Loi des rendements décroissants

d’or et d’argent est indifférente à l’état, les richesses produites ne gagnent pas en valeur mais les prix augmentent. La croissance des prix n’est en fait qu’une illusion de croissance de la richesse. Au 19ème siècle, Jean-Baptiste Say énonce la loi des débouchés qui affirme que « le voile monétaire ne fait que masquer la réalité des échanges, et les produits s’échangent contre les produits puisqu’ils se servent mutuellement de débouché. » A ß M à B La monnaie est donc neutre, il y a dichotomie

K 1 - La théorie de la valeur d’utilité Idée de base : le prix résulte de l’utilité des marchandises. Décroissance de l’UM (pas évident car cela suppose que les coûts sont fixes et préétablis). Théorie initiée par JEVONS et par sa fameuse Loi de l’échange : Ex de l’échange bilatéral entre 2 personnes dotées chacune d’une qtité d’un seul bien : du blé pour le 1er et du bœuf pour le 2nd L’échange aura lieu à partir du moment où l’individu qui ne possède que du blé retirera moins d’utilité

d’action étendu en Allemagne, EU, Suisse ; assez indépendant du pouvoir central. Ont des budgets importants et des pouvoirs exécutif et législatif important. En France, tradition à la centralisation. On a affiché une volonté de décentraliser en 1982 (loi de Gaston Deferre), ça prolonge une idée ancienne, mais ce n’est pas encore fait. Attention : décentralisation/déconcentration : Déconcentration : autonomie de décision donnée à certaines administrations qui relèvent du pouvoir préfectoral. (action

modèle démontre à partir d’une fonction, que la production résulte principalement de la combinaison d'une certaine quantité de capital (moyens de production) et de travail (main d'œuvre). Pour Solow, ces deux facteurs obéissent à la lois des rendements décroissants, c'est-à-dire qu'une augmentation de l’un d’entre eux entraine une augmentation moins que proportionnelle de la production. L’autre hypothèse faite par Solow dans ce modèle veut que tous les pays utilisent de manière efficace les facteurs

croissance inflationniste et inégale selon les secteurs Après guerre : 2nd rev agricole Hausse de la productivité des agriculteurs. L’Agriculture, s’industrialise. Et pour acheter ces machines agricoles, les agris ont recours au crédit bancaire. Les rendements agricoles sont croissants mais la demande est assez stable. (Problème) Les Etats achètent les excédents agricoles, pour soutenir les prix. Cependant l’achat commence à peser sur les budgets nationaux Départ de la mise en place de quotas de production

« _ Une personne qui cherche a assouvir son propre intérêtva faire avancer l’intérêt général et ce , même si ça n’entre pas dans son but. »_ Il va plus loin et accompagnés d’un certain David Ricardo et un John stuartMill énonce même la loi des rendement croissant qui consiste à dire que dans une entreprises , si tous les facteur de production restent constant et qu’on augmente seulement un d’une unité , cela va augmenter la production mais plus on augmente , plus l’augmentation de production

de B&S, une combinaison de B&S. (B&S : Biens et Services) Section 1 – Fondements des décisions des consommateurs : Les décisions dépendent de leurs préférences, de leurs goûts mais aussi de leur contrainte de budget. Suprématie des contrats sur la loi Représenter des préférences : Représenter des préférences c’est d’abord évaluer et mesurer la satisfaction. Ensuite les décisions seront fonction des prix et des revenus. La valeur de la monnaie est subjective. Intensité de préférence => consentement

l’offre et la demande de monnaie 1 La monnaie Offre de monnaie: espèces et dépôts à vue détenus par les firmes et les ménages Supposée contrôlée par la banque centrale Demande de monnaie Toute demande d’actif dépend du rendement, du risque et de la liquidité - rendement Plus le taux d’intérêt est élevé, plus on perd à détenir des avoirs sous forme de monnaie La demande de monnaie va donc dépendre du niveau du taux d’intérêt. Quand celui-ci augmente, la demande de monnaie baisse - risque Ne joue

et en recherchent un. Les personnes sans emploi qui sont découragées et cessent de chercher un emploi ne sont pas comptabilisées comme chômeurs. 4 La relation entre les variations du taux de chômage et le taux de croissance du PIB est appelée loi d’Okun. Répercussions sociales : Le chômage a des effets directs sur le bien-être des chômeurs. Ces effets dépendent de la nature du chômage : les chômeurs ne constituent pas un groupe stagnant, composé de gens qui restent chômeurs longtemps. En France

tous ses points ( il est toujours possible de remplacer une consommation par une autre pour un même niveau de satisfaction ), et enfin ses dérivées secondes partielles doivent être toutes négatives ( c’est le « principe de l’utilité marginale décroissante » : la dernière unité consommée procure moins d’utilité que l’unité précédemment consommée et ainsi jusqu’à la première unité qui est logiquement la plus dispensatrice de bien être ). Cette dernière propriété est très importante car elle suggère