LORAN

Réglementation + + o - 2-Méthylphénanthrène ? + o - 3-Méthylcholanthrène + + n - 7,12-Diméthylbenzo(a)anthracène + + o - 9-Méthylanthracène + + o - Nom 2-Méthylanthracène Anthanthrène + + o - Benzo(a)anthracène + + o OSPAR, USEPA Benzo(a)pyrène + + o OSPAR, DCE, USEPA Benzo(b)fluoranthène + + o DCE, USEPA Benzo(b)fluorène ? + o - Benzo(e)pyrène + + o OSPAR Benzo(g,h,i)fluoranthène + + o USEPA Benzo(g,h,i)pérylène + + o OSPAR, DCE, USEPA

développement. Modèle en cascade Analyse des besoins Spécification Conception préliminaire Conception détaillée Enchaînement séquentiel de phases désignées par l’activité principale qui s’y déroule Tend à LO19 Génie logiciel : Introduction 42 Co cep o dé a ée Tests unitaires Tests d’intégration Codage Tests fonctionnels Exploitation/maintenance Itération possible avec la phase immédiatement antérieure disparaître au profit du modèle en V plus complet 8 LO19 : Introduction 1-8 Modèle

SOM MAIRE I. Décision du C o m m i s s a i r e R é s i - V. B1ARNAY. — dent G é n é r a l c r é a n t à- R a b a t Chants u n Comité d ' E t u d e » b e r b è r e s . I I . COLONEL H . SIMON. des- b e r b ô r e s V I . LAOU8T. Maroc et Us Mariage,chez L'Azref des T r i b u s et Qsour berbères du Haut- d'administra- tion i,e VII. Nam.iL.— leurs application» en matière de politique et SUr les B e r b ô r e s d u M a r o c . . . . Lés Sta- au NOtSS p o p u l a i r e s d u Rif.

"forguitarwdirectly touserecorar am p, and use patches "for Recording" st w hen you connect your Live" hen you a guitder. N a m e of pa tc h e s for L ive for R e c ordin g S e t t in g r e c o m m e n d a t io n o n p o p u la r g u it a r a m p s Marshall JCM-2000 In c a s e o f p a t c h e s f o r L iv eÅiA 0 Å`A 9 ÅA Å`b 9 Åj b0 EQUALISATION REVERB 6 4 2 8 10 0 2 4 6 8 4 10 0 10 6 4 OFF 8 2 0 2 010 46 8 10 6 8 OFF 4 D e s c ription s This patch is modeled after the powerful sound

les cheveux au vent, les moustaches cirées dans un visage blême. Une révolte éclate. Privés de tout, et mal convaincus par ce maréchal que nous ne manquions de rien, nous beuglâmes en choeur, lorsqu’il parla de réprimer par la force nos plaintes : « Ran, plan, plan ! cent mille hommes par terre, à Paris ! à Paris ! » Canrobert devint livide et il cria, en plantant son cheval au milieu de nous : « Chapeau bas devant un maréchal de France ! » De nouvelles huées partirent des rangs ; alors tournant

une marée noire sera donc définie comme une couche d'hydrocarbures répandue accidentellement ou non à la surface de la mer et qui vient souiller les rivages (2). 1. L E S ORIGINE S DE S M AREE S NOIRE S ET LE U R DE ROU LE M ENT 1 .1 L e p é tr o le A. Qu’est-ce qu e le p étro le ? Le pétrole c’est formé il y a des millions d’années. Il provient de la transformation naturelle de sédiments organiques (accumulation de débris végétaux et animaux) sous l’action de la température et de la pression

“the car of my mother” = “my mother’s car” – faire la différence entre “the executive’s bathroom” et “the executives’bathroom” (les toilettes du cadre et des cadres) – ORDRE des mots : possesseur + élément possédé. DÉTERMINANTS : a teacher (sing.) ou ø teachers (plur.). Si l’objet est déterminé : art. défini “the” + nom. PAS DARTICLE “THE” pour exprimer des concepts, notions, idées générales (s’ils ne sont pas particularisés). En français il y a un article défini (la société, la vie, etc...) PAS D’ARTICLE

règles d’un modèle idéal : • Trouver l’emplacement d’un arbre miraculeux qui ne donne pas d’ombre à midi : cet arbre, censé relierles enfers, la terre et le ciel, représente le centre du Monde, et c’est là que doit se tenir l’empereur. On parle de ô 王 (le roi, kanji tout à fait représentatif d’un axe vertical entre trois zones). • Niveler le terrain par l’eau afin d’habiter sur une zone bien plane, tel que l’indiquaient les rites des Zhou (2e siècle avant JC). • Utiliser une corde avec un poids

Obispo. Musique Lionel Florence 1998 Editions Laurelenn -------------------------------------------------------------------------------- Elle en a vu de toutes les couleurs Elle est revenue de tant de combats Elle a tellement tendu son coeur L o dautres ont baiss les bras Elle dit quaprs certains regards Les mots deviennent drisoires On fait des choses parce quelles simposent Sans se demander pourquoi Cest peut-tre Oh peut-tre Une goutte dans la mer Cest peut-tre Oui peut-tre Une goutte

la critique proustienne. M•me si lÕon excepte Un Amour de Swann, qui constitue une enclave dans cet immense roman ˆ la premi•re personne, lÕunitŽ de la pespective est en effet apparente et le je dissimule un grand nombre de personnes diffŽrentes. Ç O• se trouve Proust, en fin de compte ? È se demande Jean Pouillon. Ç ÔLongtemps je me suis couchŽ de bonne heure.Õ Qui est ce je ? Celui qui se couchait de bonne heure ? Celui qui sÕen souvient, mais quand et pourquoi ? LÕun et lÕautre Žvidemment, cÕest-ˆ-dire