Litote

 La chapelle domine les hommes (métonymie de la voie par où ils vont); elle surplombe la terre (sor un mont) et la mer, bref toute la Création. Elle se situe aussi u coin d'une roche, à l'écart, au bout du monde, idée réitérée avec force dans la litote (négation exceptive) outre n'out rien fors la falaise.  Ce lieu semble une impasse => symbole: la passion est une impasse qui conduit à une mort inévitable et cruelle si l'on ne se tourne pas vers Dieu, représenté par métonymie, dont la présence

finit par atteindre son but. B) les gestes. Les mots amènent les gestes révélateurs qui progressent. -« et il saisit sa main, elle ne la retira pas » on a dans cette phrase une litote (« elle ne la retira pas ») (litote: dire le moins pour suggérer le plus), pour montrer qu'elle laisse sa main. Cette litote sert également à montrer l'aspect délicat et « comme il faut » propre au discours amoureux du début. (pour ne pas dire de but en blanc « elle laissa sa main ». -« soit (...) ou bien »

Ironie (féminin) L’ironie consiste à affirmer le contraire de ce que l’on veut faire entendre dans le but de railler. Les principaux procédés de l’ironie sont l’antiphrase, l’hyperbole, l’emphase, la litote et la prétérition. Pour qu’il y ait ironie, il faut :  un énonciateur qui fait de l’ironie ;  une cible qui est visée par l’ironie ;  des témoins (un auditoire, des lecteurs) qui comprennent ce que l’énonciateur dit. Signifiant en grec ancien : "action d'interroger en feignant l'ignorance"

choquante. En impliquant le terme « du meilleur des mondes », qui se réfère à la philosophie optimiste de Leibniz, Voltaire se moque de celle-ci car si « tout va bien dans le meilleur des mondes », il n’y aurait pas de guerre. Pour cela il utilise des litotes, une figure de style d’atténuation, dans lesquelles on sous-entend une exagération ainsi qu’une certaine forme d’humour3. De plus, il faut également noter l’effet de déshumanisation des soldats au cours de la narration : les deux armées, composées

forgé », « j’en rejetais », « j’écoutais » : accumulation de verbes au passé qui traduit l’intensité de cet aveuglement volontaire. « pour excuser à ma tendresse » : amour, passion => litote. Elle l’utilise par pudeur et par refus, elle a été abandonnée. Cela donne de la force à ce qu’elle dit. Elle utilise une autre litote lorsqu’elle évoque DJ : « le relâchement d’amitié », bien au-delà de ce relâchement, DJ est parti, il l’a abandonnée. Done Elvire, c’est un personnage bouleversé L’expression : « vous

2 le « on » est un pronom indéfini qui montre que La princesse est soumise au regard de la cour. Le rythme binaire « sa beauté et sa parure » montre que à la cour la valeur première est l’apparence.3. A la ligne 3 « assez grand bruit » est ici une litote. On retrouve aussi un pronom indéfini « quelqu’un » a la ligne 4. Ce personnage est anonyme et sa singularité est marqué par son entrée fracassante de plus il ne respecte pas les conventions.4. A la ligne 5 on assiste au point de vue de la Princesse

ex.5 p.421, 6 p.421 – sauf phrase 3. Ex à l’oral : Dites si les expressions contiennent des hyperboles, des litotes, des euphémismes, ou des antiphrases. 1. Ce n’est pas sérieux. => litote = c’est drôle, pour rire. 2. Je te l’ai répété mille fois. => hyperbole. 3. C’est du joli ! => antiphrase. 4. Verser des torrents de larmes. => hyperbole. 5. Vous n’avez pas tort. => litote = vous avez raison. 6. Le charmant animal plante ses crocs dans mon mollet. => antiphrases. Ex à l’écrit : Les

l’autre -       Ils se caractérisent par une grande beauté : on peut noter à ce titre les hyperboles et les superlatifs : Ex : « ce prince était fait d’une sorte qu’il était difficile de n’être pas surpris » = aussi une LITOTE pour évoquer le coup de foudre/ noter l’importance de la litote au classicisme. « comme de ce qu’il y avait de mieux fait et de plus agréable à la cour ». Le terme « agréable » peut signifier qu’il est plaisant à regarder (donc beau) mais aussi que son comportement est plaisant

figure d’amplification. Si elle trop exagérée, elle tend à l’absurde : «  je me meurs, je suis mort, je suis enterré », crie l’Harpagon de Molière. La litote est une figure de style qui permet : de dire plus que ce que l’on dit. de dire moins que ce que l’on dit. de dire de manière moins choquante une réalité douloureuse. Ne confondez pas la litote et l’euphémisme.

têtes ? (Racine) Les sons aigus des scies et les cris des ciseaux (Valéry) Tout m'afflige et me nuit et conspire à me nuire (Racine) Veni, vidi, vici (J. César) La litote 1. Elle dit le moins pour suggérer le plus. 2. Une litote consiste à dire moins pour suggérer d'avantage. La litote s'oppose à l'euphémisme. Va, je ne te hais point. = « Je t'aime » (Corneille) Il n'est pas laid. = «Il est beau» L'euphémisme Il atténue l'expression d'une idée ou d'un sentiment