Lor Blaise Cendrars

Blaise Cendrars [sɑ̃dʁaːʁ]1, de son vrai nom Frédéric Louis Sauser, est un écrivain d'origine suisse, né le 1er septembre 1887 à La Chaux-de-Fonds, dans le canton de Neuchâtel (Suisse), naturalisé français, et mort le 21 janvier 1961 à Paris. Il a également utilisé les pseudonymes de Freddy Sausey, Frédéric Sausey, Jack Lee, Diogène. Il mène d'abord une vie d'aventurier avant d'écrire et de publier ses premiers poèmes : Les Pâques en 1912 (qui deviendra Les Pâques à New York en 1919). Il le signe

Blaise Cendrars est un écrivain suisse, né le 1er septembre 1887, dans le canton de Neuchâtel (Suisse). Il est mort le 21 janvier 1961 à Paris. Il fut aussi naturalisé français après la première guerre mondiale. Il a également utilisé les pseudonymes de Freddy Sausey, Frédéric Sausey, Jack Lee, Diogène. Dans sa jeunesse, Il suit ses parents, travaillant dans plusieurs pays étrangers. A 15 ans, il s'enfuit définitivement, et parcourt la Russie, les Indes, la Chine en survivant grâce à de petits travaux

puisque Marie Laurencin, avec qui il entretenait une relation depuis 1907, rompt avec lui, ne supportant plus sa jalousie maladive. Apollinaire écrit alors « Le Pont Mirabeau ». A l’automne, il fait une de ces rencontres les plus importantes avec Blaise Cendrars qui lui envoie son poème « Pâques à New York ». Il s’inspire du poème et écrit « Zone » qui fait l’éloge de la modernité de Paris et du monde. Il publie alors Alcools, recueil majeur qui réunit toute son œuvre poétique depuis 1898 et dans lequel

La main coupée A. Lecture d’un roman sur la Guerre 14-18 1. CENDRARS BLAISE, La main coupée, Italie, Editions Denoël, 1946, 433 pages. Blaise Cendrars, de son vrai nom Frédéric Louis Sauser, est un écrivain français d'origine suisse né le 1er septembre 1887 dans le canton de Neufchâtel. Il est mort à Paris le 21 janvier 1961. C'est un adolescent rebel fou de voyages et de découvertes. Dès le début de la Première Guerre Mondiale, il s'engage comme volontaire étranger dans l'armée française

L'AVIS DE RICOCHET Blaise Fortune vit dans le Caucase avec Gloria Bohême, sa mère d'adoption. Cette dernière l'aurait trouvé lors du déraillement d'un train, dans les bras de sa véritable génitrice, une Française qui n’a pas survécu. Lorsque la guerre éclate, Blaise et Gloria tentent de rejoindre la France. Seul Blaise y parviendra… On peut tenter de résumer ce riche roman avec deux thématiques et deux lignes directrices. Un premier axe d’actualité traite de l'exil pour fuir un pays en guerre

la cruauté humaine, la guerre et les conditions de vie des soldats, mais aussi « les profondeurs infernales de l’être humain ». -Deshumanisation des soldats « A l’ouest rien de nouveau » par Erich Maria Remarque en 1929 « J’ai tué » par Blaise Cendrars en 1918 Il semble que l’homme lancé dans la guerre devienne un animal : -Texte 1 : « C’est l’instinct de la bête qui s’éveille en nous » (l. 2 et 3), « nous sommes devenus des hommes-bêtes » (l. 7-8) -Texte 2 : « Nous sommes devenus des

siècle Rôle : photo-journaliste. Photos empreintes de nostalgie, d’humour, de tendresse. Témoins de son temps. Courant artistique : journaliste humaniste. Artistes contemporains : Robert Doisneau rencontre Henri Cartier-Bresson, Blaise Cendrars, Jacques Prévert et Daniel Pennac. Rencontre avec Sabine Azéma sur le tournage du film de Bertrand Tavernier «Un dimanche à la campagne ». Œuvre de Sabine Azéma pour les 80 ans de Doisneau « Bonjour Monsieur Doisneau » en 1992. Autres

-Le second s'intitule "Conseil au bon voyageur", de Victor Segalen écrit en 1912. Il est extrait du recueil Stèle , et il appartient au mouvement du symbolisme - Le troisime poême est de Blaise Cendrars. Il s'intitule Au clair de Lune et datant de 1924. Il appartient au mouvment surréaliste -Le quatrième est de Arthur Rimbaud, il s'intitule "Départ" et extrait du recueil Illuminations (1872-1875) -Le cinquième est de Edgard Georges

Apollinaire ne respecta pas l’ordre chronologique de création des poèmes, qui aurait accentué la résonance autobiographique, le poème liminaire, “Zone”, ayant été en réalité le dernier composé. De plus, devant l’exemple qui lui avait été donné par Blaise Cendrars, dans une décision de dernière heure, sur les épreuves mêmes, alors que ses poèmes avaient initialement paru encore ponctués, il supprima partout la ponctuation. Il pousuivait ainsi le but constant des poètes, qui a toujours été de saboter la

présentés est l'afrique noire et ses autochtones. En effet le premier extrait de texte de Karen Blixen s'intitule "La ferme africaine", le second extrait "Ebène, Aventure africaines" évoque aussi l'afrique, et enfin le troisième texte de Blaise Cendrars, "Au coeur du monde" est un poème qui parle de la beauté de la femme africaine. 1.2 Analyse et interprétation Question 2: Dans les trois textes les narrateurs évoquent l'adaptation aisée des indigènes, autrement dit les africains noirs