Loi Des Citations 426

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territoriale – directeur général territoires et proximité à Nantes Métropole La politique • Illusion française selon laquelle la politique peut tout. • « Les français attendent tout de la puissance publique et pas grand-chose de ceux qui l’exercent » citation de Claude Weill attribuée à un ami anglais Nouvel Obs. • La politique « ce métier impossible où l’on est condamné à décevoir ». Freud • Les politiques publiques c’est quoi ? Chapitre I • 1. 2. 3. • 1. 2. 3. 4. • 1. 2. • 1. 2. 3. Les politiques

collection précis CM : Histoire des grandes notions juridiques : l’Antiquité I – Histoire des grandes notions du droit public le pouvoir les cités le passage de cité à l’état comment naissent les régimes politiques II – Grandes notions du droit privé la loi et les sources du droit concept de justice le droit des personnes Av notre ère : Avant JC Mot ; droit : latin : directum = droit dans le sens d’une direction droite. Le droit c’est l’ensemble des règles qui régissent la vie d’une collectivité humaine

régissent la vie en socitété. Les sources du droit sont nombreuses, cependant les juristes français contemporains en retiennent 4 en particulier, qui existent depuis l’Antiquité : ( ordre d’importance normative et quantitative décroissante ) 1. La loi, c'est-à-dire la règle promulguée par l’autorité souveraine (Parlement) 2. La jurisprudence. Ce sont les décisions rendues par les tribunaux, les cours de justices, susceptibles d’acquérir autorité de précédent. Une décision rendue par une cour de

voire des « sciences juridiques et politiques ». Pourtant le droit, pas plus que la politique, n’est une science exacte : les mêmes causes n’y produisent pas toujours les mêmes effets. Un art, donc, mais lequel ? Celui du législateur qui « porte » la loi ? Celui du juge qui « dit » le droit ? Celui des professionnels qui le pratiquent ? Celui de la doctrine qui le commente ? Les approches du droit sont multiples, ses domaines sont nombreux : on parle volontiers aujourd’hui du droit de ceci, ou de cela

enseignant le droit sous ses 3 formes. L’époque moderne (milieux 15ème à la Révolution Industrielle) naissance du droit naturel = droit des gens, cf Hobbes, renouveau de la théorie pol qui débouchera sur la révolut° de 1789, apparit° de la not° de loi Chapitre 1 : Les Fondations Romaines Si la Grèce a beaucoup influencé la politique et la philosophie, son apport dans le domaine du droit est limité. L’influence de Rome est notable par l’apparition d’un droit laïcisé : une justice séparée de

général ont voulu être rédigé d’une nouvelle manière (commissaire royale de Mr Legros) mais l’avant projet de loi n’a pas été adopté. Pour la partie du code pénal spécial il y pas eu de tentative de réformes. Il n’y a jamais eu de refonte complète. Il faut donc aller voir les lois particulières qui sont de plus en plus nombreuses (850 en ’90 et mtn 1200-1500 à l’heure actuelle) Ex : loi sur la vente de métaux avec des articles énonçant les sanctions pénales. A-t-on besoin d’un code pénal (livre

primitives, le droit provient de la Tradition, de Dieu. Les sources principales actuelles sont la coutume, la jurisprudence, la loi et la doctrine. La loi désigne l’ordre impératif qui émane d’une autorité supérieure, c’est une règle écrite, qui possède un caractère de généralité. La loi vise à produire de l’ordre. Soit un ordre préexistant, c’est le cas quand l’autorité publique rédige les lois données par Dieu, comme dans les anciennes civilisations du

pour but d’instruire et plaire (cf « docere et placere ») tt cela ds une vision morale. Mais en réalité, il touche un public mondain dans les salons littéraires par exple qui s’attache bcp plus à la gaieté nvelle du genre. ➢ Sur le style, cf citation de P. Dandrey : « Et puis une manière admirable, artisanat consciencieux paré des grâces du naturel le plus aisé, délicatesse sans fadeur, régularité sans raideur, discrétion sans froideur, pudeur sans affectation ; un goût harmonieux et toujours

relativement indépendante aussi bien de la métaphysique[->203] que de la psychologie[->204]. D’autre part, et à partir des acquis de la Critique de la raison pure, Kant élabore une philosophie morale[->205] profondément nouvelle qui part du concept de loi morale[->206] valable pour tout être raisonnable, universelle et nécessaire, et de son corrélat, la « liberté[->207] transcendantale ». Exposée en particulier dans la Critique de la raison pratique[->208], l'éthique kantienne a été qualifiée de déontologique[->209]