Limites Et Avantages Du Pib

classique qui considère que la libéralisation du commerce permet à chaque pays de se spécialiser dans les biens qu’il produit avec le plus d’efficacité. C’est le principe de l’avantage compétitif. La libéralisation est sensée apporter d’autres avantages : l’ouverture vers les marchés étrangers permet une augmentation de la demande les intrants obtenus à meilleur prix améliorent la compétitivité l’intensification de la concurrence renforce l’efficacité de la production locale. Globalement l’impact

recours a ces mêmes marchés. Suite à cela les taux d'intérêt sur la dette grecque ont fortement augmentés, rendant insoutenable le poids de cette dernière. Or avec un déficit public à hauteur de 15% du PIB, la Grèce n'a pas respecté le Pacte de Stabilité et Croissance, qui plafonne ce déficit à 3% du PIB , or ce pacte à pour but d'harmoniser les politiques budgétaires au sein de L'UE. De plus à ce moment, la zone euro subissait une récession datant de la crise des subprimes survenue deux ans plus tôt

superpuissance? De plus, les atoûts et la superpuissance états-uniennes sont-ils tels qu'il faille parler d'hyperpuissance? Nous commencerons par envisager la puissance mondiale des EUA, puis expliciterons ses facteurs de puissance avant d'aborder ses limites. I/ La puissance mondiale des Etats-Unis PUISSANCE POLITIQUE ET MILITAIRE Premièrement, les Etats Unis sont une puissance politique, source du capitalisme libéral, caractérisé par l'économie de marché, l'entreprise privée et l'étendue du

est accentué par la superficie du territoire, la très importante population ainsi que la puissance militaire. Mais la Chine connaît également des limites du point de vue social, écologique et ces interrogations se reflètent au niveau du pouvoir politique qui est toujours une dictature. Quelles sont les éléments de la puissance ? Quelles sont les limites ? Quelques exemples du développement actuel de la Chine du point de vue géographique La Chine aujourd’hui : Questions : Où se situent majoritairement

Thème 1 – Croissance, fluctuation, crises La croissance éco est définie comme l'augmentation de la masse de richesses (ou d'un agrégat de production) produites dans un pays sur une longue période en général le PIB I – Le PIB est-il un indicateur pertinent et fiable de la croissance éco ? A – La notion de croissance : définition, mesure, rythmes Croissance ≠ Expansion ≠ développement Expansion : phase ascendante d'un cycle éco de courte période Développement : ensemble des transformations

terme d’attractivité ; Il est demandé d’analyser la situation économique de la Roumanie et les facteurs d’attractivité des IDE ainsi que leurs conséquences économiques et sociales   I La situation économique de la Roumanie  Les taux de croissance du PIB ………  ……….inégalités de salaires, de coût du travail et de productivité …………………………..  II Les facteurs d’attractivité des IDE et leurs conséquences économiques et sociales  L’attractivité de la Roumanie …….  Les conséquences économiques et sociales La

THEME 1 : LA CREATION DE RICHESSES ET LA CROISSANCE ECONOMIQUE CHAPITRE 1 LA CRÉATION DE RICHESSES ET LE NIVEAU DE VIE La création de richesses est la création de biens et de services = production I- La création de richesse est mesurée par le PIB A- Les agents économiques et leur contribution à la création de richesses 1) La diversité des agents économiques Il existe une multitude d’agents économiques (ménages actifs, ménages retraités, artisants, commerçants, communes, États, associations

exercices Séquence 1 Exercice 1 PIB : Valeur des richesses créées pendant l’année par les résidents situés à l’intérieur du territoire national. PIB = Somme des valeurs ajoutées + TVA grevant les produits et droits de douane – subventions à l’importation. PNB : Valeur des richesses créées par les agents économiques nationaux. PNB = PIB + revenus reçus du reste du monde- revenus versés au reste du monde. Le PIB se décompose en PIB marchand et non marchand. PIB marchand = ensemble des biens et services

Banque Mondiale. La tendance actuelle s’oriente davantage vers les économies de services. La richesse d’un bon nombre de pays est tirée en grande partie par le secteur tertiaire, et le poids ce dernier dans le PIB des économies développées est bien connu. Cela fait que l’obtention d’un avantage compétitif se trouve désormais dans le développement de l’informatique, la spécialisation dans les technologies modernes, la numérisation des services, la dématérialisation des activités, etc. Tout a changé,

Maastricht réglementaient l’entrée dans l’UEM mais aucune règle n’avait été fixée pour contrôler les finances publiques des États une fois qu’ils en étaient membres. Il fixe des limites à la politique budgétaire des pays de la zone euro. Les déficits publics ne peuvent pas dépasser 3% du PIB et l'endettement public est limité à 60 % du PIB. L'objectif principal de ce pacte est donc la stabilité budgétaire. Or, cette stabilité budgétaire peut être contraignante et risqué pour les pays membres de la zone européenne