Loft Story

Web Tuteur : François VIÉ Chef de projets multimédia Secteur d’activité : Production et Post-production Audiovisuelles et Multimédia Mission : Participer à la création du Nouveau site Web de l’émission Tâches effectuées : Benchmark Story-boards créatifs Propositions - Rapports Recherche de partenariats Rapport de stage Riff international production – IUT de Bobigny – Ludovic TRIMBACH - 2003 2 AVANT-PROPOS Remerciements Avertissement 8 9 9 10 10 INTRODUCTION

communes. 1.1.2. Genèse des émissions dites « de téléréalité » Circonscrire le champ de la réflexion demande de se poser la question de la genèse des émissions dites « de téléréalité ». Pour la plupart des intervenants, la diffusion de Loft Story en 2001 a provoqué une rupture radicale et engagé un nouveau cycle télévisuel. Néanmoins, beaucoup estiment que la « téléréalité » trouve ses racines dans des émissions préexistantes, comme certaines émissions diffusées dans les années 1980 sous

l’acteur qui confond dans l’acting out le jeu de rôle et le rôle social reconnu par la société. Cette hypnose sous l’emprise du virtuel et du jeu participe à cette fuite de la réalité. Dans un moindre mal, la télévision est aujourd’hui d’exclusion (loft story, île de la tentation, maillon faible) et/ou d’inclusion : jeux d’argent, « c’est mon dernier mot Jean Pierre ». Le téléspectateur, en plein milieu de crise économique, recherche le rêve ou sublime la réalité et laisse exprimer l’agressivité excluant

sécurisée, sans aucune autre information à fournir. Preuve de la simplicité de ce moyen de paiement : la réussite des cartes prépayées que M6 avait mis en vente afin que les internautes puissent accéder aux séquences vidéos payantes de leur émission Loft Story 2 : 300 000 cartes à 25 euros pièce auraient été vendues (source : Smart Media) ! Côté éditeur, l'intégration de ce moyen de paiement est simple et basée sur des systèmes de cryptage classique, ce qui ne nécessite pas d'investissements supplémentaires

y avoir droit. Et à 80%, il y en a peu qui sont aptes à conduire. Ainsi elles sont toujours vides et ne servent à rien » Exemple d’argument d’analogie : L'analogie est un ressort puissant pour convaincre. Ainsi, dans le débat sur l'émission «Loft Story» de la chaîne hertzienne française M6, le journal Le Monde signale que « dans un premier temps, le CSA (autorité de régulation de l’audiovisuel en France) avait notamment rappelé M6 à l'ordre sur le respect de la législation sur l'alcool et le tabac

définit l'époque postmoderne par la fin des grands récits. Patience dans le récit/impatience médiatique. L'éclosion de l'individualisme de masse, l'écume des petites bulles narcissiques ne sont pas favorables aux « grands récits ». Exemple de Loft Story : le voyeurisme tant dénoncé de cette émission reposerait plutôt sur l'inépuisable demande de narcissisme. Les gagnants sont choisis selon leur aptitude à coller à la moyenne des attentes et à capter la sympathie ( //élections. Bientôt les mêmes

sont déjà très bons. Nous intervenons pour leur éviter les contre-performances". Le centre intervient également sur la Formule 1 et les 24 heures du Mans. Et il reçoit à titre individuel quelques champions de tennis, d’athlétisme ou de rugby. 5) Loft story pour somnambules… Le centre du sommeil de l’Hôtel-Dieu s’occupe également de troubles particuliers : les parasomnies. Il s’agit notamment du fameux somnambulisme ou de mouvements violents pendant la nuit (dirigés contre soi ou contre le conjoint

et provoquer un raz de marée de demande. Et parfois, l’entreprise ne s’attend pas à ce que son produit ou service fonctionne autant suite à son ou ses actions et elle se retrouve avec un manque d’offre comparée à la demande. Ce fût le cas de Loft Story première saison, la stratégie de buzz marketing adopté par M6 à l’époque fût un tel succès, surtout grâce au côté novateur du produit, qu’un nombre inattendu d’internautes se dirigea vers le site internet dédié à l’émission. Ceci eut pour effet

sein du groupe. Pas de théories d'ensemble qui permettent de généraliser le propos. Conclusion : Ce que la société fait aux médias → Eric Macé « Sociologie de la culture de masse : avatars du social et vertigo de la méthode » (2002) : Il étudie Loft Story comme un mythe au sens de quelque chose de typique de l'esprit du temps de leur contexte social. 1er principe : la compétition, montrer au groupe qu'on est le meilleur du groupe → métaphore de l'arrivée sur le marché du travail, il faut savoir

bien suprême » aurait dit Aristote. Cette soif de vivre s’exprime même dans un credo, « se faire plaisir »… Un véritable « devoir de bonheur » qui pousse à tout juger à l’aune du plaisir personnel… J.-F. Dortier, « Bonheur : de Schopenhauer à Loft Story », Sciences Humaines hors série : Les grandes questions de notre temps, n° 34, septembre-octobre-novembre 2001. PARTIE 1 ● Qu’est-ce que la santé ? Qu’est-ce que le bien-être social ? ● Diversité des concepts : de la santé des individus