Longs Murs

l'espace: Un pan de mur avec des portes. Une porte battante et une porte avec poignet. Les murs de deux couleurs, noirs et blancs tournent. 1ère partie: Mur noir Canapé avec une lampe 2ème partie: Une salle de cinéma Murs noirs, fauteuils rouges 3ème partie: Arrêt de bus avec un banc et un panneau Murs noirs 4ème partie: Murs noirs Canapé avec une lampe 5ème partie: Murs noirs et blancs Baignoire Entre chaque changement de partie, musique des Doors

moins : Pour les petits trajets : la moitié des déplacements en voiture sont inférieurs à 3km, alors que se sont les plus polluants ! pour aller acheter son pain ou son journal, il faudrait donc songer à y aller à pied ou en vélo Pour les trajets plus longs : les transports en communs sont plus rapides et moins couteux. Ils vont partout et ils sont plus sûrs que la voiture. Pour aller au travail : si un collège habite pas loin de chez vous, pourquoi ne pas aller travailler en faisant du covoiturage ?

roulés dans des quittances, Cache moins de secrets que mon triste cerveau. C'est une pyramide, un immense caveau, Qui contient plus de morts que la fosse commune. - Je suis un cimetière abhorré de la lune, Où comme des remords se traînent de longs vers Qui s'acharnent toujours sur mes morts les plus chers. Je suis un vieux boudoir plein de roses fanées, Où gît tout un fouillis de modes surannées, Où les pastels plaintifs et les pâles Boucher Seuls, respirent l'odeur d'un flacon débouché

restés à la ferme. 7) Leur habitat. La ferme était la maison des vikings. (regardez la photo n°5). Elle mesurait environ 12 mètres de long. Elle ne comportait qu’une seule pièce. De larges banquettes, le long des murs servaient de lits. La plupart de ces maisons étaient faites de murs très épais de torchis (paille mélangée à de la terre) sur une charpente en bois. La maison abritait toute la famille, le mari, son épouse, les concubines, tous les enfants, les serviteurs et les esclaves. Les vikings

lourd... » (Spleen ) tiré des Fleurs du mal. Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l 'horizon embrassant tout le cercle Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits; Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l'Espérance, comme une chauve-souris, S'en va battant les murs de son aile timide Et se cognant la tête à des plafonds pourris ; Quand la pluie, étalant ses immenses traînées, D'une vaste prison

(1869) L’art romantique (1869) ANALYSE DE L’ŒUVRE: Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon embrassant tout le cercle Quand la terre est changée en un cachot Il nous verse un jour noir plus triste que les humide, nuits Où l'Espérance, comme une chauvesouris, S'en va battant les murs de son aile timide Et se cognant tête à ses desimmenses plafonds Quand la pluielaétalant pourris ; traînées D'une vaste prison imite les barreaux

Explication de texte : LXXVIII - Spleen Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon embrassant tout le cercle II nous verse un jour noir plus triste que les nuits; Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l'Espérance, comme une chauve-souris, S'en va battant les murs de son aile timide Et se cognant la tête à des plafonds pourris; Quand la pluie étalant ses immenses traînées D'une vaste prison imite

bornée, Son pied sonore et vigilant, Le sommeil du tombeau pressera ma paupière. Avant que de ses deux moitiés Ce vers que je commence ait atteint la dernière, Peut-être en ces murs effrayés Le messager de mort, noir recruteur des ombres, Escorté d'infâmes soldats, Ébranlant de mon nom ces longs corridors sombres, Où seul dans la foule à grands pas J'erre, aiguisant ces dards persécuteurs du crime, Du juste trop faibles soutiens, Sur mes lèvres soudain va suspendre la rime;

expressions « longs ennuis » (v.2), en passant par les « affreux hurlements » (v.14) pour terminer avec « geindre opiniâtrement » (v.16). Alors, on peut remarquer que Baudelaire semble ressentir un grand sentiment de désespoir compte tenu de son état psychique à l'aide de l'extrait suivant : Où l'Espérance, comme une chauve-souris, S'en va battant les murs de son aile timide Et se cognant la tête à des plafonds pourris ; (V.6 à 8) Cela nous renvoie à l'expression « se cogner la tête contre les murs », qui

émergeant des manches de la blouse, semblaient posséder une ossature : deux mains autoritaires, aux ongles courts, aux longs doigts qui se déployaient et s’imposaient lorsqu’elle parlait. » « Elle devait sa démarche cahotante à un pied-bot dissimulé dans une chaussure orthopédique, un boulet de cuir noir qu’elle traînait partout avec elle. Sa silhouette vacillante bousculée par les murs du couloir était à l’image de son visage, un sac de peau que ne soutenait aucune armature. » -Éléments appartenant