Loi des rendements décroissants

demande pour un bien particulier résulte essentiellement du prix de ce bien. Ici, le terme de prix doit être compris au sens largel: il s'agit du prix relatif du bien par rapport aux autres biens. La demande est dans la plupart des cas une fonction décroissante du prix. Ceci reflète la proposition générale d’après laquelle un prix plus élevé réduit la quantité demandée. GRAPHIQUE : courbe de la demande Nous allons prendre l'exemple des grains de café. Une courbe de demande est une représentation

Soit f(x). Si dans un intervalle de valeurs de x: f’(x) > 0, f(x) croissant sur cet intervalle si f’’(x) > 0, f(x) croissant à taux croissant si f’’(x) < 0, f(x) croissant à taux décroissant f’(x) < 0, f(x) décroissant sur cet intervalle si f’’(x) < 0, f(x) décroissant à taux décroissant si f’’(x) > 0, f(x) décroissant à taux croissant (1) (2) (3) (4) 1 2 3 4 D’où: si f’(x) = 0 et f’’(x) < 0, f(x) passe par un maximum si f’(x) = 0 et f’’(x) > 0, f(x) passe par un minimum. 3. Signification

plus vite la planète que nous ne la comprenons. », Vitousek Pour Ricardo : théorie de la rentre décroissante des terres : en gros, on exploite les terres les plus productives, puis avec le temps et l’exploitation de moins en moins => de moins en moins de ressources quand la pop croît = théorie des rendements décroissants. Ne prend pas en compte le progrès technique. Pour Jevons : loi des rendements d’échelle constants : avec progrès technique on augmente le K dans le mm rythme que la pop => satisfaction

On entre vraiment dans le libéralisme. Développement jusqu’en 1870 puis néoclassicisme. Les écoles classiques sont : - école anglaise : Adam Smith, XVIIIe siècle, David Ricardo, banquier, Robert Thomas Mallus - école française : J-B Say : loi des débouchés, entrepreneur, Stuart Mill. Elle va être critiquée au milieu du XIXe siècle par le marxisme. Fin du XIXe siècle, nouvelle école, les Marginalistes : logique plus mathématique : Menger, Waltras, Jevons. Beaucoup d’autres écoles vont

production et les coûts en courte période et la demande de travail ................................... 17 La productivité d’un facteur de production .............................................................................. 17 La loi des rendements décroissants. ......................................................................................... 17 Les coûts de production. ........................................................................................................... 18 La demande

industrielle, pensaient qu'aucune croissance ne pouvait être durable, car toute production devait, selon eux, inexorablement converger vers un état stationnaire. C'est ainsi le cas de David Ricardo pour qui l'état stationnaire était le produit des rendements décroissants des terres cultivables, ou encore pour Thomas Malthus qui le liait à son « principe de population ». Toutefois, Adam Smith, à travers son étude des effets de productivité induits par le développement de la division du travail, laissait entrevoir

entre les pays. B/ La participation au commerce international permet de repousser les limites de la croissance. 1- Selon Ricardo, l’évolution de l’économie, vers un état stationnaire, est inéluctable. Doc 4p116 L’expression « rendements agricoles décroissants » signifie que quand la population augmente, la demande de denrée agricole (blé) augmente d’où la mise en culture de parcelle de terre de moins en moins fertile. Chaque nouvelle parcelle produit moins que la précédente. Il faut donc

l’Ecole classique, du moins jusqu’aux années 1950, à cette question est non. A la base de cette réponse, leur raisonnement est le suivant : a) A l’instar de la terre, les autres facteurs de production (le capital et le travail) ont des rendements marginaux décroissants. Ceci est net dans l’agriculture, où on utilise d’abord les terres les plus fertiles, mais se vérifie aussi dans l’industrie. b) Dans l’industrie comme dans les autres secteurs de l’activité, il existe un salaire minimum de subsistance

dans l’analyse de JA Schumpeter • Les différentes sources de l’innovation sont …. 2. L’évolution des théories économiques du progrès technique • Le courant de pensée classique s’applique à des économies sans progrès technique : La loi des rendements décroissants . • Dans la théorie néoclas sique, le progrès technique permet d’accroitre la productivité et de sortir de l’état stationnaire .Il est toutefois exogène et inexpl iqué. • Les théories de la crois sance endogène des années 80 démontrent

l’équilibre : un régime de concurrence pure et parfaite sur tous les marchés. Ce régime suppose des agents économiques rationnels, qui maximisent une fonction objectif (utilité retirée des biens consommés, le profit...) et la flexibilité de tous les prix (loi de l’offre et de la demande). 1- L’équilibre sur le marché du travail et la détermination de la production Sur le marché du travail se fixe le volume de l’emploi, qui détermine le PIB réel, le PIB nominal étant fonction de l’offre de monnaie (cf