Louis-Hippolyte Boileau

Ludovico Ariosto, dit l’ Aubigné, Agrippa d’ Belleau, Rémi Calvin, Jean Cauvin, dit Desportes, Philippe d’Orléans, Charles du Bellay, Joachim Érasme, Didier (en lat. Desideirus Erasmus) Garnier, Robert Ignace de Loyola Jodelle, Étienne Labé, Louise La Boétie le Maire, Jean Machiavel, Nicolas (en it. Niccolo Machiavelli) Marot, Clément Marot, Jean Montaigne, Michel Eyquem de Rabelais, François Ronsard, Pierre de Villon, François Musique Byrd, William de Morales, Cristobal des

siècle où la France domine l'Europe. C'est le siècle de Louis XIV et du classicisme. Les céations littéraires et politiques sont liées aux événements politique de l’époque. Le règne de la raison lucide corréspond à celui de l’ordre et de l’autorité. En France, il ya la monarchie absolue. Les rois ont le souci d’affirmer la prérogative royale contre les prétentions des grands féodaux. Il s’agit aussi de le monarchie de droit divin. Louis XIV se considère comme responsable devant Dieu seul. Le

Littérature française du 17ème siècle Louis XIV Roi de la France et de Navarre Par Hyacinthe Rigaud (1701) Série : Français et Littérature Francophone Littérature française Par Category Langue française Histoire littéraire française Médiéval 16ème Siècle - 17ème Siècle 18ème Siècle - 19ème Siècle 20ème Siècle - Contemporain Littérature francophone Littérature francophone Littérature du Québec Littérature de Postcolonial Littérature du Haïti Auteurs français de langue

Charles Sorel. (p.21) 6.Les mouvement des idées. Descartes. Pascal. (p.23) 7.L’essor du théâtre. Corneille. (p.29) 8.La préciosité. Voiture. Mlle de Scudéry. (p.34) 9.Molière. La comédie « à l’espagnole ». (p.36) 10.L’appogée du classicisme. Boileau. Racine. La Fontaine. (p.41) 11.Le roman et la nouvelle dans la 2e moitié du XVIIème siècle. Mme de la Fayette. (p.47) 12.Lettres et mémoires : Mme de Sévigné. Cardinal de Retz. Saint-Simon. (p.49) 13.La Rochefoucauld. Vers la fin du siècle. La

ami avec fils de grandes familles du royaume. Ces relations lui seront très utiles dans sa futur carrière. Ami avec La Fontaine et Boileau. Dans cet extrait, Phèdre répond à Hippolyte, qui garde espoir que Neptune ramène Thésée. Problématique : A quoi tient la force dramatique de cet extrait ? I) Glissement vers l'aveu A) Le Glissement Phèdre = répond à Hippolyte, ce dernier garde espoir que Neptune ramène Thésée. Sa réponse réfute cela : « on ne voit pas 2 fois le rivage des morts ». = références

satirique. le rire est provoqué par la dénonciation caricaturale des ridicules et par l'expression mécanisée d'une passion. Textes théoriques : Aristote : Poétique - Molière : L'Impromptu de Versailles, Critique de L'Ecole des Femmes - N. Boileau : Art poétique - V. Hugo : Préface de Cromwell - H. Bergson : Le Rire - Ch. Mauron : Psychocritique du genre comique. Œuvres caractéristiques : la comédie de mœurs tourne en dérision un travers à la mode (Molière, Tartuffe), la comédie d'intrigue

savaient combien je travaille dur pour acquérir ma maîtrise, ça ne leur semblerait pas, après tout, tellement merveilleux. Michel-Ange Préparer l’entretien de vente/négociation S 15 L a chance ne sourit qu'aux esprits bien préparés. Louis Pasteur pour abattre un arbre, j’en emploierais six pour affûter ma hache. Abraham Lincoln Si je disposais de neuf heures Q 16 uand on ne sait pas où l'on va, tous les chemins mènent nulle part. Henry Kissinger Le savoir-faire Celui

les réprimer. En effet de grands hommes politiques dirigent la France : Le Cardinal Richelieu, Mazarin, puis Colbert, le célèbre ministre de Louis XIV. Celui-ci, appelé le ‘‘Roi Soleil’’, règnera de 1660 à 1715 et donnera à la France la première place en Europe. Cette prééminence politique ne veut pas dire que tout était parfait dans le royaume de France. Louis XIV était un roi absolu qui disait : ‘‘L’État, c’est moi’’. Il a entrepris des guerres contre les pays voisins dans Le seizième siècle est

couvertes d’ecchymoses occasionnées par la fameuse machine. Hippolyte déjà s’était plaint d’en souffrir ; on n’y avait point pris garde ; il fallut reconnaître qu’il n’avait pas eu tort complètement ; et on le laissa libre quelques heures. Mais à peine l’œdème eut-il disparu, que les deux savants jugèrent à propos de rétablir le membre dans l’appareil, et en l’y serrant davantage pour accélérer les choses. Enfin trois jours après, Hippolyte n’y pouvant plus tenir, ils retirèrent encore une fois la

moins de 98 éditions de ses œuvres entre 1621 et 1695 alors que pour la même période, Malherbe ne fut réédité que quinze fois. Son unique tragédie, Pyrame et Thisbé, obtint un véritable triomphe et elle resta si célèbre que cinquante ans plus tard, Boileau jugea bon de la condamner. C’est que le souvenir du poète était resté vivant et qu’il passait encore à l’époque pour un véritable représentant du clan des Modernes. Jean-Pierre Chauveau, à qui nous devons un très utile et très agréable recueil d’œuvres