Loggia

Château du Petit Trianon, façade d’entrée Le Grand Trianon est de style classique français. Le toit de ce bâtiment est caché par une balustrade. La pierre blonde habille les murs. Au fond de la cour il y a une loggia (renforcement en retrait de façade) soulignée par huit colonnes de marbre vert et rouge. Les jardins du Trianon sont à la française ordonnés et géométriques. Ils couvrent actuellement 23 hectares. Il y a de nombreux parterres fleuris, ils sont ornés

Œuvre Brute (SHOB) d’une construction est égale à la somme des surfaces de plancher de chaque niveau de la construction, calculée à partir du nu extérieur des murs de façade, y compris les combles et les sous-sols non aménageables, les balcons, les loggias, les toitures-terrasses accessibles. La Surface Hors Œuvre Nette (SHON) est obtenue après déduction de la surface des combles et sous-sols non aménageables, des surfaces non closes, des surfaces de stationnement, des surfaces des bâtiments agricoles

non plus tenu compte des planchers des parties des locaux d’une hauteur inférieure à 1,80 mètre (Décret du 17-3-1967 art. 4-1), ni les lots ou les fractions de lots d’une superficie inférieure à 8 m² (Décret du 17-3-1967 art 4-2). A noter que les loggias ne sont prises en compte dans le calcul de la superficie que si elles sont couvertes et closes. L’intervention d’un professionnel (géomètre-expert, métreur, architecte, par exemple) n’est pas obligatoire mais fortement recommandée. Dans ce cas il

L’îlot A, « Saône Park », orienté Sud et Ouest, face au paysage de balmes et à la darse, bénéficie d’un emplacement exceptionnel. Trois équipes d’architectes ont travaillé pour concevoir une réalisation haut de gamme. La façade Sud présente des loggias imbriquées comprenant lofts et appartements modulables, une juxtaposition de volumes fragmentés afin d’éviter l’effet d’ensembles immobiliers compacts. et la complexité des façades. 28 27 L’îlot B a été réalisé par quatre équipes d’architectes

bâtiment d’apparat, emblématique du style Napoléon III avec sa façade spectaculaire et ses multiples références au passé avec une prépondérance néo-baroque pour l’extérieur qui prévalait alors dans les constructions théâtrales. Quant à l’intérieur, la loggia est marquée par la Renaissance et le classicisme français alors que le grand foyer a une disposition et une inspiration décorative des châteaux de la Renaissance française et du siècle de Louis XIV. Pour l’ornementation de l’édifice, intérieure et

train de lire sur la droite. Dans Hôtel près d’une voie ferrée (1952), l’homme regarde par la fenêtre en fumant une cigarette, alors que sa femme lit sans lui prêter attention. Dans Soir au cap Cod (1939), c’est un jeune couple qui discute dans une loggia. Dans Soleil dans une cafétéria, un homme regarde une jeune fille et s’apprête sûrement à l’aborder. Enfin, sur Route à quatre voies (1956), la femme semble disputer son mari qui reste impassible. Le peintre de la solitude, de l’aliénation et de

Bandinelli sculpte un groupe colossal Hercule et Cacus, placé devant le Palazzo Vecchio à Florence. À la même époque, le sculpteur italien Giambologna réalise un ensemble représentant Hercule luttant contre le centaure Nessos exposée par la suite à la Loggia dei Lanzi. Durant la même période, avant 1560, le sculpteur italien Guglielmo della Porta réalise un Hercule tue les serpents représentant Héraclès enfant tuant l'un des serpents d'Héra, tandis que des saynettes sur le socle de la sculpture représentent

conformément à la mode de l'époque, elle ne présente ni cils, ni sourcils. Elle est assise sur un fauteuil dont on aperçoit le dossier à droite du tableau. Ses mains sont croisées, posées sur un bras du fauteuil. Elle se trouve probablement dans une loggia : on peut voir un parapet juste derrière elle au premier tiers du tableau, ainsi que l'amorce de la base renflée d'une colonne sur la gauche. À l'arrière plan se trouve un paysage montagneux dans lequel se détachent un chemin sinueux et une rivière

conformément à la mode de l'époque, elle ne présente ni cils, ni sourcils. Elle est assise sur un fauteuil dont on aperçoit le dossier à droite du tableau. Ses mains sont croisées, posées sur un bras du fauteuil. Elle se trouve probablement dans une loggia : on peut voir un parapet juste derrière elle au premier tiers du tableau, ainsi que l'amorce de la base renflée d'une colonne sur la gauche. À l'arrière plan se trouve un paysage montagneux dans lequel se détachent un chemin sinueux et une rivière

n’estimant pas, en toute occasion, qu’elle méritait mieux, elle ne se sentait guère frustrée. Ainsi, lorsqu’elle détailla à Balthazar la barre en briques qu’elle habitait avec d’autres locataires aidés par les services sociaux, elle ne désigna que les loggias peintes en couleurs pastel genre glaces estivales, les balcons ornés de fleurs en plastique, les couloirs décorés de macramés, de géraniums ou de dessins de marins tenant une pipe. — Quand on a la chance d’habiter ici, on ne veut plus déménager