Limites Des Agrégats

CHAPITRE III : LA MONNAIE ET LE FINANCEMENT DE L’ECONOMIE PARTIE I – LA MONNAIE INTRODUCTION : POURQUOI LA MONNAIE ? LE TROC ET SES LIMITES La conception traditionnelle de la monnaie oppose 2 grandes périodes : des sociétés de petite taille dans lesquelles la division du travail était réduite , donc où l’échange était peu développé , ne nécessitait pas l’utilisation d’une monnaie . En effet, l’échange était la preuve d’une solidarité et donc les individus pouvaient facilement

QUE LA MONNAIE ? 1 A QUOI SERT A LA MONNAIE ? 1.1 L’approche fonctionnelle 1.1.1 La fonction d’intermédiaire des échanges 1.1.2 La fonction d’unité de compte 1.1.3 La fonction de réserve de valeur 1.1.4 Complémentarité des trois fonctions 1.2 Les limites de l’approche fonctionnelle 1.2.1 Monnaie et inflation 1.2.2 La dissociation des fonctions 1.2.3 Monnaie et confiance 2 LES FORMES DE LA MONNAIE (SCHEMA 2.2 PAGE 3) 2.1 La monnaie marchandise 2.2 Les monnaies métalliques 5 5 6 6 6 6 6 7 7 8 8 9

de la monnaie (doc 1) 3- Les agrégats monétaires (doc 2) B) Les fonctions de la monnaie 1- Les fonctions économiques (doc 3) 2- Les fonctions sociales et politiques (docs 4+5) 3- Monnaie et valeur 2- La création monétaire et ses limites A) Crédit et création monétaire 1- Pourquoi créer de la monnaie ? 2- Comment les banques créent-elles de la monnaie ? (exercice en classe) 3- Les conséquences de la création monétaire : un petit peu de théorie... B) Les limites à la création monétaire 1- La

termes bruts (c’est-à-dire en intégrant les amortissements entre deux périodes). Dans la Comptabilité nationale française, ainsi que dans la plupart des statistiques internationales, elle est évaluée par le PIB (produit intérieur brut). C’est un agrégat représentant la valeur des biens et services produits pendant l’année par les agents résidant à l’intérieur du territoire national (quelle que soit leur nationalité). Le PIB est calculé en additionnant les valeurs ajoutées (voir fiche 17) des différentes

- Les banques commerciales : elles créent de la monnaie scripturale par l’achat de devises étrangères et la distribution de crédits. Doc 1 Doc 2 Avec l'octroi de crédit, ces nouveaux 10 000€ vont circuler dans l’économie. Doc 3 Les limites à la création monétaire Les besoins : la création monétaire doit répondre aux besoins des entreprises et des ménages pour faire face à leurs dépenses ; La contrainte de liquidité : la création monétaire engendre un besoin de liquidité (besoin

fourni. 3) Le Keynésianisme : Il tire son nom d’un économiste britannique : John Maynard Keynes (1883-1946). Sa théorie connaît son essor dans le contexte de la crise de 1929 : Crise boursière à un moment où la théorie libérale atteint ses limites dans la résolution de cette crise. On peut dire que les fondements théoriques keynésiens sont : - Le dysfonctionnement du marché livré à lui-même : Keynes démontre que contrairement au libéralisme, le marché n’est pas capable de s’autoréguler

créances, il Y a destruction de monnaie. A tout moment, la masse monétaire est donc constituée de la différence entre la monnaie créée et la monnaie détruite. B/Mesure (agrégats monétaires) : La masse monétaire se constitue de l’ensemble de la monnaie en circulation, elle prend des formes très différentes et se classe en trois agrégats en fonction de leur plus ou moins important degré de liquidité : M1 : monnaie fiduciaire et dépôts à vue. M2 : M1+les dépôts à terme d’une durée supérieure ou égale à

quantité de monnaie nécessaire au financement des transactions. Un agrégat monétaire est un ensemble d’actifs qui présente le même degré de liquidité. Agrégats M1 = avoirs en monnaie manuelle Pièces + Billets + Dépôts bancaire à vue (compte courant) | Agrégats M2 M1 + Dépôts remboursables avec préavis inférieur ou égal à 3 mois (comptes sur livret) Dépôts à terme rémunérés d’une durée inférieur ou égal à 2 ans | Agrégats M3 M2 + Les divers placements monétaires d’une durée inférieure

II) La mesure de la croissance économique : le PIB et ses limites 1) Le PIB, mesure de la croissance économique : La croissance économique est mesurée par le PIB (produit intérieur brut). C’est un agrégat (valeur statistiques qui a une signification au niveau national et/ou international). Le PIB correspond à l’addition des valeurs ajoutées de la production marchande sur un territoire au cours d’une année donnée ex : la France en 2013, à laquelle s’ajoute la production non marchande (c’est-à-dire

d’élasticité 1. Elasticité prix direct 2. Elasticité prix croisé 3. Elasticité revenu Chapitre III / la comptabilité nationale Section 1- Unités institutionnelles et secteurs institutionnels Section 2- les agrégats économiques I - la consommation II - l’épargne III - l’investissement IV – la production Chapitre IV/ les déséquilibres de l’économie Section 1- la croissance et le développement