Loi des rendements décroissants

B)2)) B) Le progrès technique, au cœur de l’activité économique 1) Le progrès technique permet de contrecarrer la loi des rendements décroissants Doc 20 p 24 + Doc 24 p 26 La loi des rendements décroissants égale tendance a la diminution du rendement d’un facteur de production lorsque la production augmente. Si l’on admet la loi des rendements décroissants cela signifie que l’on s’achemine vers une croissance nul a terme ou encore un état stationnaire. Or dans la réalité ça n’est

par le ratio (Valeur ajoutée / effectif). Rendements décroissants (loi des) : loi de la théorie classique selon laquelle la production augmente à un rythme plus faible que celui du facteur variable. (Travail par exemple). Ainsi quand on augmente le nombre des personnes qui travaillent sur des terres en quantité limitée, la production supplémentaire devient de plus en plus faible car les terres utilisées sont de moins en moins fertiles. En fait les rendements sont d’abord croissants (sous l’effet du

non quantitative. C’est une démarche qualitative. 2ème étape (Rendements d’échelle): ∆ Quantité produite > 0 (∆L = ∆K) >0 ∆ (K/L) = 0 Ici, la technique de production va rester inchangée. Ce qui change est uniquement la dimension. La structure est augmentée mais cela reste la même. On repère alors les rendements qui vont soit être croissants, soit décroissants. La démarche est strictement quantitative. 3ème étape (rendements de substitution): ∆ Quantité > 0 : problématique de croissance

travail. En effet, aucun producteur ne retrouvera dans le prix qui s’imposera sur le marché le reflet de son propre travail. Il en conclut que, dans ces conditions, chaque producteur doit accepter, dès lors qu’il porte son produit au marché, de subir la loi de la valeur qui l’égalise à tous les autres. Ne sera plus reconnu dans la valeur du bien échangé que ce que le travail dépensé a d’abstrait. =Aliénation car les individus ne sont pas reconnus dans l’échange pour ce qu’ils sont ou ce qu’ils ont effectué

de chauffeur de taxi, autorisation d'ouverture de pharmacies etc…) | Constat : les populations augmentent plus rapidement que la production d'aliments (loi de population) Malthus défend l'idée que les substances ont une progression arithmétique (idée des rendements décroissants de la terre) et la population une progression géométrique. (loi d'accroissement des biens de subsistance) Il s'ensuit un déséquilibre entraînant une sous-alimentation de la population dans le pays (crise d'ancien régime)

internationaux de biens et services, de capitaux, de facteurs. F) L’équilibre général avec flexibilité des prix versus rigidité des prix et régulation publique. II) Les marchés et leur fonctionnement A) La loi de l’offre et de la demande : Les choix rationnels B) Le modèle de concurrence parfaite et ses limites. C) Les vertus attendues de la concurrence. D) Le monopole et la concurrence imparfaite.

phase : la phase des rendements croissants. Dans cette phase, la courbe de production totale croit rapidement. Deuxième phase : la phase des rendements décroissants. Dans cette phase, la production totale croit mais moins vite, stagne puis diminue. D’où la loi des rendements non proportionnels. C’est à dire que si l’un des facteurs de production est fixe, alors tout accroissement de la production par la variation de l’autre facteur est d’abord plus que proportionnel ( le rendement est croissant )

L’augmentation des prix est proportionnelle à l’excès d’augmentation monétaire par rapport aux besoins réels. Autrement dit si ΔM >ΔY de 2,3% alors le prix de la baguette augmente de 2,3%. Les néoclassiques adhèrent à la loi de Say qui existe que pour les classiques et les néoclassiques. Loi de Say reformulée par Keynes : toute offre créée sa propre demande. => Il n’y a jamais de problèmes de débouchés pour les entreprises. Les classiques et les néoclassiques font l’hypothèse qu’on est dans une économie

Mais si Ricardo et Marx s’accordent sur une baisse inexorable des taux de profits, ils n’en donnent pas les mêmes explications. Il existe une tendance à l’état stationnaire chez Ricardo (a) mue par les difficultés de l’agriculture. A l’inverse la loi de la Baisse Tendancielle des Taux de Profits (BTTP) chez Marx (b) révèlent la primauté de l’industrie dans la dynamique du capitalisme. a. la tendance à l’état stationnaire chez Ricardo Ricardo énonce la théorie de l’état stationnaire comme

sur bien des plans. 3. Allyn A. Young (1876 – 1929) : division du travail et croissance des rendements Young émet un doute quant à la possibilité de théoriser la croissance économique en termes d’équilibre. • Les origines de l’article « Increasing Returns and Economic Progress » En 27, Marshall est contesté après 40 ans de règne de la théorie de l’équilibre partiel, dans lequel les rendements croissants sont incompatibles avec un équilibre stable sans prise en compte d’économies internes