Louis-Alexandre Taschereau

sexe que sur la condition sociale[31]. Question 3 La Loi instituant l'assistance aux mères nécessiteuses[32] a été adoptée dans le contexte des années 1930. À cette époque, le gouvernement libéral du premier ministre du Québec, Louis-Alexandre Taschereau, adopta plusieurs lois à portées sociales et, par la suite, lorsque Maurice Duplessis le succéda, il continua dans cette voie. C'est ainsi que la loi aux mères nécessiteuses vu le jour : dans le même courant que d'autres lois à caractères

l’impasse du destin mâle dans L’élan d’Amérique et Une chaîne dans le parc d’André Langevin», mémoire de maîtrise, 1978, v, 114 p. Dir. : François Hébert. Cote : UdeM D. Thèses PQ 35 U54 1978 v.003; UdeM L.S.H. PQ 35 U54 1978 v.003; Microfilm; CÉTUQ. Alexandre, Annie, «Le pouvoir comme lecteur : la censure devant Madame Bovary et La Scouine», thèse de doctorat, 1982, viii, 245 p. Dir. : Gilles Marcotte. Cote : UdeM D. Thèses PQ 35 U54 1982 v.007; UdeM L.S.H. PQ 35 U54 1982 v.007; Microfilm; CÉTUQ. Allard

enfants du quartier. Mais, quand les Frères de l'Instruction chrétienne arrivèrent dans la paroisse Sainte-Cécile, en août 1926, la construction de l'école de garçons n'était pas encore très avancée. Logeant au 534, rue Sainte-Angèle, le frère Isidore-Louis et ses collaborateurs s'entendirent avec les Filles de Jésus pour occuper temporairement des espaces à l'école Sainte-Cécile. Le 7 septembre suivant, jour de la rentrée scolaire, ils ouvrirent cinq classes, séparées les unes des autres par des cloisons

confessionnel et le libre-échange. Une semblable évolution apparaît dans le Canada-Est. En effet, les Réformistes modérés se joignent aux torys pour constituer le Parti libéral-conservateur, aussi connu sous le nom de « Parti bleu ». Sous la direction de Louis-Hippolyte Lafontaine, ils s’opposent aux Réformistes radicaux, qui se sont regroupés sous la bannière du « Parti rouge ». Le chef du Parti rouge, l’avocat et journaliste Antoine-Aimé Dorion, prône le suffrage universel, le retrait de l’Union, l’abolition

GLOSSAIRE DU PATOIS NORMAND, PAR M. LOUIS DU BOIS; AUGMENTÉ DES DEUX TIERS, ET PUBLIÉ PAR M. JULIEN TRAVERS. CAEN, TYPOGRAPHIE DE A. HARDEL, ÉDITEUR, RUE FROIDE, 2. 1856. PRÉFACE DE L'ÉDITEUR. La dernière fois que je visitai dans sa retraite de Mesnil-Durand le savant Louis Du Bois (en octobre 1854), ce laborieux vieillard, plus qu'octogénaire, me montra un Glossaire du Patois Normand qu'il avait commencé vers la fin du dernier siècle, et me pria de lui chercher un éditeur. Je parcourus