Lire Pour Vivre

papa est un roman policier écrit par Malika Ferdjoukh. Personnages : ▪ Valentin : 11 ans, il n'en est pas sûr, sa mère est morte, il vit avec son père. Il n'est jamais allé à l'école, ne sait pas vraiment lire. ▪ son père : veuf, au chômage, il fait la manche pour vivre. Avec son fils, ils ont trouvé refuge dans une péniche amarrée sous le pont de Grenelle. Pour manger, ils récupèrent les fruits et légumes à la fin des marchés. Il refuse d'envoyer son fils à l'école, l'instruit à sa

lueur d’espoir pour l’avenir. LES + : Ce livre est très émouvant ; captivant et surtout il nous permet de se rendre compte à tous ce qui ne connaissent pas la guerre a quel point cela était dure a vivre. LES - : livre un peu gros et long a lire ; de plus certain passage sont parfois ennuyeux à lire lorsque ce qu’elle raconte les dispute ou d’autre chose inutile du genre.

sur leurs agissements. Le choix des personnages, de leur rôle, de leurs caractéristiques physiques et morales, est très important dans la mesure où ce sont les personnages qui font avancer l’histoire. Caractériser ses personnages c’est les faire vivre. Charles Dickens, par exemple, dans ses romans a « creusé » le caractère de ses personnages ce qui permet au lecteur de mieux se les représenter et donc d’être encore plus captivé par l’histoire : « M. Bumble était gros et irritable ; aussi, au lieu

1) Ce que j'ai aimé : Premièrement, ce que j'ai aimé dans le livre était sa facilité à lire, le vocabulaire était riche mais simple à comprendre, contrairement à certains autres romans, qui utilisent un registre soutenu. Ce roman est accessible, à toutes sortes de lecteurs, c'est pour cela qu'il est dit « roman de jeunesse » sur beaucoup de sites (critiqueslibres.com). J'aime beaucoup aussi la qualité d'écriture de l'auteur, que l'on retrouve dans Impressions de voyage en Suisse, où il décrit

presque une manière de vivre! On aime, lorsque l'on tient un livre dans les mains,se poser tranquillement au calme. Lorsque l'on lit, il y a aussi cette solitude qui s'installe et qui soulage dans un monde où tout va trop vite, on l'on dépend des autres. La lecture est aussi associé au silence, un silence apaisant. Alors que les «liseurs» baladent les livres numériques partout comme dans des transport en commun ou sur leurs lieu de travail ou toutes les conditions pour lire sereinement ne sont pas

récit de Randall (le père de Sol, donc) à l'âge de 6 ans également, en 1982. Celuici vit à New-York avec ses parents Sadie et Aron. Sadie s'intéresse beaucoup à l'histoire de sa mère, Kristina/Erra. Cet intérêt amènera toute la petite famille à partir vivre à Haïfa, en Israël. Partie très intéressante qui permet d'aborder la problématique israëlopalestinienne vue par les enfants, ainsi que la guerre avec le Liban. Étrange résonnance en cette année 2006... L'Histoire se répète ... La troisième partie nous

nobles et la bourgeoisie savent lire et écrire. C’est l’époque où la Cour prend de plus en plus d’importance et les salons littéraires sont crées par des femmes le plus souvent. On y lit et rédige poèmes, portraits, lettres, etc. La notion de propriété littéraire n’est à cette époque pas encore reconnue : l’écrivain ne touche aucun pourcentage sur les ventes mais il touche une rémunération allouée par l’éditeur. Il ne reste que deux solutions à l’artiste pour vivre : Trouver un mécène qui lui

Introduction : Joachim du Bellay est un poète français né en 1522 à Liré en Anjou, et mort en 1560 àParis. Sa rencontre avec Pierre de Ronsard fut à l'origine de la formation de la Pléiade, groupe de poètes reconnus. De 1553 à 1557, il devient secrétaire du cardinal Jean du Bellay, cousin de son père etcélèbre diplomate, avec qui il partira pour Rome. Le poète découvre alors la ville mythique de l'Antiquité, qui n'est plus que ruines, faste et débauche. Le regret s'empare du poète, sentiment qui

« Mille soleils splendides » est un livre qui raconte l’histoire de deux femmes afghanes que le destin va rassembler: elles devront vivre avec un même homme, Rachid. Rachid est un cordonnier assez âgé, soit dans la trentaine lors de son premier mariage. Les deux femmes vont vivre pendant des années sous le pouvoir de cet homme violent, sans amour, sans liberté et sans joie. La première qui se mariera avec cet homme est Mariam. Autrefois, elle vivait avec sa mère dans une kolba que son père avait

concernant ce sujet. Le point commun de tous les travaux n’est pas la rémunération mais le but du travail : la transformation de a nature dans un sens utile à l’homme, c'est-à-dire en vue de la satisfaction des besoins. Le travail permet alors de vivre ou plutôt de survivre en subvenant aux besoins vitaux de l’homme ainsi pour ce qui est du travail qu’il a fourni, un revenu ou un salaire lui permettant tout d’abord de subvenir à ses besoins : manger … mais par ailleurs, permettant d’acheter ou de