Liste des patriarches d'Antioche

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natures intimement liées: une nature divine et une nature humaine. Cette Eglise était organisée en quatre Patriarcats qui sont, en plus de Rome: Constantinople, Alexandrie, Antioche et Jérusalem. Le Liban et la Syrie sont compris dans le patriarcat d’Antioche. L’arianisme On sait que la doctrine d’Arius, selon laquelle le Christ n’a pas existé de toute éternité, mais a été créé par Dieu le Père, a été condamnée comme hérésie par le concile de Nicée en 325 (je renvoie ici à l’excellente communication

mains Seldjoukides à la fin du XIe siècle. Les Byzantins devront céder leur place aux croisés au tout début du XIIe siècle. En Juillet 1188, l'armée du sultan Saladin assiège le château, lors d'une campagne d'affaiblissement des abords d'Antioche. Le château est confié à l'émir Nasir al-Din Mankawars. L'émir et ses descendants le conserveront jusqu'à l'époque Mamelouke où il est placé sous la tutelle ayyoubide de la principauté d'Alep. Les Mongols vont conquérir partiellement le château

Le gouvernement des Eglises 1) l'évêque: évolution historique de son rôle C'est dans les lettres d'Ignace d'Antioche qu'apparaît clairement pour la première fois l'idée d'un chef unique de la communauté chrétienne et une direction monarchique plutôt que collégiale. Nous sommes au second siècle de notre ère. Cette tendance devient générale dans toutes les Eglises chrétiennes. L'évêque est au IIIe siècle, le chef indubitable de sa communauté, responsable de la définition de la foi, de l'admission

LA MEDITERRANÉE MEDIEVALE, ESPACE D’ÉCHANGES ET DE CONFLITSComment l’expansion chrétienne s’est-elle traduite dans la Méditerranée à partir du XIIe siècle ?Quels sont les contacts et les échanges entre les trois rives de la Méditerranée ? Depuis le septième siècle, trois civilisations bordent la Méditerranée médiévale : l’Occident chrétien latin , l’empire byzantin grec et le monde arabo–musulmans . Elles se

lettres émanées des premiers évêques connus que l’on appelle les Pères apostoliques et adressées à des communautés ou à d’autres évêques, comme celles de Clément de Rome aux Corinthiens, de Polycarpe de Smyrne aux Philippiens, les lettres d’Ignace d’Antioche, toutes datant de la fin du Ier siècle ou du début du IIe s., et contenant des prescriptions concernant la discipline, ainsi que le baptême ou l’ordination, les textes les plus anciens émanent d’une « littérature pseudo-apostolique », autrement

au IVe siècle en guise d’actes contre leur légitimité et/ou contre leur mémoire. – La destruction des statues de Constantin par Licinius – La destruction de la statue de Maxence sur le forum par Constantin10 – La „sédition contre les statues“ d’Antioche (contre Théodose Ier) de 378/8 qui a inspiré „Les 21 Homélies sur les Statues“ (et a été suivie par la condamna  Malgré qu’on cite cette maxime comme hitlérienne ou bien goebbelsienne, elle est en effet un proverbe très ancien.   Lactantius

même dignes de mourir pour lui. Ce sont donc des personnages qui se recommandent par quatre caractéristiques ou « notes » : -L'antiquité : il doit appartenir aux premiers siècles chrétiens. C'est Jean Damascène († vers 750) qui pour l'Orient clôt la liste des Pères de l'Église. En Occident, l'on considère Isidore de Séville († 636) comme le dernier des Pères latins. -La sainteté de vie : on ne parle pas ici d'une canonisation en bonne et due forme, mais d'une vie habitée par le Christ et qui à ce

textes canoniques ne s'impose que lorsqu'on a la preuve que ces textes sont diffusés dans le milieu considéré et cette évidence n'existe pas avant le milieu du IIe siècle, lorsque Marcion de Sinope plus tard considéré comme hérétique et excommunié, liste les écrits qu'il considère canoniques, en se basant probablement sur un groupement pré-existant des lettres de Paul[22]. Finalement, plus de cent ans après la naissance présumée de Jésus, dans les premières années du siècle d'Hadrien (117-138),

325 : Concile de Nicée, premier concile oecuménique = 1e concile oecuménique (universel), convoqué par l'empereur Constantin pour donner une solution à la controverse née des opinions du prêtre Arius d'Alexandrie, condamnées en 318 =&gt; patriarches de l’Empire débattent en présence de l’Empereur (qui ne participe pas au débat) et confirment la condamnation d'Arius en fixant le dogme trinitaire (consubstantialité des trois personnes : le Fils est Lucie Malbos malbos.paris1@gmail.com Vendredi