Lotharingie

et de l’acier de la Ruhr par une autorité européenne avec transfert de souveraineté et grand marché. A la même époque, René Mailler, haut fonction et commissaire à l’équipement, dans une note au général De Gaulle du 30 septembre 43, propose une Lotharingie industrielle qui engloberait la Ruhr. Il y avait l’idée de mettre le Meuse au niveau international. Coudenhove-Kalergi fonde en 1942 à New-York, un institut de recherche et il y tient un congrès. La question commençait à ce poser : fallait-il tendre

féodale. Ce que caractérise la société féodale est le morcellement politique du territoire qui a pour point de départ le démembrement de l'empire carolingien qui a été partagé en trois entités en 844 au moment du traité de Verdun : -la France -la Lotharingie -la Germanie Qui reviennent chacune à un petit fils de Charlemagne. Or ces trois entités vont elles mêmes se morceler au cours de l'époque féodale. Cette parcellisation s'est constituée à partir du contrat vassalique, selon ce contrat le suzerain

Puis, sans même prendre le loisir de consolider ses premiers succès, il avait rêvé de réunir entre eux ses deux groupes de possessions, Pays-Bas d’une part, duché et comté de Bourgogne de l’autre, de façon à ressusciter à son profit l’ancienne Lotharingie des temps carolingiens. En mai 1469, il avait été assez heureux pour se faire céder, moyennant 50.000 florins, à titre de gage — mais de gage pratiquement difficile à reprendre — par le duc Sigismond de Tirol, qui était accablé de dettes, la Haute-Alsace

subi des reproches au sujet de sa faiblesse politique. 3) La restauration de l’empire d’occident Initiative venue du pape. Charlemagne est sacré empereur d’occident. En 843, partage de Verdun en 3 parties : la Francie occidentale, orientale, Lotharingie. Le titre impérial a été repris en 962 par Othon Ier. II) L’exercice du pouvoir royal A) Le roi et l’élite dirigeante Tradition germanique. Garde personnelle (antrustion) composée de personnes qui font partie du palais. Le roi utilisait aussi

occidentalis, qui deviendra la France. Les terres orientales, à l’est du Rhin, sont attribuées à Louis le Germanique (la future Allemagne). Entre les deux royaumes, une longue bande de terre (de la mer du Nord à l’Italie) est attribuée à Lothaire : la Lotharingie (la Lorraine). C’est un partage entre les frères mais aussi un accord avec l’aristocratie qui a bien souvent attisé les tensions. Un lien particulier unissait carolingien et aristocratie. Ce lien était une force et une faiblesse et il explique l’échec

occidentalis, qui deviendra la France. Les terres orientales, à l’est du Rhin, sont attribuées à Louis le Germanique (la future Allemagne). Entre les deux royaumes, une longue bande de terre (de la mer du Nord à l’Italie) est attribuée à Lothaire : la Lotharingie (la Lorraine). C’est un partage entre les frères mais aussi un accord avec l’aristocratie qui a bien souvent attisé les tensions. Un lien particulier unissait carolingien et aristocratie. Ce lien était une force et une faiblesse et il explique l’échec

les Vosges et la plaine d’Alsace. Le mot Lorraine est un terme historique. En 843, le traité de Verdun partage l’Empire de Charlemagne entre ses trois petits-fils: à Charles la Gaule, à Louis la Germanie, à Lothaire un royaume intermédiaire, la Lotharingie. Plus tard le mot se déforma (Lothringen-Lorraine). Les rois de France la conquièrent peu à peu. La province est entièrement annexée au royaume français en 1776. De nouveau partagée entre la France et l’Allemagne, par le traité de Francfort (1871)

Vosges et la plaine d’Alsace. Le mot Lorraine est un terme historique. En 843, le traité de Verdun partage l’Empire de Charlemagne entre ses trois petits-fils: à Charles la Gaule, à Louis la Germanie, à Lothaire un royaume intermédiaire, la Lotharingie. Plus tard le mot se déforma (Lothringen-Lorraine). Les rois de France la conquièrent peu à peu. La province est entièrement annexée au royaume français en 1776. De nouveau partagée entre la France et l’Allemagne, par le traité de Francfort

la Belgique actuelle). Au troisième siècle après J-C on parle de provincia belgica : toujours belge mais qui, comme pour la Gaule, recouvre un territoire beaucoup plus grand que le nôtre actuel. On parle de Gallia Belgica ou encore de Belgae. (Lotharingie, 9e-12e S.)…Par après ces mêmes termes sont utilisés pour désigner les territoires bourguignons : Pays-Bas hollandais jusque dans la France (Bourgogne). Ce sont des termes qui proviennent du latin et désigne des réalités politiques qui évoluent

l’ouest Charles le Chauve qui prend ce qui sera le future France ; il est limité à l’est par lescart, la meuse, l’essone et le rhin. À l’est Louis le Ger- manique prend le futur royaume germanique. Au centre on a le royaume de Lothaire qui est la Lotharingie qui donne son nom à la future Lorraine. Ce dernier royaume est le plus intéressant a priori car il contient Rome et Aix-la-Chapelle. Lothaire conserve aussi le titre d’Empereur mais cela ne lui donne aucun avantage car les trois royaumes sont