue normalement un rôle d’amortisseur. Sur les causes de la crise, deux interprétations s’opposent. Les keynésiens insistent sur la contraction de la consommation de biens durables, qui entraîne l’économie dans une spirale auto-entretenue. Les monétaristes privilégient les facteurs financiers : les épargnants méfiants retirent leurs dépôts, les faillites bancaires