Logique temporelle

comme une argumentation : la thèse (« le droit que nous avons eu de rendre les nègres esclaves ») est la légitimité de l’esclavage. Elle est suivie de 9 § argumentatifs, dont l’armature logique interne est exhibée : Le lien cause-effet est constamment mis en lumière : -par une proposition participiale temporelle-causale (« les peuples d’Europe ayant exterminé ceux de l’Amérique ») -par des tournures consécutives (« ils ont le nez si écrasé qu’il est presque impossible de les plaindre, il est si

construit > anti même. C’est un raisonnement faux ou le locuteur est de bonne fois. SOPHISME : raisonnement faux qui se sait faux et qui a pour but de tromper l’interlocuteur. DEMONSTRATION : raisonnement (relations logiques entre concepts), toujours abstraite et logique RAISONNEMENT : Discours cohérent, mais qui pourrait être faux PARADOXE : ‘’contre opinion’’, ce qui contredit l’opinion courante CRITIQUER : remettre en cause-rejeter/évaluer-circonscrire. DOUTER : être conscient

Plan : Problématique : En quoi la scène initiale revêt-elle toutes les particularités d’une scène d’exposition, notamment par l’inversion progressive du rapport maître/valet ? I-Une scène d’exposition pour informer A) Informations spatio-temporelles, personnages et thème. 1) L’espace et le temps *espace *temps 2) Les indications sur les personnages : liens maître/valet. 3) Le thème du naufrage II-Poser un horizon d’attente : une scène de rupture A) La perte de pouvoir du maître 1)

l'idée que tant que l'enfant ne maîtrise pas la logique des classes, il ne peut y avoir de véritable catégorisation. L'enfant doit donc maîtriser les notions d'inclusion de « tous » et de « quelques » dans le contexte de classes organisées en système, pour prouver qu'il manipule des classes et non plus de simples collections. (Piaget, Inhelder, 1959). Piaget, dans sa description des différents niveaux par lequel passe l'enfant dans son développement logique, place les enfants entre 5 et 8 ans ( âge qui

(placere docere). Au XVI siècle, les apologues étaient souvent utilisées car c'est un moyen efficace d'éviter la censure qui était très présente à l'époque. Pour convaincre, il s'appuyer sur des arguments logiques présentés dans une argumentation sans faille. On doit utiliser un raisonnement logique qui s'appuit sur la justesse des arguments et des exemples. Persuader, par contre, c'est jouer sur la sensibilité, les sentiments. Il faut amener quelqu'un à croire, à penser, à vouloir, à faire quelque

l’utilisation de la troisieme personne et du passé simple le rendent plus pertinent, “ les hommes “ “se contenterent” . La these de l’auteur est sous forme d’un paragraphe (L1-14), il utilise des phrases complexes pour valorise sa these. La relation logique qui se trouve tout au long du recit est celle de cause consequence, il utilise des personifications : “ campagne riante “ ce qui montre sa vision negative de l’homme civilise mais aussi des anaphores “ tant que…tant que “ et des accumulations pour

en 1761. Nous pouvons nous demander : Dans quelle mesure ce conte de Voltaire est-il un apologue ? Voltaire dans ce conte, utilise l’apologue pour nous emmener dans une situation fictive et quelque peut symbolique. Il fabrique un cadre spatio-temporel marqué par un éloignement ; il évoque une cadre orientale « l’eau de Gange ». On reste dans l’inconnu du temps « dans mes voyages », « le même jour ». Il ne décrit pas avec précision son environnement « jardins charmant », « près de sa maison

DU SUJET Dans l’introduction : questions ou informations articulées entre elles faisant apparaître les relations logiques et une cohérence - logique qui découle des mots de liaison du sujet et qui permet de proposer et de justifier le plan A travers l’introduction, confirmée par le développement L’introduction fait apparaître la compréhension des mots-clés. Dans l’introduction : - logique qui découle des mots de liaison du sujet - plan imposé tel qu’il est mentionné dans le sujet (le non respect est

beaucoup de points communs : tous deux journalistes, écrivains, acteurs de combats politiques et engagés contre la peine de mort,...] b) une confession, fruit de l'expérience, dominée par la culpabilité – récit du passé (passé composé + connecteurs temporels « avec le temps », « aujourd'hui ») – constat d'un apprentissage amené par l'expérience (lexique de la connaissance, de l'apprentissage : « j'ai aperçu »/ « j'ai appris » répété 2 fois / « je sais » répété 6 fois au fil du texte / « j'ai compris

personne ne connaît, mais qui voudrait être cru en affirmant que celui qu’il invoque comme témoin est un honnête homme. Reproche absolument fondé, mais la solution du problème en question est totalement impossible pour tout le monde. Emmanuel Kant, Logique (1800) B. La vérité-cohérence 1. Exposition On retrouve ici l’idée qu’il n’y a pas de « fondement » absolu pour la vérité, mais qu’elle se meut dans une circularité essentielle : nous cherchons à donner une cohérence interne à nos expérience, à