Loi de Coulomb

dans (3) : GMm/R² = mv²/R => v² = GM/R (4) La vitesse du satellite en MCU sur un cercle de rayon R avec une période T est de v = 2πR/T (5) En remplaçant (5) dans (4), on obtient : v² = 4π²R²/T² = GM/R => 4π²R³ = GMT² Troisième loi de Kepler : (GM/4π²) T² = R³ 1) On imagine le petit Prince de masse m = 30 kg sur sa planète de rayon R = 100 m et de même masse volumique moyenne que la Terre, soit 5,5 kg/litre. a) Quelle est la force de gravitation exercée par la planète

Management des organisations ADM-1010 Travail de session Analyse-synthèse de TC Transcontinental et de son management Présenté par : Roxann François Émilie Nancy Lucie Groupe : Remis à : M Yvon Coulombe Département des sciences de la gestion Date : Table des matières INTRODUCTION 2 ORGANISATION DE TC TRANSCONTINENTAL 3 GESTION D’UNE ORGANISATION 3 1. DESCRIPTION DE L’ORGANISATION 3 1.1 Mission et objectifs 3 1.2 Historique 4

une seule, comme précisé ci-dessous -         Elle seule permet de généraliser le concept à tous les cas de même espèce, chaque variable pouvant être remplacée par n'importe quelle valeur numérique -         Elle permet une universalisation de la loi, qui ne dépend plus de la compréhension d'une langue vernaculaire donnée, mais qui est comprise universellement.   2.1 - Premier obstacle : l'expérience première « ...en lisant les nombreux livres consacrés à la science électrique au XVIIIe siècle

négligeable par rapport au poids. Le poids est donc la seule force  exercée sur la sphère. La chute est donc libre.   La  force  P  appliquée  à  la  sphère  est  donc  égale  à  sa  masse  m  multipliée  par  l’accélération  de  son centre d’inertie a. (Deuxième loi de Newton)  Soit P = m x a    La  boule  de  céramique  pesait  environ  6.5  kg.  Sa chute a durée 1 s, sa vitesse initiale était de 0  ­1​ m/s et sa vitesse finale était de 0.2 m.s​ .  ­​ D’où a= (Vf­Vi)/t = 0.2/1 = 0.2 m.s​ ²  ­​ Donc P = 6.5 x 0

sable, de tourbe, de charbon activé, de terre à diatomées ou d’autre matériaux utilisés séparément, ou en combinaison pour filtrer l’eau et retenir les particules aussi pour promouvoir la croissance des microorganismes qui décomposent les polluants. (Coulomb R. 1980 et Gougoussis C. 1978) II. 2. Description de la filtration Dans les processus de traitement de l'eau, la filtration intervient au dernier stade des traitements physiques, c'est-à-dire après la coagulation et décantation dont le cas où elles

Cetteméthodeestbaséesur la loi de Stokes qui exprimela vitesselimitede chuted'une particule sphérique dansun liquidevisqueuxen fonctiondu diamètrede la particule (fig.1). Cetterelations'écrit: u = Y l ] Tpt { vD z 18 avec:v: vitessede décantation, D : diamètrede la particule, y* : poidsvolumique du liquideutilisé(eau+ défloculant), p : viscositédynamique du liquide. Cetteformuledonneparexemplepourla décantation de particules d'un poidsvolumique de 26,5kN/m3dansde I'eauà Loi de Stokes zOC (p = 1o-3Pa

Cetteméthodeestbaséesur la loi de Stokes qui exprimela vitesselimitede chuted'une particule sphérique dansun liquidevisqueuxen fonctiondu diamètrede la particule (fig.1). Cetterelations'écrit: u = Y l ] Tpt { vD z 18 avec:v: vitessede décantation, D : diamètrede la particule, y* : poidsvolumique du liquideutilisé(eau+ défloculant), p : viscositédynamique du liquide. Cetteformuledonneparexemplepourla décantation de particules d'un poidsvolumique de 26,5kN/m3dansde I'eauà Loi de Stokes zOC (p = 1o-3Pa

friction ...................Freins, embrayages Définitions Si les 2 surfaces en contact tendent à glisser l'une par rapport à l'autre (sans déplacement)  ADHERENCE Si les 2 surfaces en contact glissent l'une par rapport à l'autre  FROTTEMENT Loi de COULOMB On exerce sur un parallélépipède 2 de poids P en appui horizontal sur 1 une force F située dans le plan de symétrie géométrique de 2.  3 I F3/2  0, 2 est en équilibre. 1 20 daN F _ F3/2 G £ P A 50 daN Justification : Le solide est

fin, déjà in­clus dans R3) S4 : Vis et écrou à billes S5 : Ré­duc­teur R4 + Cames + Mi­cro­con­tacts de fin de course PAR­TIE n°2 : Etude du principe de la dé­tec­tion so­laire Ques­tion n°2A : D’après la fig­ure 11, page 5 V1 = VSR et V2 = VSH + VSL Loi des mailles : V2 + VA - V1 = 0 VA = V1 – V2 Ques­tion n°2B : D’après la re­la­tion et les valeurs des ré­sis­tances fournies sur le DT4 VS = [200.(10 + 200) / 10.(10 + 200)] . V1 – [200 / 10] . V2 VS = [200 / 10] . [V1 – V2] VS = 20 . (V1 – V2) Ques­tion

dans le cristallin. Les rayons lumineux franchissent deux dioptres : dioptre air-verre puis dioptre verre-air Pourquoi un rayon lumineux arrivant perpendiculairement au cristallin et passant par le centre de celui-ci n'est-il pas dévié (appliquer la loi de Descartes) Ce rayon aura un angle d'incidence de 0° pour les deux dioptres de la lentille. Donc l'angle de réfraction sera nul. 2° La rétine est à 25 mm du centre optique du cristallin. a) L'image d'un objet situé à l'infini se forme de manière