Longs Murs

n’est pas évident pour un candidat de pouvoir identifier clairement les différences et choisir selon ses critères propres. Voici quelques réflexions : Est-ce que cela vaut le coup/coût de faire un master ? Différence Master "Courts" et Master "Longs" Différence masters "spécialisés" et masters "double formation" Différence Masters "universitaires" et Master(e)s "écoles" Différence master "en apprentissage" et master "classique" Faut-il faire une année de césure ? Comment choisir ? Où puis-je trouver

millions d'amants. Entre deux sucres verts et amers. C'est pourtant comme si chaque coup de rein érodait progressivement sa conscience jusqu'à l'obscurité finale. La voilà qui erre comme un fantôme dans les faubourgs en secouant ses longs cheveux velours. Son front fier se dissimule par pudeur sous une foule indisciplinée de mèches mousseuses et ondoyantes de pétrole, ornementées d'objets insolites, gardiennes éternelles de sa féminité, la féminité de Lou. Ses yeux sont des boules d'or

personne n’a d’identité, « loin de la liberté » (l.6) ou qu’ils ne peuvent sortir de ses murs, qui sont en quelque sorte emprisonné dans ses HLM. Les murs ne sont pas les seuls obstacles à la liberté, « la brume », « l’épais  nuage » et les « nuées » (l.20-22) bloquent l’accès au « ciel » et aux «  avions » (l.20-21). Ces deux termes expriment un sentiment de réconfort, traduit par « leurs ailes étincelantes de longs filaments cotonneux » (l.22-23). On peut remarquer qu’il y a une absence de verbe de

aspirations pour l’avenir.  Il se compose d’un pylône simple, d’une envergure de 200 m et de 142 m de haut1. Ce pylône, qui forme un angle de 58° avec l’horizontale, soutient la totalité du tablier du pont par 13 haubans (dont deux de 300 m, les plus longs du monde en 2007). Pour sa construction, une des plus grandes grues existantes a été utilisée, capable d’élever 200 tonnes à 150 m de hauteur. Ceci est le seul pont à haubans sans ancrage à l'arrière du pylône * La Gare de Lyon La gare, conçue

merveilleuses poussières Amassées par tout un été.   O temps charmants des brumes douces, Des gibiers, des longs vols d'oiseaux, Le vent souffle sous le préau, Mais je tiens entre paume et pouce Une rouge pomme à couteau.   René-Guy CADOU Couleurs d’automne Arbres remplis de fruits qu'en cette saison la nature Nous donne généreusement ! Gaieté dans les vignes où les raisins bien mûrs Sont cueillis en chantant. Premiers brouillards et champignons cachés des bois Nonnettes voilées

bornée, Son pied sonore et vigilant, Le sommeil du tombeau pressera ma paupière. Avant que de ses deux moitiés Ce vers que je commence ait atteint la dernière, Peut-être en ces murs effrayés Le messager de mort, noir recruteur des ombres, Escorté d'infâmes soldats, Ébranlant de mon nom ces longs corridors sombres, Où seul dans la foule à grands pas J'erre, aiguisant ces dards persécuteurs du crime, Du juste trop faibles soutiens, Sur mes lèvres soudain va suspendre la

vingt ans, de 1905 à sa mort en 1925, il construit une œuvre photographique autour de ces migrants, saisis entre deux mondes, entre deux vies, entre la peur et l’espoir, enfermés symboliquement dans le cadre au moment où ils sont retenus entre les murs d’Ellis Island. De ce travail, il reste aujourd’hui près de 250 images, longtemps oubliées, qui entrent dans les collections du musée d’Ellis Island à la fin des années 1960, après un don de la nièce du photographe. On sait peu de chose sur le dispositif

compassion pour cette saison qui va disparaître très vite sans qu’on se rende compte de sa richesse : vers 7 « fruits mûrs » ( vers 15 « fruits tombés » sans qu’on les cueille. • Opposition automne / hiver : Automne va disparaître à cause de l’hiver ( les deux saisons s’opposent tout au long du poème. L’automne est associé à des éléments positifs : « richesse » vers 6, « fruits mûrs ». Tandis que l’hiver à des éléments plus menaçant : « neige » à laquelle l’auteur fait allusion 2 fois vers 3 et

sol. Nous pouvons remarquer un contraste de couleurs sur ce visuel. La femme et le livreur sont représentés à travers des couleurs chaudes, le orange et le rouge. Ce qui contraste avec le lieu dans lequel ils se trouvent. Ce lieu est froid avec les murs délabrés. Un endroit qui n’ est pas rassurant et qui fait froid dans le dos. Grâce à la lumière qui est projetée sur les deux personnages, notre regard se porte tout de suite sur eux. La femme est habillée avec un bustier orange. Ses cheveux sont détachés

coincés entre un mur de briques d’une hauteur imposante et le véhicule de police qui rampait maintenant en leur direction tel un prédateur grognant pourvu d’yeux luminescents. Il y avait tellement peu d’espace entre les portières de la voiture et les murs de la ruelle que Fisher et Anderson eurent quelques difficultés à s’extirper du véhicule. Ils durent mettre de côté leur dignité, contraints à s’approcher centimètre par centimètre, tels des crabes, des mécréants. Fisher présenta son imposant abdomen