Louis Ier de Bavière

Charlemagne va régner sans partage sur un territoire vaste. Il est le chef politique de tout la chrétienté occidentale. Ensuite, on va connaître une période de décadence comme pour les mérovingiens. Charlemagne n'arrive pas à pérenniser son œuvre, Louis le pieu ( fils de Charlemagne ) ne va pas réussir à s'émanciper de la puissance germanique. Il va devoir partager l'empire de son père entre ses propres enfants. A la mort de Le pieu, l'unité territoriale et le titre impérial éclate, on se trouve

caractère divin des empereurs ; c’est en cela que les chrétiens troublent l’ordre public. Ils apparaissent comme des sectaires et font l’objet de mises à mort (sporadiques d’abord, puis progressivement plus poussées). Cela commence avec l’empereur Néron au Ier s, mais au IIème et au IIIème s, on parle du mot latin persecusio (= recherche systématique des chrétiens). Au IVème s, l’empereur comprend l’inutilité de cette politique et l’utilité politique de cette religion. En effet il comprend qu’il peut mettre

question de la Constitution ne semble se poser qu’à partir du 21 septembre 1792, date de la rupture avec la monarchie. Avant il n’y avait pas cette idée (plutôt partisans de la monarchie britannique parlementaire). 21 janvier 1793 : exécution de Louis XVI (symbole). Maitland : le roi dispose de 2 corps : temporel (corps meurt) et mystique (corps subsiste). Kantorowicz : couper les symboles de la monarchie. Il n’existe pas une monarchie mais des types de monarchie. • Etude : - nature

le Pape et fait sacrer en même temps ses deux fils Carloman et Charles (futur Charlemagne). Il s’agit du fondement de la dynastie carolingienne puisque l’on sait qui va succéder au Roi. Charlemagne suit à son père, puis son fils Louis le Pieux ou Louis le Débonnaire (Louis I). C’est alors une période de décadence pour les carolingiens. Section 1 : Les fondements de la dynastie carolingienne §1. Le sacre Au moment du sacre de Pépin se constitue les éléments caractéristiques du sacre jusqu’en 1830.

compresseur unificateur. La question qui se pose dans cette tradition française est la question de l’intériorisation du sentiment national. Si les élites se pensent comme des élites françaises, est-ce que les français se sentent français ? Sous Louis XIV oui même s’il y a des gradients d’adhésion à l’entité France en fonction de l’histoire locale et de la langue ; Il été aisé de se sentir français dans le bassin parisien. Il n’empêche qu’à la fin du XVIII siècle les français savent qu’au-dessus

Lombards, il est également Auguste gouvernant l’Empire romain. La « respublica » est ressuscité. Dès 806, Charlemagne va envisager la « divisio imperii », c'est à dire le partage de l’Empire entre ses fils. Par chance, il ne reste qu’un de ses fils : Louis le Pieux Section 2 – Des mérovingiens aux carolingiens : un pouvoir au carrefour de plusieurs traditions Paragraphe 1 – Le pouvoir mérovingien A- La tradition germanique 1- Un pouvoir personnel Une royauté militaire fondé sur le prestige

sera Louis XIV. Le roi soleil est très ambitieux, au point de vue interne et international. Il trouve que le moment est venu d’asseoir sa puissance sur les seigneurs féodaux qui constituent une menace. On ne compte plus les fortifications que Louis XIV va faire construire grâce à Vauban. Louis XIV va chercher à profiter d’une occasion unique. La dynastie des Habsbourg espagnoles se trouvent sans successeurs. La guerre de la succession d’Espagne sera très couteuse durant le règne de Louis XIV, mais

commentées (surtout ‘’Les trois mousquetaires’’ étudiés dans un dossier à part) . Bonne lecture ! Il était le petit-fils du marquis Davy de La Pailleterie, que son goût de l'aventure poussa à s'installer à Saint-Domingue, et d’une esclave noire, Louise Césette Dumas. Leur enfant, Thomas Alexandre, né en 1762, aurait été vendu par son père, qui avait besoin d'argent. Pourtant, en France, il mena la grande vie avec ce père indigne avant de s'engager dans l'armée sous le nom de sa mère, Dumas. En

lointains pays, fatigué des Muses et blasé sur les amours, il a gardé pour la joie de ses derniers jours sa santé de fer et son incomparable estomac. Populaire et partout bien reçu, à lui tout seul, s’il faut l’en croire, et il ne le faut pas, il a fait Louis-Philippe et défait François II. Familier des grands, camarade de Garibaldi, lié, tour à tour et à de longs intervalles, avec les brigands d’Espagne et les princes du Caucase, il n’en est ni moins gai, ni plus fier, LES ANNÉES D’ENFANCE 7 et comme

chevaliers On connaît la chanson… Guillaume au court nez et sa femme Guibourc Raoul de Cambrai a la haine Huon de Bordeaux a tué Charlot Des envoyés très spéciaux : les chroniqueurs Villehardouin : pleins feux sur la IV e croisade Joinville et son Saint Louis Jean Froissart mène l’enquête Du Téméraire à l’Araigne : Commynes Chapitre 2 - Le théâtre : on prie, on rit La religion en scènes Sous les porches : « Le Jeu d’Adam » (entre 1160 et 1200) Sur les places : le Jeu de saint Nicolas (1200) Un grand son