Longs Murs

ciel bas et lourd pèse comme un couvercle… Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon embrassant tout le cercle Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits ; Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l'Espérance, comme une chauve-souris, S'en va battant les murs de son aile timide Et se cognant la tête à des plafonds pourris ; Quand la pluie étalant ses immenses traînées D'une vaste prison

se dessinait derrière la vitre . Une jeune fille , blonde , agée d'environ 17 ans . La jeune fille été assoupit , la joue plaquée sur le carreau . Dans la voiture , une enfant , rousse aux yeux verts . Une jeune femme été au volant , ses cheveux longs et frisés , ondulés au vent , qu'amenait une des vitre ouverte . _ <Silteplait Olivia , reveille ta soeur . Nous sommes bientôt arrivé. » _<D'accord Maman . » _<Samia , reveille toi »dit l'enfant en secouent la dormeuse. La jeune fille

Mise en pratique et analyse du Spleen : Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l’esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l’horizon embrassant tout le cercle Il nous fait un jour noir plus triste que les nuits ; Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l’Espérance, comme une chauve-souris, S’en va battant les murs de son aile timide, Et se cognant la tête à des plafonds pourris ; Quand la pluie étalant ses immenses traînées D’une vaste prison

», « une prison » ou une marmite avec « couvercle ». Seuls deux pôles sont évoqués : « le ciel » et « la terre » reliés par la pluie en «barreaux ». Curieusement, outre cette verticalité, une deuxième dimension est présente, la longueur : « longs ennuis … longs corbillards », longueur du temps et longueur spatiale. Mais nulle échappée possible car partout se dressent des limites : le ciel« de l’horizon embrassant tout le cercle » et « les plafonds pourris » du cachot-terre où l’espérance se cogne

Entre loup et chien C'est un DESESPOIR QU'A PAS LES MOYENS LA MELANCOLIE LA MELANCOLIE {text:soft-page-break} Automne Comme la lande est riche aux heures empourprées, Quand les cadrans du ciel ont sonné les vesprées ! Quels longs effeuillements d'angélus par les chênes ! Quels suaves appels des chapelles prochaines ! Là-bas, groupes meuglants de grands boeufs aux yeux glauques Vont menés par des gars aux bruyants soliloques. La poussière déferle en avalanches grises

spleens de Baudelaire nous retrouvons encore et encore les même caractéristique su spleen qui sont la pluie, le froid, la tristesse et bien sur l’ennuis exprimé dans le premier des deux poèmes par « le bourdon qui se lamente » et pour le second « aux longs ennuis ». Vous pourrez donc constater en lisant ce recueil que le spleen est un mouvement poétique qui met en des plaintes récurrentes et identiques dans chaque poèmes. Nous espérons, que ce modeste recueil vous procurera autant de plaisir

Au fil des saisons Automne malade Automne malade et adoré Tu mourras quand l’ouragan soufflera dans les roseraies Quand il aura neigé Dans les vergers Pauvre automne Meurs en blancheur et en richesse De neige et de fruits mûrs Au fond du ciel Des éperviers planent Sur les nixes nicettes aux cheveux verts et naines Qui n’ont jamais aimé Aux lisières lointaines Les cerfs ont bramé Et que j’aime ô saison que j’aime tes rumeurs Les fruits tombant sans qu’on les cueille Le vent et

après être rentré qu’on fut subjuguer de pouvoir observer une société opposée à la nôtre : se dressait autour de nous ces personnes non civilisées qui étaient nus , avec un physique très particulier dont une petite taille , pas plus d’1 M 70 , de longs cheveux noires , une corpulence très maigre et une peau très mate . Ces etres nous ont encerclés et parmi l’un d’eux un homme plus grand, plus costaud vêtu d’un habit de plûmes s’approcha vers moi. Je compris alors que ce fut le chef. Je le fixais

marquant sa barre à l'infini, .Face à face, le long des quais d'ombre et de nuit,Par à travers les faubourgs lourdsEt la misère en pleurs de ces faubourgs,Ronflent terriblement usine et fabriques.Rectangles de granit et monuments de briques,Et longs murs noirs durant des lieues,Immensément, par les banlieues ;Et sur les toits, dans le brouillard, aiguillonnéesDe fers et de paratonnerres,Les cheminées.Se regardant de leurs yeux noirs et symétriques,Par la banlieue, à l'infmi.Ronflent le jour, la

MAUPASSANT, Sur l’eau, 1888. Spleen Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon embrassant tout le cercle Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits; Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l'Espérance, comme une chauve-souris, S'en va battant les murs de son aile timide Et se cognant la tête à des plafonds pourris; Quand la pluie étalant ses immenses traînées D'une vaste