Lotharingie

fonctionner parfois mais il a été amplifié par le pv royal. Seule conséquence forte de l’élection d’HC est à l’échelle des relations internationales. Le royaume des francs va sortir du syst ottoman. HC et Robert sont intervenus en Flandre, en Lotharingie, en bourgogne, en Italie comme les rivaux de l’empereur (et pas comme les fidèles). Années 990’, en étudiant les actes royaux on avait cru comprendre que le pv royal avait faibli (a cause des cosignatures de nolbes à côté du « siglum » royal)

compromis avec ses frères, que deviendra le Traité de Verdun. Celui-ci énonçant une nouvelle répartition territoriale entre : la Francie Occidentale de Charles, la Francie Orientale de Louis et la Francie médiane de Lothaire, appelée également Lotharingie. II. La naissance de deux Etats indépendants : la France et l’Allemagne. CHAPEAU : Le partage de l’Empire de Louis Le Pieux étant source de conflits, un compromis est alors établit : Le Traité de Verdun (A). Celui-ci aboutissant à Une nouvelle

Brissarthe, Normands et Bretons contre l'armée franque de Robert le Fort, ancêtre des Capétiens qui meurt au combat. - Création du comté de Flandre. 867-873 : Occupation d'Angers par les Normands. 870 : Traité de Meerssen, partage de la Lotharingie entre Louis le Germanique et Charles le Chauve. 877 : Création des duchés d'Aquitaine et de Gascogne. | Louis II Bèguefils de Charles II le Chauve | (877-879) | 879 : Élection de Boson en tant que roi de Bourgogne et de Provence. | Louis IIIfils

le 29 septembre 855 ; il avait divisé son royaume entre ses trois fils. Ce fut Lothaire II qui obtint la partie septentrionale, le territoire entre la mer du Nord et le Jura, auquel s'attacha spécialement le nom de Lotharingie (Lotharii regnum)2. Quand le malheureux roi de Lotharingie mourut le 8 août 869, Charles et Louis, ses deux oncles, se disputent ses États, et, au mépris des droits du seul fils survivant de Lothaire Ier (Louis II, roi d'Italie), ils finissent par se les partager à Meerssen

pouvoir. → La situation est un peu différente en Germanie où le souverain reste plus nettement maître de ces honores qu’il peut par exemple confisquer (exemple à plusieurs reprises dans la famille des Conradiens : Conrad le Rouge perd le duché de Lotharingie en 953 ; son fils Otton est destitué du duché de Carinthie en 985, etc.). En Saxe les Billung occupent toutefois le duché pendant presque toute votre période. → On constate donc une patrimonialisation des honores qui va de pair avec celle des terres

héritier de la famille carolingienne, l'unique à avoir pu prétendre au titre impérial. Il avait donc rassemblé l'empire de ses ancêtres après les morts successives de ses frères et neveux. Réginon, élevé dans le monastère de Prüm, au centre de la Lotharingie est au coeur du berceau carolingien et a donc une vision particulière de la dynastie. Il laisse en effet dans sa chronique la marque d'une certaine nostalgie de l'empire unifié, qui le pousse à faire l'éloge de Charles III, le nouvel unificateur

neveu Pépin II d'Aquitaine pour conserver son contrôle sur l'Aquitaine. Roi de Lotharingie (869) puis empereur (875)[modifier] Sceau de Charles II le Chauve, empereur des romains.Après la mort de Lothaire II de Lotharingie, il est couronné roi de Lotharingie le 9 septembre 869 à Metz par l'archevêque Hincmar de Reims[15], l’évêque de Metz Advence prétendant que tous les évêques et grands laïcs de Lotharingie souhaitent l'avènement de Charles. Avant le couronnement, Charles doit prendre des

long terme. L'affaiblissement de la dynastie carolingienne entraîne son éviction définitive du trône franc par les Robertiens en 987 à la mort de Louis V, l'extinction de la lignée suivant peu après, avec la mort des fils du duc Charles de Basse-Lotharingie, Otton et Louis au début du XIe siècle. Avec les Herbertiens, la lignée carolingienne se perpétua cependant jusqu'au XIIe siècle par les comtes de Vermandois.

Le texte est un poème au roi capétien de France Robert écrit par Adalberon de Laon en 1025 qui expose la tripartition sociale. Il confirme se positions sur l'ordre social.  Adalbéron de Laon était chancelier du roi Lothaire puis nommé évêque de Laon par Lothaire en 977. Il était descendant de sang royal issus des Carolingiens et des Capétiens.  Dans son poème, il mentionne deux lois qui régissent les ordres de la Res publica(La Republique) pour assurer et maintenir la paix de l'Eglise. Il démontre

Bataille du Lechfeld (955-Xe siècle) : Otton Ier (Un saxon, non un carolingien) bat les Hongrois qui menaient des razzias et semaient la terreur dans tout l’Empire. Fin de l’Empire Carolingien en Germanie : A la mort du fils de Lothaire, la Lotharingie sera démembrée et partagée entre les deux autres royaumes. En Francie Orientale, les autorités locales prennent le pouvoir (911). En Francie Occidentale, le dernier Carolingien meurt et Hugues Capet devient roi (987).C’est le début de la dynastie