Longs Murs

d'automne où la nature expire,  A ses regards voilés, je trouve plus d'attraits,  C'est l'adieu d'un ami, c'est le dernier sourire  Des lèvres que la mort va fermer pour jamais !  Ainsi, prêt à quitter l'horizon de la vie,  Pleurant de mes longs jours l'espoir évanoui  Je me retourne encore et d'un regard d'envie  Je contemple ses biens dont je n'ai pas joui !  Peut-être l'avenir me gardait-il encore  Un retour de bonheur dont l'espoir est perdu ?  Peut-être dans la foule, une âme que

d’automne où la nature expire,  A ses regards voilés, je trouve plus d’attraits,  C’est l’adieu d’un ami, c’est le dernier sourire  Des lèvres que la mort va fermer pour jamais !  Ainsi, prêt à quitter l’horizon de la vie,  Pleurant de mes longs jours l’espoir évanoui  Je me retourne encore et d’un regard d’envie  Je contemple ses biens dont je n’ai pas joui !  Peut-être l’avenir me gardait-il encore  Un retour de bonheur dont l’espoir est perdu ?  Peut-être dans la foule, une âme que

I Loin vers l'infini s'étendent De grands prés marécageux Et là-bas nul oiseau ne chante Sur les arbres secs et creux Refrain Ô terre de détresse Où nous devons sans cesse Piocher, piocher. II Dans ce camp morne et sauvage Entouré de murs de fer Il nous semble vivre en cage Au milieu d'un grand désert. III Bruit de chaîne et bruit des armes Sentinelles jours et nuits Et du sang, des cris, des larmes La mort pour celui qui fuit. IV Mais un jour dans notre vie Le printemps

est une figure de style qui consiste à comparer deux éléments sans outil de comparaison. Ex : Elle est le soleil ! La Personnification est une figure de style qui consiste à donner des attributs humains à quelque chose qui ne l’est pas. Ex : les murs ont des oreilles ! Les figures de substitution (Elles remplacent un terme par un autre terme ou par toute une expression) : La Métonymie est une figure de style qui consiste à remplace un mot par un autre mot en lien avec. Ex : Je vais boire

noisettes créaient, un contraste avec son tein blanchatre. Visiblement sa peau n'avait pas vue le soleil depuis bien longtemps. Sur sa peau fripée était, parsemée de taches brune qu'avait laissé temps tel le petit poucet pour marquer son passage. De longs cheveux argentés soigneusement noués au dessus de sa tête encadraient son visage. Elle était vêtue d'une robe démodée et sobre. Son écharpe blanche illuminait son visage. De longues chaussettes blanches remontaient sur ses chevilles. Soudain la vielle

effet psychologique sur les gens, avec pour chaque couleur une sensation différente.   Dans la seconde partie nous parlerons de son effet visuel, ou comment la couleur en intérieur peut donner certaines illusions lorsqu’elle est appliquée sur des murs, mais aussi où utiliser telle ou telle couleur pour les pièces d’une maison. Dans la troisième partie du texte nous pourrons parler des autres matériaux utilisés pour créer une certaine ambiance, et l’importance de l’éclairage avec quelques exemples

plus personne ne peut sortir de ces murs, de ces appartements, de ces caves ? Mais ceux qui vont et viennent entre les grandes murailles grises, hommes, femmes, enfants, chiens parfois, ne sont-ils pas comme des fantômes sans ombre, insaisissables, introuvables, aux yeux vides, perdus dans l'espace sans chaleur, et ils ne peuvent jamais se rencontrer, jamais se trouver, comme s'ils n'avaient pas de vrai nom. De temps en temps passe une ombre, fuyante entre les murs blancs. On voit le ciel parfois, malgré

leurs bras grêles Comme des orgues noirs, les poitrines à jour Que serraient autrefois les gentes damoiselles Se heurtent longuement dans un hideux amour. Hurrah ! les gais danseurs, qui n’avez plus de panse ! On peut cabrioler, les tréteaux sont si longs ! Hop ! qu’on ne sache plus si c’est bataille ou danse ! Belzébuth enragé racle ses violons ! Ô durs talons, jamais on n’use sa sandale ! Presque tous ont quitté la chemise de peau ; Le reste est peu gênant et se voit sans scandale. Sur les crânes

SPLEEN, LXII Strophe 1 * Quelles impressions sont à l’ origine du spleen? Le spleen represente l’ennuie, le mal , la mort. C’est une pensé extrèmement négative. Comme dans la 1ere strophe on trouve : Vers 1 = …ciel bas et lourd Vers 2 = …longs ennuis Vers 4 = …un jour noir plus triste que les nuits * Relevez, identifiez et expliquez au moins trois figures de style. 1= vers 1 – Comparaison - … comme un couvercle 2= vers 4 – oxymore – un jour noir 3= * Identifiez et commentez

lier les pigments de la peinture. Ce tableau a une organisation pyramidale formée par les escaliers et cette représentation du métro est faite d’une structure labyrinthique de l’espace avec les escaliers, les multitudes de couloirs plus ou moins longs, les grilles et le tourniquet ce qui donne l’impression d’un jeu infernal. Les personnages se ressemblent et certains sont identiques tels les trois hommes à gauche ou les deux hommes qui entourent la femme au premier plan. Ces personnages