Louis-Auguste Boileau

au désavantage de Corneille lorsque les deux auteurs produiront presque simultanément, sur le même sujet, Bérénice) (Racine) et Tite et Bérénice (Corneille). À la fin de sa vie, la situation de Corneille est telle que Boileau demande pour lui une pension royale qu'il obtient de Louis XIV. L’œuvre étendue et riche de Corneille a donné naissance à l’adjectif « cornélien » qui signifie : la volonté et l’héroïsme la force et la densité littéraire la grandeur d’âme et l’intégrité

craindre qu'elle eût beaucoup d'imitateurs. 2. Début de la carrière de Jean Racine Son premier essai poétique fut la « Nymphe de la Seine  », ode qu'il composa pour le mariage de Louis XIV, et qui l'ayant fait connaître de Chapelain, arbitre passager des réputations littéraires et des grâces de la cour, lui valut cent louis comptant que Colbert lui envoya de la part du roi. Il reçut peu après une pension de six cents livres. Quatre ans plus tard, vers la fin de 1663, une autre ode, la « Renommée aux

L’illusion comique (1636) - Cyrano de Bergerac : Histoire comique des Etats et empires de la Lune Artistes humanistes : - Le Bernin - Rubens Contexte historique : Règne d’Henri IV, puis régence de Catherine de Médicis, puis règne de Louis XIV - Les grandes découvertes[pic] ont des effets sur l'art - Découvertes scientifiques avec Galilée et Copernic - Découvertes théologiques et ecclésiologiques : —› Trois conséquences capitales : • l'ère de l'héliocentrisme (La

verrez Paris C’est de ce Paris-là que j’ai fait mes poèmes Mes mots ont la couleur étrange de ses toits La gorge des pigeons y roucoule et chatoie J’ai plus écrit de toi Paris que de moi-même Et plus que de vieillir souffert d’être sans toi. Louis Aragon Notre-Dame de Paris Notre-Dame est bien vieille : on la verra peut-être Enterrer cependant Paris qu'elle a vu naître ; Mais, dans quelque mille ans, le Temps fera broncher Comme un loup fait un boeuf, cette carcasse lourde, Tordra ses

du duc de Luynes). C'est là qu’il écrit ses premiers poèmes, dans la veine galante, telle qu'on la pratiquait alors dans tous les salons. Bien conseillé par Vitart, il ne laisse pas passer l'occasion de se faire remarquer à l'occasion du mariage de Louis XIV : à l'été 1660, il soumet à l'académicien Jean Chapelain un long poème encomiastique dédié à la Reine, La Nymphe de la Seine. Chapelain le corrige et l'encourage et le poème est bientôt imprimé (à compte d'auteur, sans doute avec l'aide de Vitart

.. 3.2.1 Le poids de la fatalité............................................................................................. 3.2.2 L’analyse psychologique profonde......................................................................... 3 .3 Boileau, le législateur du Parnasse............................................................................ Conclusion......................................................................................................................

Louise Tonachella 1ère L L’art au XIXème Siècle Année 2009-2010 Le Néo-Classiscisme. Le néo (nouveau) classicisme définit de manière fondamentale la recherche d'une excellence dans le travail de l'art que l'on qualifie en termes de recherche d'esthétique de Canon. Ces "Canons" représentent "Les Classiques". En vérité, le néoclassique est la recherche d'un idéal. Un artiste, expérimenté dans la réalisation artistique des "Canons", ne se contente pas de reproduire simplement des

siècle. I. Situer le contexte historique. 1. Le mouvement des lumières commence à la mort de Louis XIV en 1715, c’est Louis XV qui prend la place en tant que Roi mais il est trop jeune pour gouverner économiquement le pays. La France à cette époque à un endettement causé par les guerres d’environ 2 .800 millions de Louis D’or. Au niveau politique, étant donné le jeune âge de Louis XV c’est Philipe auguste D’Orléans qui prend la régence de pays et donne un certain nombre de pouvoir au parlement et

littérature française du xviie siècle est liée aux évolutions politiques, intellectuelles et artistiques qui se font entre 1598 – promulgation de l’édit de Nantes d’Henri IV qui met fin aux guerres de religions du xvie siècle –, et 1715, date de la mort de Louis XIV, le Roi-Soleil qui a imposé la monarchie absolue au royaume. L’un des faits dominants dans le domaine culturel est la forte consolidation du pouvoir royal qui fait, à la fin du xviie siècle, de la Cour et du roi, à Versailles, les maîtres du

(son cousin).  A l’occasion du mariage de Louis XIV (été 1660) Il soumet à Jean Chapelain (grand critique de l’époque) son poème : La nymphe de la Seine dédié à la reine. Peu après il sera publié par son Cousin qui l’admire et l’aide financièrement. La même année il écrira sa pièce de théâtre « Amaise » qui ne connaîtra aucun succès. Au printemps 1661 il écrit une nouvelle pièce consacré à Ovide et à la « seconde Julie » (Petite fille de l’empereur Auguste) qu’il ne pourra achevée car il tombe gravement